Johann Barnes a écrit:

Me ré-approchant finalement d’elle, je viens placer mes deux mains sur son visage, tentant d’essuyer ses larmes en traçant des arabesques sur son visage à l’aide de mes pouces. Je tente d’intercepter son regard, mes prunelles sombres cherchant la clarté des siennes alors que j’esquisse un sourire triste. Me penchant un peu plus en avant, le cœur battant à tout rompre, je finis par venir poser mes lèvres sur les siennes, m’attendant presque à ce qu’elle me repousse. Mais rien ne se passe et je continue de l’embrasser sans qu’elle ne laisse entrevoir le moindre mouvement de recul. M’éloignant finalement d’elle, mes lèvres toujours à quelques centimètres des siennes, son souffle frôlant doucement ma peau, je m’autorise finalement à lui dire : « Je t’aime, Jamie-Rose. Je t’aime tellement que ça me rend fou. »

MES BÉBÉÉÉÉÉÉÉS

Fitz d'amour a écrit:

Évidemment, j'étais ravi de la voir et je n'avais pas véritablement envie qu'elle parte, jamais. Mais je ne me faisais plus confiance auprès d'elle. Au moins, je n'étais plus alcoolisé au point de laisser cours à toutes mes pulsions les plus folles, comme décider de l'appeler au petit matin pour qu'elle vienne me chercher dans un bar miteux. Mais les désirs qui avaient guidé mes actions ce soir-là étaient toujours bien présents. Ils ne me quittaient jamais. Je n'avais compris que très récemment qu'ils ne me quitteraient probablement jamais, même si je m'étais évertué pendant des années à faire comme s'il ne s'agissait que de vieilles histoires d'adolescents, à faire comme si les sentiments que j'avais un jour éprouvés pour Mary-Margaret Livingston étaient morts et enterrés depuis longtemps.

Je ne sais pas si je dois pleurer ou fangirler en fait

Raphaëlle A. Seven a écrit:

Pour la première fois depuis que je suis arrivée, je sens la colère monter en moi. Je sais qu’elle ne permettra certainement pas de régler la situation, mais elle est la dernière arme qu’il me reste, la seule que je n’ai pas essayé. Et, je me sens tellement démunie que je ne peux résister à l’utiliser. Seule, à quelques centimètres d’une porte fermée, je ne peux retenir mes mots. « Lua ! Mais enfin, tu crois que j’ai choisi tout ça ? Tu crois que j’ai choisi de craquer pour toi alors que je venais de me faire la promesse que je ne tomberai plus jamais pour personne ? Tu crois que j’ai pris la décision de te laisser rentrer dans ma vie alors que Simon sombrait doucement dans le coma ? Et bien non, c’est faux ! A aucun moment je n’ai choisis Lua. A aucun moment je n’ai voulu tomber amoureuse de toi. C’était comme ça, juste comme ça. Parce que tu étais là. Parce que je n’ai pas été assez forte pour vaincre le destin. Parce que c’est toi, c’est tout. Tu étais mon tournant inattendu, le vent qui m’a poussé, qui m’a relevé. Tu étais ma lumière toutes ces nuits que j’ai passé à pleurer, tu étais mon sourire Lua, tu étais mon âme, mon cœur, ma vie, tout à la fois. Mais, crois-moi, je n’avais rien prévu de tout ça, je n’avais pas prévu qu’il se réveille, je n’avais pas prévu de te faire subir ça… » ma gorge se serre et c’est d’une voix brisée que je termine ma phrase « … Sinon… je n’aurai jamais cédé Lua, je n’aurai jamais été avec toi… » Parce que je préfèrerai n’avoir jamais vécu tous ces moments de bonheur dans tes bras, plutôt que de te voir souffrir comme ça. Parce que j’ai besoin que tu sois heureuse, pour vivre Lua.

putain j'ai envie de tout citer là

Amelia-R. Westerfield a écrit:

Johann Barnes a écrit:

Me ré-approchant finalement d’elle, je viens placer mes deux mains sur son visage, tentant d’essuyer ses larmes en traçant des arabesques sur son visage à l’aide de mes pouces. Je tente d’intercepter son regard, mes prunelles sombres cherchant la clarté des siennes alors que j’esquisse un sourire triste. Me penchant un peu plus en avant, le cœur battant à tout rompre, je finis par venir poser mes lèvres sur les siennes, m’attendant presque à ce qu’elle me repousse. Mais rien ne se passe et je continue de l’embrasser sans qu’elle ne laisse entrevoir le moindre mouvement de recul. M’éloignant finalement d’elle, mes lèvres toujours à quelques centimètres des siennes, son souffle frôlant doucement ma peau, je m’autorise finalement à lui dire : « Je t’aime, Jamie-Rose. Je t’aime tellement que ça me rend fou. »

MES BÉBÉÉÉÉÉÉÉS

--> ma réaction quand j'ai lu les mots de Johann.

Andy chéri a écrit:

« Tu es médecin Jilly, ton but c’est de protéger tes patients, de veiller à leur bien-être pas d’écouter tes supérieurs en renvoyant des soldats inaptes se faire tuer dans un pays en guerre. S’il lui arrive quelque chose en mission, réussiras-tu à te regarder dans le miroir en sachant que tu es celle qui a signé les papiers ? » demanda-t-il fermement. Il savait qu’il était injuste dans ses propos, injuste de l’accuser de la sorte  mais les événements des dernières semaines avaient mis ses nerfs à fleur de peau, prêts à exploser à la moindre contrariété. Il s’en rendait bien compte mais parfois il avait du mal à garder le contrôle. « Pardon, je suis désolé Jilly, je n'aurais pas dû » lança-t-il en baissant la voix. Elle n’était pas responsable, elle faisait partie des pions dirigés par l’armée, recevant des ordres par une hiérarchie trop complaisante, trop laxiste.

AAAAAAAAAH. Comme il est méchant avec Jilly

Faut que je le lise ce sujet, genre sérieusement

Henri le frenchi a écrit:

Il caressa la joue d’Andrea avec douceur avant d’entendre le son de la voix de Daisy au loin. Il jeta un regard et il constata qu’elle n’était pas seule, elle était en compagnie de Benjamin et d’Arsène. Il rougit en imaginant que les trois personnes avaient pu les apercevoir en train de s’embrasser. La situation était gênante. Il se décala d’Andrea bien plus vivement qu’il ne l’avait souhaité. Il était mal à l’aise. Il se doutait qu’ils allaient tous les deux avoir le droit à des questions et l’envisager le rendait nerveux. Il ne désirait pas rester ici plus longtemps, il voulait prendre la fuite et ne plus revenir. Disparaître dans les profondeurs de la Terre pour ne pas voir les regards interrogateurs posés sur lui.

Je rigole depuis dix minutes, en imaginant Henri tout confus
C'est trop parfait. Je veux la réaction de Chatmignon maintenant

Il n'est pas vilain Drew, il s'inquiète pour Raphou, son bro quoi . Et en plus il s'excuse quand même

Pauvre Henri il est tout confus, ce n'est pas de sa faute, c'est gênant pour lui d'imaginer qu'on les a vu !

Lua Stern a écrit:

putain j'ai envie de tout citer là

ma lulu contente que cette douce fin t'ai plu on remet ça rapidos

Arsénou le plus choupi des choupichoux a écrit:

Ses lèvres finissent par effleurer sa tempe, puis son oreille où il finit par chuchoter, comme un secret. « J’ai toujours voulu que tu me rattrapes, quand je te tournais le dos. Mais quand j’ai compris, il y a quatre ans, que, cette fois-là, tu n’allais pas le faire, j’ai cru que c’était trop tard. Et peut être que c’était mieux comme ça, je ne sais pas.... Mais tu es là. Tu m’as rattrapé. » Peut-être qu’il n’aurait pas dû. Mais maintenant qu’il l’a fait, Arsène ne veut plus lui tourner le dos.

ARKINS ARKINS ARKINS ARKINS ARKINS . Lire ce RP en écoutant Roo c'est trop de feelings, le Arkins c'est la vie mais alors ce passage je fonds

Zaé Alavés-Jones a écrit:

Andy chéri a écrit:

« Tu es médecin Jilly, ton but c’est de protéger tes patients, de veiller à leur bien-être pas d’écouter tes supérieurs en renvoyant des soldats inaptes se faire tuer dans un pays en guerre. S’il lui arrive quelque chose en mission, réussiras-tu à te regarder dans le miroir en sachant que tu es celle qui a signé les papiers ? » demanda-t-il fermement. Il savait qu’il était injuste dans ses propos, injuste de l’accuser de la sorte  mais les événements des dernières semaines avaient mis ses nerfs à fleur de peau, prêts à exploser à la moindre contrariété. Il s’en rendait bien compte mais parfois il avait du mal à garder le contrôle. « Pardon, je suis désolé Jilly, je n'aurais pas dû » lança-t-il en baissant la voix. Elle n’était pas responsable, elle faisait partie des pions dirigés par l’armée, recevant des ordres par une hiérarchie trop complaisante, trop laxiste.

AAAAAAAAAH. Comme il est méchant avec Jilly

C'est vrai qu'il s'excuse quand même
M'enfin cette réponse reste trop géniale (même si Jilly en pense pas autant )

Jilly elle est trop méchante de s'énerver . Mais bon je la comprends aussi, Drew n'est pas forcément l'homme le plus fin du monde . Surtout en ce moment !

Elle s'énerve pas vraiment (bon si, un peu quand même ) mais elle est toute triste ma Jilly

La réponse de Eva au mariage J'ai trop adoré Eva dans toute sa splendeur qui nous en met pleins les yeux

Caleb J. O'Dalaigh a écrit:

La réponse de Eva au mariage J'ai trop adoré  Eva dans toute sa splendeur qui nous en met pleins les yeux

Bientôt la réponse à notre toto

BOOOON

Déjà que le dernier Eilew m'a tué en mode ==>

MAIS LE NOUVEAU CEST PAREIL :'(

Drewlechoupichou a écrit:

Et il ne savait guère s’il arrivait à se satisfaire de cela. Il ne voulait pas la voir fuir, mais il désirait encore moins la rendre malheureuse. C’était raté. L’un comme l’autre, ils l’étaient. Andrew avait le cœur brisé plus fortement qu’auparavant. Plus intensément encore que durant l’absence de sa bien-aimée.

Lechoupichoutropchoupichou a écrit:

Certains soirs, il se surprenait à ouvrir délicatement la porte de la chambre qu’elle occupait et il l’observait quelques instants en silence dans son sommeil avant de retourner sur le sofa. Il ne savait pas pourquoi il agissait de la sorte, mais durant quelques minutes sous son regard, elle lui appartenait de nouveau.

CA SUFFIT LA TRISTESSE.

Drew le choupichou arrive pour t'apporter des mouchoirs et des chocolats . Et pardon pardon pour la tristesse ce n'est pas de ma faute tu sais

Eileen la vilaine a écrit:

Croyait-il qu’elle était indifférente au point de pouvoir dormir la conscience tranquille sans qu’elle ne sache où diable il pouvait être ? Mais elle ne pouvait lui dire cela. Lui avouer qu’elle s’inquiétait pour lui quand il n’était pas là revenait à lui donner de l’espoir et l’espoir, c’était la dernière chose qu’elle voulait lui donner. Elle n’était qu’une coquille vide, une âme froide, une femme brisée par la vie et elle ne pouvait lui donner l’espoir qu’un jour elle redeviendrait plus chaleureuse. Quand bien même, cela pouvait prendre des mois ou des années et elle doutait qu’il soit capable d’en endurer autant.

Eileen la vilaine a écrit:

« Tu rentres bien tard. Encore une fois ». Sa voix était plus acérée et tranchante que la lame d’un couteau, tandis qu’elle se levait, ignorant à grande peine la douleur qui s’éveillait dans ses jambes restées dans une position inconfortable si longtemps. Une sensation désagréable qu’elle ignora, se plantant face à Andrew, les bras croisés, le regard inquisiteur. Poussant un soupir de frustration, elle finit par ajouter à mi-voix. « Une autre demoiselle en détresse à consoler, j’imagine ». Un ajout qui transpirait le mépris, tandis qu’elle s’éloignait de lui, comme si sa présence lui était insupportable.

Eileen la vilaine a écrit:

En réalité, Andrew Livingston semblait en deuil, sur le point d’enterrer définitivement une relation qu’il avait un jour vécut et qu’il ne vivrait désormais que dans ses souvenirs. Et aussi cruel que cela pouvait être, cela lui convenait parfaitement. Eileen demeurait présente à ses côtés, le laissant accepter les différentes étapes de son chagrin. Elle demeurerait immobile jusqu’à ce qu’il en vienne à accepter que jamais plus les choses ne seraient comme avant, que jamais plus ils ne formeraient le couple heureux qu’il avait un jour connu. Ce jour-là, elle pourrait enfin prendre son envol et cesser de se sentir comme un lion en cage.

Elle était malgré elle prisonnière d’une relation passée qu’elle semblait ne jamais avoir vécu.

Elle est trop vilaine Eileen .  C'est trop horrible. Et alors le RP avec Mary-Margaret c'est encore pire

Eileen la vilaine a écrit:

Et si … S’il en avait toujours été ainsi ? Si depuis longtemps, chaque fois qu’elle partait en mission, Andrew retrouvait les bras de sa Meghan bien aimée et rentrait à la maison dès son retour ? C’était ridicule, pourtant ces questions ne cessaient de la torturer et elle ne manquait de les poser à Andrew qui les chassait sans arrêt comme si elles étaient ridicules. Mais elle doutait, la confiance avait déserté cet appartement et la froideur était de mise. Elle voyait bien, qu’il était lassé de ses accusations, qu’il supportait très mal sa nouvelle habitude de lui faire des reproches, chaque fois qu’il n’avait ne serait-ce que cinq minutes de retard. La tension était palpable, mais elle ne faisait pour autant aucun effort. Elle se sentait blessée, brisée dans chaque parcelle de son âme. Il avait tenté de lui faire croire qu’elle était précieuse, mais à peine avait-elle eu le dos tourné qu’il en avait eu une autre. Et elle n’était pas n’importe qui. Ce n’était pas une fille de passage ramassée dans un bar, qui avait partagé son lit. C’était sa meilleure amie, celle dont il était si proche, celle qui savait tout de ses joies et de ses peines. Celle qui, maintenant qu’elle-même avait tout oublié, en savait plus qu’elle. Elle avait tout oublié de l’homme qui avait partagé sa vie pendant sept ans, ne se souvenant que de ce qui n’était ni vital, ni nécessaire. Contrairement à Meghan.

Peut-être était-ce elle, qui aurait dû rester avec lui.

Tout ce paragraphe me brise le coeur

Eileen la vilaine a écrit:

Et elle se trouvait encore plus bête à l’idée qu’elle n’était pas amoureuse d’Andrew, mais qu’elle ne ressentait qu’un désir de possession à son égard.

Déjà, c'est MON frère, bitch x)

Eileen la choupette a écrit:

Et tandis que sa question franchissait la barrière de ses lèvres, elle se demandait ce qu’elle faisait encore là. Depuis bien longtemps déjà, elle aurait dû fuir, partir, s’en aller pour ne plus jamais revenir.

Car elle ne se sentait ici nullement à sa place ...

Mais ... Mais ... Si ! Tu dois rester là, avec mon frère d'amour, sinon vous allez briser mon coeur

Et je plussoie Andychou du coup. Et Arsenouille aussi. Arrêtez de nous tuer, merde ! (Dit-elle alors qu'elle doit ouvrir les adieux du Pondingston )

Maggie n'est absolument pas possessive, absolument pas . Mais elle a de la chance, Drew est pareil

Et je suis d'accord pour dire qu'Eileen est très vilaine, elle brise le coeur de tout le monde

Je suis en retard BUT, quand même.

Drewpichou a écrit:

Ils étaient deux inconnus partageant le même appartement. Deux inconnus anciennement amoureux, qui avaient goûté à un amour maintenant disparus. Deux anciens amants devenus l’ombre d’eux-mêmes, l’ombre d’un couple qui appartenait à présent au passé. Un passé semblant de plus en plus lointain à mesure que les jours défilaient. Ils étaient les dommages collatéraux d’une guerre brisant des vies et personne n’était là pour constater les dégâts. Personne n’était là pour venir les guérir ou recoudre les plaies béantes de leur relation. Ils n’étaient plus rien du tout. Simplement le néant. Un néant si profond qui ne pouvait disparaître.

Eileen la vilaine a écrit:

« Tu rentres bien tard. Encore une fois ». Sa voix était plus acérée et tranchante que la lame d’un couteau, tandis qu’elle se levait, ignorant à grande peine la douleur qui s’éveillait dans ses jambes restées dans une position inconfortable si longtemps. Une sensation désagréable qu’elle ignora, se plantant face à Andrew, les bras croisés, le regard inquisiteur. Poussant un soupir de frustration, elle finit par ajouter à mi-voix. « Une autre demoiselle en détresse à consoler, j’imagine ». Un ajout qui transpirait le mépris, tandis qu’elle s’éloignait de lui, comme si sa présence lui était insupportable.

Drew le tristou a écrit:

Pourtant, jamais elle n'en démordait, continuant d'appuyer avec violence sur les points douloureux. Meghan était sûrement la plaie la plus béante, celle qu'il n'avait pas réussi à refermer, continuant de torturer son esprit envahi par la culpabilité. Elle aussi, il l'avait trahi. Elle aussi semblait lui en vouloir. Elle aussi avait pris la fuite. Elle aussi avait décidé de rayer Andrew Livingston de la liste des personnes importantes. Elle aussi était responsable de sa souffrance.

Eileen la choupette a écrit:

« Andrew je … je suis désolée, il faut me croire, je ne savais pas. Je … J’ai quelque chose à t’avouer. Il … Il y a quelques jours, je suis allée voir Meghan. Mais je te jure que je ne savais pas, si j’avais su, je te l’aurais dit. Et … Elle n’était pas là. Son magasin … Il est en vente, elle n’a même pas prit le temps de faire la fermeture, ses employés ont vidé les lieux pour elle. Et quand je suis allée chez elle, elle n’a pas ouvert … Je ne savais pas, je te jure que je ne savais pas. Le jeune homme qui travaillait avec elle, il a dit qu’elle était « sur le départ », mais sur le coup, je n’avais pas compris. J’aurais dû t’en parler, mais j’avais peur de ta réaction, alors je n’ai rien dis mais … Je ne pense que Meghan ne veuille plus te donner de nouvelles, je pense qu’en réalité, elle a quitté Huntsville. Mais je ne savais pas, je te le jure, il faut me croire, je n’en savais rien ».

T'es trop méchante mais qu'est-ce que tu me fais de la peine

Drew le briseur de coeur a écrit:

La voix était plus brutale, à la limite de l'explosion. Pour la première fois ce fut lui, qui prit la fuite, qui se retourna pour ne plus la regarder. Pour ne plus affronter ce visage de poupée, vide d'émotions et de sentiments. Elle avait beau l'implorer avec ses prunelles turquoise, tout ceci n'était qu'illusion et utopie. Elle se contre-fichait du mal qu'elle pouvait provoquer, des sanglots qu'il retenait, de la tristesse engendrée. Il devait l'admettre, il ne représentait plus rien à ses yeux. Il n'était plus personne, simplement un homme amoureux d'un fantôme, qui jamais ne reviendrait. Disparu pour l'éternité, envolé dans les eaux ténébreuses de l'enfer. Et il n'avait plus la force de nager pour le retrouver. Il le laissait couler.

Ok, c'est bon, vous me tuez, vous êtes trop horribles, je vous déteste (oui Clem, je te déteste avec des coeurs mais je te déteste quand même)

On est d'accord Eileen est vraiment vraiment vraiment trop vilaine :ouin . J'ai le coeur brisé maintenant

Megichou a écrit:

où Andrew … Elle ne préférait même pas y penser. Car il était la douleur la plus intense de toutes. Elle avait commencé à s’attacher à lui, différemment que dans le passé, c’était un fait. Mais si ça n’avait été qu’une simple rupture, qu’une simple peine de cœur, elle aurait pu s’en remettre. Après tout, elle savait depuis le départ qu’ils n’étaient pas fait l’un pour l’autre. Il s’était consolé de la perte de son grand amour, elle s’était consolée de tous les malheurs qui s’abattaient sur elle. Et si, par les nombreuses fois où ils s’étaient finalement vus en franchissant très largement les bornes, elle avait fini par s’attacher à lui et à ce semblant de couple très bancal qu’il formait, ce qui lui faisait plus mal encore que la rupture, c’était la perte de son amitié.

Megichou a écrit:

Elle avait la nausée et n’avait qu’une envie : en finir au plus vite, pour le fuir et le laisser derrière elle. Elle voulait enterrer ses souvenirs, enterrer sa souffrance. Et à cet instant, face à cet homme avec qui elle avait tant partagée, elle se sentait si vulnérable qu’elle se fit la promesse de ne jamais plus laisser personne s’approcher suffisamment pour lui faire tant de peine.

Megichou a écrit:

Des bruits de pas se firent entendre derrière elle, écrasant les feuilles mouillées et les brindilles. Et elle ne trouva pas la force de se retourner tout de suite, ne trouva pas la force de voir son visage non plus. Elle sentait sa présence comme si c’était une évidence, non pas parce qu’ils étaient censés se retrouver, simplement parce qu’elle était tellement habituée à le côtoyer qu’elle avait la sensation de sentir sa présence tout près d’elle.

Mais tu n'es pas beaucoup beaucoup mieux j'ai le coeur brisé moi . Trop de tristesse en peu de temps ça me fait trop de mal

Ce n'est pas de ma faute Meghichou est malheureuse voilà

Mais Drew aussi il est malheureux, il ne faut pas croire

C'est sa faute voilà
Va me répondre comme ça il sera plus malheureux encore