PIERRE R. PRIANO ∞ Mum, Dad, Sis, I'm back.

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Pierre Robbie Priano

C’est moi qui reprend ma vie en main. Vous, vous avez foutu quoi ces derniers temps ?

à partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-Neige.

NOM(S) : Priano. PRÉNOM(S) : Pierre Robbie. AGE : Vingt-huit ans. LIEU DE NAISSANCE : Base de Redstone. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire. SITUATION FINANCIÈRE : Moyenne voire aisée. MÉTIER/ÉTUDES : Militaire. SI MILITAIRE, GRADE : Caporal au moment de la prise d'otage, j'ai été nommé sergent pendant ma captivité. GROUPE : Learning War. AVATAR : James McAvoy. CRÉDITS : tumblr.

⊱ this time i'll be a bulletproof

✈ D'un tempérament plutôt calme, je suis raisonnable et généreux, réfléchi et aimable, courageux et sensible. Mais une sensibilité active, pas passive, juste la bonne dose qu'il faut à tout être humain et qui peut s'avérer, croyez-le ou non, très utile quand on est militaire. Tout le monde appréciait le jeune homme que j'étais, que j'aurais du mal à redevenir. Courageux, j'ai défendu les intérêts de ma patrie et puis j'ai du me battre pour ma propre vie. Stratégie et réflexion m'ont aidé à sortir de l'enfer mais c'est surtout une volonté obstinée de vivre qui m'a permis de m'en sortir.

⊱ i was meant to be a warrior Adolescent, tout le monde m'adorait, profs, amis, parents d'amis ✈ Être militaire, c'est un peu dans mes gênes ✈ Quand j'avais vingt-deux ans, j'ai été pris en otage à Gaza et j'en suis sorti le 14 avril 2013 ✈ Le 23 mai, ça aurait fait 5 ans que j'étais en captivité ✈ Depuis que je suis rentré à la maison, je dors mal, je cauchemarde, je hurle dans mon sommeil ✈ Je voudrais tout oublier, mais ça va être compliqué ✈ J'ai développé une certaine forme de claustrophobie depuis que je suis rentré ✈ Pendant cinq ans, le souvenir de ma petite soeur m'a permis de tenir et finalement, la revoir me fait peur ✈ Je ne pleure devant personne mais je craque souvent dès que je suis seul ✈ Je n'aime pas fumer et pourtant, c'est la première chose que j'ai eu envie de faire ✈ Le tabac a une odeur de liberté même si son goût me donne envie de gerber ✈ Avant, ma blague préférée était « c'est l'histoire d'un pingouin qui respire par les fesses, un jour il s'assoit... et il meurt » mais je n'ai pas rigolé depuis plus de quatre ans ✈ Enfin si, j'ai eu un fou-rire quand j'étais dans le désert, quelque chose qui avait le son de la démence ✈ Sur les vinqt-trois personnes de mon escouade, cinq ont été prises en otage. Sur cinq, on est deux à être revenus vivants ✈ On m'a donné le rang de sergent pendant ma captivité, j'ai eu un dédommagement assez conséquent à mon retour et on m'a décoré de la Silver Star ✈ J'ai le droit à quelques mois de répit avant de prendre une décision mais de toute façon, pour le moment je serais bien incapable de retourner sur le terrain, autant physiquement que psychologiquement ✈ Je ne suis pas devenu fou, je suis juste momentanément détruit ✈ J'ai des yeux si bleus que c'est difficile de les fixer longtemps, ils étaient pétillants avant ✈

dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : Hélo. FILLE OU MEC ? : Fille. AGE : 17 ans. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 4/7. SCENARIO OU INVENTÉ ? : Scénario (Noam). LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : Jolem. LE MOT DE LA FIN : J'ai vu que Noam avait posté une absence... J'ai hâte d'être validée alors faut qu'elle rentre vite ! *-*

Code:: [i][color=#8C032A]James McAvoy[/i][/color] ✈ Pierre R. Priano

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⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…

Il est un moment dans la vie où chacun se doit de faire un point sur ce qu'il a vécu, ce qu'il n'a pas vécu et ce qu'il aurait voulu vivre. Je sers ces doigts dans ma main, ce sont des doigts d'homme, pas bien robustes, et si je ne me concentre pas, j'ai l'impression que ce sont des doigts de femme. Je m'y accroche faiblement et je me laisse imaginer que ce sont ceux de ma petite sœur. Le soleil me brûle les yeux et je vois flou. J'ai soif, le ciel est si bleu, bleu comme mes yeux. Je veux dire quelque chose, je crois que c'est juste 'aidez-moi' mais je voudrais dire le nom du mec à qui je sers la main. Ou celui de Noam. Ou juste maman. Quand j'étais enfant et que je réfléchissais à la mort, je me disais que le dernier mot que je voulais dire, c'était maman. Ces dernières années, je l'ai pleuré beaucoup. Je l'ai écrit dans la poussière et je l'ai gravé dans mon cœur. Alors aujourd'hui, alors que le soleil me brûle les yeux et que je tiens une main d'homme dans la mienne, je devrais m'évanouir comme il l'a fait mais je n'y arrive pas, je garde mon regard obstinément fixé sur cette étoile qui fait fondre mon cerveau et je pense à qui je suis et à qui je ne suis plus.
Je m'appelle Pierre Priano, j'ai vingt-huit ans, je suis né en Alabama à la base de Redstone où j'ai grandi, mon père est un militaire, je suis un militaire, j'ai une petite sœur qui s'appelle Noam, je suis retenu en otage quelque part en Israël depuis le 23 mai 2008, ça fait maintenant 1787 jours soit 4 ans, 10 mois et 22 jours que je suis ici, je suis Pierre Priano et je suis encore vivant, ne m'oubliez pas.

Quand on va mourir, certaines personnes disent qu'on revoit toute notre vie défilée devant nos yeux. Je crois que c'est exactement le bon moment pour moi.

J'ai eu une enfance normale. Aussi normale que soit l'enfance d'un petit garçon dont le père est militaire et souvent absent. J'ai une petite soeur qui s'appelle Noam et que j'aime aussi fort que possible. Je crois pouvoir dire sans être trop narcissique que tout le monde m'appréciait. Je n'étais pas un adolescent ingrat, j'étais sympathique, plutôt bon élève, poli. Et surtout j'avais le gêne militaire. Alors j'ai suivi les traces de mon père, je me suis engagé, j'ai monté les échelons. Jusqu'à mes vingt-deux ans.

23 mai 2008. Mon escouade est affecté à un poste armé à la frontière Sud d'Israël, près de la bande de Gaza. La nuit est calme et avec les autres gars, on détend l'atmosphère avec des petites anecdotes, tout en restant sérieux. Le soleil se lève à peine lorsque les premiers tirs se font entendre. Puis une explosion. Tout va très vite. On est vingt-trois, notre commandant vient de mourir, transpercé par une barre métallique envoyée dans l'explosion. Quelques autres de nos camarades sont morts, il y a des blessés. On garde notre sang froid pendant que les tirs redoublent. Des hommes dont le visage est masqué par des tissus enroulés autour de leur tête hurlent. Ils sont nombreux, nous sommes pour la plupart blessés, une douleur lancinante me vrille la tempe. D'un coup de crosse, un homme me frappe derrière la tête et je sombre dans l'inconscience.

Quand j'ai refait surface, j'ai craché mes poumons un moment avant de pouvoir analyser l'environnement hostile dans lequel je me trouvais. Les liens dans mon dos me coupaient la circulation dans mes mains, j'avais dans la bouche le goût métallique du sang et la douleur à ma tête semblait ne jamais pouvoir se calmer. A chaque fois que je respirais, un nuage de poussière se soulevait et me faisait encore plus tousser. Autour de moi, mon regard brouillé a deviné quatre silhouettes. Je n'ai reconnu que le visage de celle la plus proche de moi et j'ai appelé le nom de Peter Caulfield, mon supérieur. Il m'a regardé un long moment, il avait un œil tuméfié, avait du mal à respirer lui aussi. Il faisait une chaleur épouvantable. Nous étions cinq de notre escouade, nous n'avions aucune idée de ce qu'il était arrivé aux autres, de ce qu'on attendait de nous et de combien de temps il nous restait à vivre.

Lorsque des militaires sont pris en otage, il est très rare que les négociations mènent à quelque chose. Parfois il n'y a même aucune négociation. Il était très peu probable qu'on nous laisse la vie sauve. Nous n'avions plus qu'à espérer qu'ils rendent nos corps à nos familles pour qu'elles puissent faire leur deuil. J'avais vingt-deux ans et en me rendant compte que j'allais mourir, j'ai pleuré et mon supérieur m'a regardé chialé sans rien dire. Pendant deux jours, personne n'est venu nous voir. Puis la troisième nuit, on nous a mis des sacs sur la tête et on nous a emmené ailleurs. Ailleurs, c'était moins pire. C'était une sorte de trou dans le sol, comme une grotte souterraine et on ne voyait le ciel qu'à un petit endroit. Tout était encore plus poussiéreux mais la nuit, il faisait un peu plus frais. La journée par contre, c'était encore plus insupportable mais on s'y faisait. On nous a détaché nos liens et on nous a donné une bouilli infâme mais on crevait de faim alors on n'a pas fait les difficiles. Au fond de la grotte, il y avait un petit filet d'eau qui coulait entre les roches et on pouvait se laver un peu. Un des gars avait été blessé par balle pendant notre enlèvement. Septicémie. Il est mort au bout de deux semaines.

Un jour, au bout d'un mois environ, nos ravisseurs sont venus nous donner à manger et pour une fois, ils ont parlé. On ne comprenait absolument rien. Mais il y en a un qui a parlé un anglais approximatif, il a dit que si on faisait ce qu'ils disaient, ils ne nous tueraient pas. Ils ont fait une vidéo, je ne sais pas quelle allure j'avais mais quand je regardais mon supérieur et que je le comparais à l'image qu'il donnait de lui au début de notre mission, je me disais qu'on devait tous avoir l'air pitoyable. Ils nous ont fait dire nos noms, chacun notre tour. Peter Caulfield, James Fawkes, William Lagarde et Pierre Priano. Et puis la date. J'ai pensé à ma famille et je les ai imaginé en train de regarder cette vidéo. Puis je me suis dit que s'ils faisaient cette vidéo, c'était qu'on avait une chance.

Ça a duré un peu plus de quatre ans. On ne sortait jamais de notre petite prison de terre, on perdait un peu la notion du temps mais William avait une montre qui donnait la date. La dernière fois qu'ils nous ont fait faire une vidéo, c'était le 28 septembre 2011 et depuis, nos familles n'avaient aucun signe que nous étions encore en vie. On se doutait que les négociations étaient bloquées, si négociations il y avait. Dans la poussière, j'écrivais le nom de ma petite sœur le jour de son anniversaire. On ne parlait pas vraiment avec les autres. On maigrissait à vue d'œil, des barbes repoussantes avaient poussé sur nos visages. La nuit, je faisais des cauchemars mais je n'étais pas le seul. Une nuit, Peter a crié si fort dans son sommeil qu'ils sont venus l'assommer pour qu'il se taise. Une autre nuit, William a arrêté de respirer. Avant qu'ils ne viennent récupérer son corps, je lui ai pris sa montre parce qu'on avait besoin de connaître la date.

Peter réfléchissait. J'étais sûr qu'il délirait parce qu'il murmurait des trucs incompréhensibles, il faisait les cent pas en analysant la caverne alors qu'on n'emmagasinait pas assez d'énergie pour se permettre cette folie. Et puis un jour, il nous a dit, à James et moi, de ne pas tout manger de ce qu'on nous donnait, d'en garder une petite part. Ça paraissait stupide comme idée parce qu'on nous donnait même pas assez pour calmer les crampes que la faim donnait à nos estomacs et qui semblaient ne plus pouvoir nous quitter. Mais on l'a fait parce qu'avant la prise d'otage, Peter était notre supérieur à tous les deux. Puis une nuit, il a dit 'levez-vous les gars, on se fait la malle'. On aurait tout fait pour quitter cet endroit, que ce soit pour mourir ou pour rentrer chez nous. Alors on l'a juste suivi. On découvert ce qu'il fichait au fond de la grotte la nuit. On pensait qu'il dormait près du petit courant d'eau pour avoir l'impression d'être un peu plus au frais, mais en fait, il dégageait les pierres, tout doucement, depuis au moins deux ans. Il n'avait rien dit parce qu'il ne voulait pas qu'on se fasse de faux espoirs. On est sortis, on s'est enfuis. On a couru pour la première fois depuis presque cinq ans. On n'a pas réfléchi à notre direction, on était dans une sorte de camps avec pleins de toiles de tente, on ne savait pas dans quelle partie d'Israël on était, il fallait juste qu'on mette le plus de distance possible entre nous et la grotte avant qu'ils se rendent compte qu'on n'était plus là. C'était le 14 avril 2013.

Ce qui nous mène à aujourd'hui, alors que je sers la main amaigrie de Peter dans la mienne. On a traversé une forêt pendant la nuit et au petit matin, on est arrivés devant une pleine déserte. Les pieds en feu mais heureux, on ne s'était jamais sentis aussi libres qu'à cet instant. Le climat était sec, le soleil tapait. James a été piqué par un serpent, on a essayé d'aspirer le venin et il a continué à marcher avec nous pendant deux heures avant de tomber. Il nous a dit de le laisser là, qu'on devait rentrer à la maison et il nous a donné un mot pour sa femme. On n'avait pas le choix, si on restait là avec lui, on allait mourir aussi. Alors on a continué. Mais après trois jours de marche et la terre qui n'en finissait pas à l'horizon, on s'est arrêtés. Je crois que ça fait environ deux heures que Peter dort. Et moi, je ne veux pas dormir. Je suis à mi-chemin entre la conscience et l'inconscience et quand j'entends des voix, je crois délirer. Un visage se penche au dessus de moi et le vieil homme me fait penser à un hibou. Je souris, je crois être devenu fou à cause du soleil qui me liquéfie le cerveau. Si au moins j'aurais pu avoir le mirage d'une jolie fille. L'homme baragouine un truc que je ne comprends pas et je continue de sourire de ma propre bêtise. Un autre homme se penche au dessus de moi et je sens les doigts de Peter qui m'échappent. Et j'ai l'impression de mourir mais au moins, ce sera libre.

~ ~ ~ ~ ~

Dans les terres du Sinaï, un petit groupe de nomades nous a retrouvé au milieu de nul part. Ils nous ont conduit au plus proche village où j'ai repris connaissance. Ensuite, on est allés à Suez puis directement au Caire. A Suez, on nous a fait la toilette et j'ai pu observer mon visage pour la première fois en presque cinq ans. Je ne me reconnaissais plus. Avec ma barbe, mes traits tirés, mes joues creuses et mes yeux éteints, j'avais l'impression d'avoir au moins quarante ans. Et quand on m'a rasé de près, je faisais soudainement face à une sorte de cadavre qui paraissait en avoir vingt tout au plus. Au Caire, quand on est arrivés à l'ambassade des États-Unis, Peter et moi avons été assaillis de questions. Nous n'avions aucune réponse, si ce n'est que, oui nous étions les seuls survivants, que William était mort un an auparavant, que pour James ça ne remontait qu'à une semaine et que nous nous étions échappés.

Aujourd'hui, dimanche 21 avril, il est à peine six heure du matin quand je prends l'avion et que je rentre enfin à la maison.

Je te préviens d'avance, ton personnage aura un lien avec mon autre compte ( on en a parlé avec Noam avant qu'elle fasse le scéna, et elle ne l'a pas ajouté, mais c'est un lien positif Very Happy

)

Bienvenue et bon courage pour ta fiche Very Happy

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Oh, mon cher et tendre James mia cara la la la

Contente de voir le scénario de Noam pris aussi vite, je me disais bien que Priano me disait quelque chose PIERRE R. PRIANO ∞ Mum, Dad, Sis, I'm back. 1826528627

PIERRE R. PRIANO ∞ Mum, Dad, Sis, I'm back. 1826528627

Bienvenue à toi, si tu as des questions, le staff est là pour y répondre I love you

$let\'s make babies$

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Bienvenue sur BP PIERRE R. PRIANO ∞ Mum, Dad, Sis, I'm back. 2145037518

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JAMES

Ce mec est un dieu mia cara la la la

Bienvenueeee you should be dancin

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Merci tout le monde ! bril bril les zieux

Chloé : D'accord pour le lien, je suis ouverte à tout, tu m'expliqueras. \o/

EDIT : J'ai fini ma fiche et... wow, je pensais pas avoir autant écrit x) Je vais peut-être mettre en gras le plus important pour ceux qui n'ont pas le courage de tout lire ! xD

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Bienvenue ! you should be dancin

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magnifique fiche ça me va à genre.. 300% !! c'est génial!!!
valider mon Pierrot tout de suite si vous voulez <3 <3 <3

j'adore en particulier cette partie

Citation :: Je m'appelle Pierre Priano, j'ai vingt-huit ans, je suis né en Alabama à la base de Redstone où j'ai grandi, mon père est un militaire, je suis un militaire, j'ai une petite sœur qui s'appelle Noam, je suis retenu en otage quelque part en Israël depuis le 23 mai 2008, ça fait maintenant 1787 jours soit 4 ans, 10 mois et 22 jours que je suis ici, je suis Pierre Priano et je suis encore vivant, ne m'oubliez pas.

je trouve que les mots donnent un effet magnifiqe <3

BULLETPROOF InvitéInvité

James *-* Graouuuu
Bienvenue parmi nous en tout cas I love you

Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles faire une demande de logement pour ne pas qu'il dorme à la rue et, une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.

Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !