à partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-Neige.
NOM(S) : Au choix. PRÉNOM(S) : Gaïa, c'est le prénom que j'ai utilisé dans ma fiche, mais vous pouvez changer. AGE : vingt-trois/vingt-quatre ans. LIEU DE NAISSANCE : au choix. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. SITUATION AMOUREUSE : divorcée. SITUATION FINANCIÈRE : moyenne. GROUPE : living ou helping war.
deviens toi-même.
elle s’est mariée à dix-huit (ou dix-neuf ans) ✈ elle n’avait jamais eu de relation sérieuse –voire de relation tout court- avant lui ✈ elle est passionnée de mode, de lecture et de peinture ✈ elle peut passer des heures dans la salle de bain ✈ elle est très cultivée et intelligente, elle faisait toujours partie des meilleurs en classe ✈ est une femme douce ✈ les parents d'Edgar l’adorent, les siens le déteste ✜ de l’avis de tous, elle est beaucoup trop bien pour lui ✈ ✈ est toujours amoureuse de lui ✈ répète sans cesse qu’il y a une première fois tous les jours avec elle, c’est un de leurs nombreux trucs avec Edgar, elle lui a dit ça la première fois qu’elle lui a fait des cookies, la première fois qu’ils ont fait l’amour, la première nuit qu’ils ont passé ensemble en tant que Monsieur et Madame Onassis ✈ est bordélique comme pas deux
we salute the rank, not the man
Edgar Onassis, aka tobias sorensen.
Spoiler:
CHEZ EDGAR ET GAÏA, FEVRIER 2011. Tu ne trouves pas la serrure. Tu fronces les sourcils très fort comme si d’un coup cela pouvait te permettre de voir comme quelqu’un de sobre. Ce que tu n’es pas, pas du tout. Tu empestes le whisky, les shooters de vodka et le sexe avec une inconnue. T’auras honte demain, quand tu auras décuvé mais là, tu as encore l’espoir de pouvoir te glisser dans le lit à côté de ta femme et que, peut-être, elle ne remarquera rien. Mais au fond de toi, tu sais qu’elle sait. Tu as enfin réussit à rentrer chez vous, tu passes facilement deux minutes à chercher l’interrupteur et quand, enfin, tu le trouves et allume la lumière, tu la vois. Assise autour de la table de la salle à manger, entourée de valise et les yeux embués. Qu’est-ce que tu fais debout à cette heure-ci ? Tu sais très bien pourquoi elle est debout, tu sais très bien qu’elle va partir, et tu sais très bien aussi, qu’aucune de tes tentatives désespérée ne parviendra à la faire rester. Tu as été trop loin. Ce soir fut la fois de trop. L’engueulade de trop. C’était trop. Trop quand tu lui as dit qu’elle ne pouvait pas comprendre pourquoi ça n’allait pas. Trop quand tu lui as dit que cela ne servait à rien de parler, à rien de te confier à elle parce qu’elle n’a pas vécu ce que toi tu as vécu. C’était trop quand, elle a senti le mépris dans ta voix, quand elle a vu que, parce qu’elle ne portait pas le treillis, elle n’était pas à la hauteur. Je… Je veux divorcer Edgar. Tu baisses les yeux vers le document devant elle. Et là, tu comprends, que ce n’est pas seulement ce soir que tu as été trop loin, mais que cela dure depuis des mois. Depuis que la petite flamme dans ses yeux s’est éteinte, depuis qu’elle pleure parfois la nuit et que toi, tu fais semblant de ne pas entendre. Parce que tu as déjà trop à gérer avec toi, pour pouvoir la gérer elle, vous gérer vous. Gérer votre mariage qui va droit dans le mur. Non ! Tu attrapes l’une de ses valises et te diriges, furieux, vers votre chambre dans laquelle tu la balances. Il ne partira pas, il est hors-de-question, inimaginable qu’elle parte. Elle t’a suivit dans la chambre et vous êtes debout, vous vous faites face et son regard te supplie de ne pas rendre les choses plus difficiles qu’elles ne le sont déjà. C’est trop tard. Toi et moi, c’est fini. Elle ramasse la valise et embrasse tes lèvres, dans un baiser qui a un goût d’adieu, le goût amer de la fin. De votre fin. Alors tu tentes le tout pour le tout et la attrape son bras alors qu’elle a la main sur la poignet. Je t’aime. Elle se mord la lèvre et le sang perle sur la plaie. Ca ne suffit plus. Elle aura eu raison de toi, tu lâches son bras et la regarde partir. Les papiers seront signés deux heures plus tard, quand tu auras enfin fini de retourner la maison et de siffler la bouteille de whisky. Le divorce sera prononcé à l’amiable un mois plus tard. Elle se retrouvera un copain un mois et demi plus tard. Et toi ? Et toi rien, toujours ces cauchemars, toujours cette image, celle de ton coéquipier à l’agonie, poussant le râle de la mort. Et maintenant, cette image, ta femme, les larmes aux yeux mettant fin à votre mariage.
CHEZ EDGAR, OCTOBRE 2011. T’es assis dans ton canapé, ou du moins sur la plure qui te sert de canapé, lorsqu’elle arrive, sans toquer, sans aucune gêne de rentrer chez toi comme si… comme si c’était encore chez elle. Il pleut dehors et elle est trempée, ses cheveux dégoulinent et tu peux apercevoir ses sous-vêtements par transparence. Et ça te frappe. Comme une grande claque dans ta gueule d’abruti. Parfaite, elle est parfaite. En tout point. Gaïa… Qu’est-ce que tu fais ici ? Elle vient s’assoir à côté de toi et laisse traîner un regard désapprobateur sur ce qui était autrefois votre chez vous. J’avais envie de… Passer du temps avec toi. Et pas avec ton connard de petit ami ? Mais tu t’abstiens de toute remarque, parce qu’après tout, elle est là et c’est tout ce qui compte, même si la situation est gênante et qu’elle fait renaître un espoir malsain enfoui au fond de toi. Tu peux aller te sécher si tu veux, tu sais où est la salle de bain. Il doit rester des affaires dans ton tiroir. Elle pose sa main sur ton visage et te remercie, pas tellement pour ce que tu viens de dire, mais peut-être juste parce que tu n’as pas insisté, n’as pas posé de questions superflues, n’as ajouté aucune remarque acerbe qui te caractérises pourtant tellement bien et qui, tu le sais, sont l’une des raisons pour laquelle elle n’est plus Gaïa Onassis. T’es en train d’allumer ta clope, le film ne demande qu’à être lancer, ton whisky et sa vodka citron sont servis lorsqu’elle se manifeste derrière toi. J’ai pas trouvé mes affaires, alors… Alors ce sont tes affaires qu’elle porte. Comme avant. Encore une fois, tu ne fais aucune remarque, même si tu jurerais qu’elle l’a fait exprès. Et cet espoir malsain qui s’installe à nouveau. Elle avale son verre, puis un autre, et encore un. Mais toi, tu n’as même pas fini le premier. Au fur et à mesure que son taux d’alcoolémie a augmenté, sa gêne a disparu, elle a maintenant posé ses jambes sur les tiennes, elle ne regarde plus le film à présent, elle ne regarde que toi. Et puis, elle vient s’assoir sur toi, son visage, tellement près du tiens, ses yeux qui ne voient que les tiens et puis ses lèvres, qui viennent chercher les tiennes, dans un chaste baiser. Quand est-ce qu’on a arrêté d’être comme ça Edgar ? Quand tu as commencé à accorder plus d’attention à tes coéquipiers qu’à elle. Quand vous avez commencé à vous disputer pour des banalités. Quand tu as commencé à lui hurler dessus et à ne plus essayer de la rattraper quand elle quittait la maison. Quand elle finissait par espérer que tu ne sois pas là quand elle rentre. Quand tu as arrêté de tout lui dire, de te confier à elle. Quand elle ne s’est plus inquiétée de ne pas te voir rentrer de la nuit. Quand tu as dérapé et que tu l’as trompée. Quand vous avez arrêté de rire. Quand vous avez commencé à vous éviter. Quand vous avez commencé à ne plus vous manquer. Tu me manques. Et ses lèvres se posent à nouveau sur les tiennes, le baiser n’est plus chaste, il est fougueux, passionné, il à votre image, il est ce que vous étiez quand tu lui as demandé de t’épouser et qu’elle a dit oui, fougueux et inconscients, amoureux, simplement. Et puis vous avez fait l’amour, comme toujours, comme jamais, comme la première fois. Et puis, le lendemain matin, à nouveau sobre, elle s’est réveillée dans tes bras. Ne pars pas. Tu as essayé de la retenir, tu as posé ton front contre le sien et l’a presque supplié de rester. En vain. Tu sais très bien que toi et moi, ça ne marchera pas. Et puis elle a claqué la porte. Sur votre mariage et sur cet espoir malsain qui venait de mourir en toi.
BASE DE REDSTONE, SEPTEMBRE 2012. T’es prêt à monter dans l’avion, prêt à partir au front. Et même si tu jures détester les au revoir larmoyant, tu ne peux t’empêcher de ressentir un peu de jalousie, parce que personne n’est là pour toi, bien sûr, on t’a appelé, envoyé des messages, mais personne n’a pris la peine de se déplacer. Edgar. Si voir ta mère, ton père ou l’un de tes frères et sœurs ne t’aurais pas étonner, la voir elle est une réelle surprise. Et ça se lit sur ton visage. Vous restez quelques secondes l’un en face de l’autre, sans rien dire puis, elle se jette dans tes bras et tu en lâches ton sac, elle t’embrasses comme si sa vie en dépendait, comme si elle tentait le tout pour le tout, comme si la mort d’attendait après ton embarquement. Ne pars pas. Comme un air de déjà vu, presqu’un an est passé, les rôles se sont inversés, mais c’est le même topo, faire rester l’autre coûte que coûte, quitte à abattre sa dernière carte. Je t’aime. Tu passes ta main sur son visage et, intérieurement, la remercie de ne pas pleurer, parce que ce serait trop difficile à supporter pour toi, treillis ou non, elle reste ta plus grande faiblesse. Les yeux fermés, dans un murmure presque inaudible, la sentence tombe, c’est fini. Pour l’instant. Ca ne suffit plus. L’attaque est basse et mesquine et si tu te hais immédiatement d’avoir osé lui dire ça, tu n’en diras rien. La regardera te lancer se regarde que tu n’oublieras jamais, puis te tourner le dos et partir. Certainement ira-t-elle retrouver son nouveau petit-ami, et, même si ça te fais mal, tu l’as bien cherché. Puis tu es parti aussi, trois mois. Puis tu es revenu, avec comme souvenir une balle dans l’abdomen, qui restera là, bien au chaud, parce que ce serait trop risqué de l’enlever. Les cauchemars sont toujours là, ils sont revenus au moment où tu as posé le pied sur le sol américain. Vaincre le mal par le mal, c’est ça ton crédo, en mission, aucun cauchemar, tu n’as pas le temps pour cela. Rien n’a changé en deux mois, tu es toujours le même, et Gaïa, elle n’est toujours pas là. Tu n’as pas, encore, cherché à la recontacter. Mais un jour, peut-être, au détour d’une rue ou quand tu auras compris que c’est elle qu’il te faut.
N'OUBLIEZ PAS DE LIRE LE SPOILER.
Dernière édition par Edgar Onassis le Sam 5 Jan - 19:08, édité 2 fois
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Sujet: Re: (F) Au choix ✈ Pris. Jeu 3 Jan - 23:39
petites informations.
BIEN LE BONJOUR/BONSOIR tout d'abord merci de prendre le temps de vous intéresser à la jolie (ouais, ouais, elle n'a pas encore de tête, so what ?). Avant toute inscription, merci de lire ce qui suit.
AVATAR. au choix. j'avais pensé à Jasmine Tookes parce que GRAOU. mais à vrai dire, je n'y tiens pas plus que ça. en gros je pense qu'il faut qu'on en discute
PSEUDO. au choix. j'avais mis Gaïa, mais encore une fois je n'y tiens pas plus que ça. j'aimerais juste que vous évitiez les pseudos trop longs (à base de vingt prénoms quoi), sinon, j'aime bien; Albane, Orane, Miloé, Ilane, mais c'est à votre guise.
HISTOIRE/LIEN. puisque je n'ai pas réellement mis d'histoire, c'est à vous de voir, évitez par contre l'histoire trop tragique et peu crédible. le lien est à discuter, si certaine chose ne vous plaisent vraiment pas, je pourrais faire quelques concessions.
PRESENCE/RP. je n'ai pas vraiment d'exigences de ce côté, un RP d'une longueur correcte (pas des pages et des pages, mais pas cinq lignes non plus), me suffit.
VOILÀ, j'imagine que j'ai fait le tour, sachez que je bénis sur dix générations la personne qui prendra mon scénario et, ma boîte MP est open!
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Sujet: Re: (F) Au choix ✈ Pris. Ven 4 Jan - 12:12
Je marque mon territoire.
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Sujet: Re: (F) Au choix ✈ Pris. Ven 4 Jan - 12:13
Si ça veut dire que tu fais pipi sur mes jambes, saches que j'apprécie que très moyennement.