NEAL + i used to think the past was dead and gone, but i was wrong

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NEAL DOUGLAS BARBARA

“The marks human leaves are too often scars” — JOHN GREEN

à partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-Neige.

NOM(S) : Barbara. PRÉNOM(S) : Neal, Douglas. AGE : 32 ans. LIEU DE NAISSANCE : Toronto, Canada. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. SITUATION AMOUREUSE : Veuf. SITUATION FINANCIÈRE : Moyenne/aisée. MÉTIER/ÉTUDES : Pédiatre (spécialisé dans la psychiatrie), bénévole auprès d’un centre d’appel à la prévention du suicide et de la dépression. SI MILITAIRE, GRADE : Aucun. GROUPE : Ignoring War. AVATAR : Aaron Tveit. CRÉDITS : (c) tumblr.

⊱ this time i'll be bulletproof

Neal a toujours cultivé un point de vue unique sur les choses qui l’entourent. Il aime faire les choses à sa manière et n’apprécie pas d’être remis en question sans motif. Il offre sa confiance aux autres, mais ça n’est jamais facile de l’obtenir. Il estime qu’une personne doit se montrer méritante avant de pouvoir l’acquérir concrètement. Il n’est pas facilement impressionnable et peut se montrer obstiné dans ses torts. S’il était connu comme un impulsif irrévocable, son veuvage et sa mission humanitaire l’ont transformé en un homme calme, posé. Presque froid, parfois. Neal a des principes et des valeurs qu’il n’abandonne pas aisément. Il est doué d’une grande compassion, ce qui le handicape à moitié autant que ça l’avantage dans son métier. Il est incapable de se pardonner d’avoir ‘abandonné’ Emily. Il cherche encore ses marques avec Harrison. Il a un sens de l’humour qui tombe souvent à plat.

⊱ i was meant to be a warrior il réprouve les armes à feu

il se ronge les ongles lorsqu'il est nerveux

il court tous les jours sans exception

il est hyperactif mais a interrompu son traitement il y a quelques années et dépense son énergie dans des activités sportives

est contre la drogue et contre tout ce qui peut altérer l’état physique ou mental d’une personne

conséquemment, il ne fume pas, mais se laisse aller dernièrement à quelques verres de vin pendant le repas

il écoute majoritairement du jazz et de l’acoustique

il a conservé son alliance et préfère dissimuler son veuvage par 'omission' à autrui

il est végétarien depuis quelques années

il a un tatouage sur l'omoplate en souvenir de ses années à Rexdale: "HIC ET NUNC" avec le nom du quartier écrit en plus petit au-dessus.

inconsciemment, ou presque, il évite sa paternité à cause des souvenirs qui l'accompagne.

il ne parle jamais de son origine sociale

il parle couramment anglais et espagnol

il s'investit parfois un peu trop dans son travail

il n'aime pas regarder la télévision et manque de culture cinématographique

quand il était plus jeune, il souhaitait être noir

il ne sait pas vraiment pourquoi Redstone; mais il a le sentiment d'avoir besoin d'un retour aux sources.

dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : delta/marion. FILLE OU MEC ? : Tardis pervert look

. AGE : 18 ans. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 4/7. SCENARIO OU INVENTÉ ? : Inventé. COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : Par twitter ! C'est un peu un 'comeback' dans le sens où je m'étais inscrite avec Max Barnes le mois précédent mais par un malheureux concours de circonstances, je n'ai pas eu le temps de terminer ma fiche malgré les généreux délais de la team. Maaais, je suis décidée à rester yo LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : écrire ici. LE MOT DE LA FIN : écrire ici.

Code:: [b]aaron tveit[/b] neal barbara

BULLETPROOF InvitéInvité

⊱ You once told me our fingerprints don't fade from the lives we touch. Is that true for everybody, or is it just another poetic bullshit ?

Qui saurait se rappeler du premier à avoir tiré? Aucun. Et puis, quelle importance maintenant? Les autres ont fait sauter le cran de sûreté et ont ouvert le feu comme si leur vie en dépendait. C’était pas l'cas.
Ils étaient quatre. C’était il y a plus de vingt ans et pourtant, les mémoires locales sont toujours écorchées vives par le sentiment d’horreur qui est né ce jour-là. Paul Barbara a déshonoré. Oh, il n’était pas seul. Ses camarades aussi; seulement eux se sont repentis. Paul quant à lui, a préféré prendre sa femme et son gosse avant de s’esquiver à l’anglaise pour ne pas avoir à affronter la colère, la honte et la culpabilité qu’il avait attirées sur sa famille. C’est sans doute pourquoi les journaux de l’État s’en sont donné à cœur joie pendant des semaines: “Un sous-officier de Redstone s’envole pour le Canada après la tuerie sanglante provoquée dans le cadre de la Guerre du Golfe”. Ou encore “Une tragédie qui n’est pas sans rappeler le cas Barbara, deux ans plus tôt …” et blablabla. Les journalistes sont des vautours qui ont toujours su jeter du sel sur les plaies. Évidemment, Paul et ses camarades n’étaient pas entièrement responsables. C’est ce qu’on appellerait un malheureux concours de circonstances, à vrai dire. Ils se sont aventurés dans une zone à risques et ça a mal tourné. Ils pensaient même s’attaquer à une coalition ennemie et aboutir une mission sauvetage. Ils ignoraient que le camp avait été déserté en début d’après-midi et qu’il ne restait finalement qu’une poignée de civils et leurs otages américains. Un homme exténué n’a pas su faire la différence: effrayé par le débarquement de l’équipe de secours, il a tiré. Paul Barbara et ses compagnons ont riposté mécaniquement. Mais personne ne s’intéresse jamais aux intentions n’est-ce pas; seuls les faits comptent et les nombres définitifs sont : huit civils, deux enfants et quatre otages tués sur le coup.

+ once, when i was little
J'étais trop jeune pour comprendre. Redstone, c'est tout ce que j'ai connu pendant mon enfance. Les officiers étaient habitués à m'avoir dans les pattes, à me voir jouer avec une série de trombones dans les bureaux et m'emmenaient parfois sur les parcours d'obstacles pour que j'assiste aux performances des soldats en apprentissage. Ils me laissaient même escalader les murs lorsqu'ils étaient de bonne humeur—et motivés à m'accompagner jusqu'en haut. Je n'étais pas le seul gamin sur la base, mais j'ai plus souvent apprécié la compagnie d'adultes que celle d'enfants de mon âge. Je me rappelle que ça rendait ma mère complètement folle ce genre de ‘développement social’ —et blabla, son jargon de professeur des écoles. Puis, mon père est rentré de la Guerre du Golfe. J'étais très content de le voir, parce qu'il était parti depuis plusieurs mois et que la maison semblait dépeuplée lorsqu'il ne restait plus que ma mère et moi pour attendre son retour. Mais celui-ci n'a pas enflammé les foules, ah ça non. Et même qu'ils tiraient tous la tronche. Évidemment, si j'avais su j'aurai tiré la tronche aussi. Quelques semaines plus tard, on partait pour Toronto, la ville natale de ma mère, Rachel.

+ don't wonder why people go crazy. wonder why they don't.
Ma mère s’était convaincu qu’on traverserait cette période sans dommage. Qu’il suffirait qu’on se serre les coudes pour que la tempête passe son chemin au-dessus de nos têtes. Elle a toujours été la plus optimiste de nous trois, même à cette époque. La première année, nous avons vécu dans une zone pavillonnaire très tranquille dans le centre de Toronto. C’était complètement différent de l’Alabama et je me suis souvent surpris à regretter mes anciens repères; le footing des recrues à cinq heures du matin, le chenil militaire, les écuries d’Huntsville. Il n’y avait rien ici pour me rappeler Redstone, pas même la pétarade de la tondeuse du voisin. Éventuellement, j’aurai réussi à m’accoutumer à cette atmosphère, j’en suis sûr. Seulement voilà, mon père était incapable de tenir un emploi stable. Il traversait une dépression, classique SSPT, et ne cessait de consulter les journaux qui traitaient de son épisode en Arabie Saoudite; il n’avançait plus. Le salaire de professeur de ma mère ne suffisait pas à nous maintenir à flot; alors nous avons dû déménager une seconde fois, dans une rue de Rexdale. C’était un quartier nettement moins fréquentable que celui que nous quittions, le commissariat affecté nous a prévenus. Mais c’était le seul qu’on pouvait s’offrir.
Toronto était un véritable creuset d’origines. La démographie était principalement composée d’immigrants, alors ça n’a pas été trop difficile de me fondre dans la masse. C’est sur les bancs de l’école que j’ai rencontré Conrad—un grand black débonnaire— et Emily. Lorsque je n’étais pas chez moi à subir la paranoïa de mon père, c’est que je me trouvais avec eux, sur un trottoir de Rexdale, à parler d’évasion et de rêves inaccessibles.
Ah oui, la parano de mon père. Je n’ai jamais vraiment compris ce qui se passait dans sa tête à l’époque. Il était constamment sur le qui-vive, il vivait mal dans ce quartier de ‘criminels’ et se plaignait des menaces qu’ils impliquaient. Conséquences: À treize ans, j’étais capable de monter et démonter un 45mm sans plus avoir à y penser. L’école militaire, à la maison. C’est sans doute pourquoi j’ai renoncé à signer dans l’armée. Non, j’étais un intellectuel. Après le lycée, j’ai décroché une bourse d’études à l’université pour commencer un parcours de médecine.

+ to build a home; for you, for me.
Emily était une fille très simple; c’est sa famille qui l’était beaucoup moins. Parfois, j’avais honte de me plaindre de mon père en sa présence. Ses parents étaient un couple de junkies. Elle était jeune lorsque son père a fait une overdose; mais pas assez pour être récupérée par les services sociaux lorsqu’ils embarquèrent sa petite sœur quelques mois plus tard. Elle a commencé à dealer pour pouvoir amortir les consommations de sa mère, sans jamais y toucher elle-même. Le crack, ça tuait plus d’une vie et elle le savait. Elle n’aimait pas en parler, alors Conrad et moi n’abordions jamais le sujet à la légère. En 2002, j’ai terminé la fac de médecine. Ça faisait longtemps qu’on parlait de quitter Toronto. Et puis nous valions tellement mieux que ce putain de quartier ! Mais nous n’avions pas les moyens. Toutes mes économies passaient dans mes études de médecine et, elle-même vivait sur le fil du rasoir depuis que sa mère fréquentait un dealer. La mienne nous aurait sans doute aidés si je le lui avais demandé; mais je ne m’y suis jamais résigné. Quel genre d’homme demande de l’argent à sa mère? Je ne me suis jamais demandé comment Emily avait trouvé l’argent. Rétrospectivement, je sais que je me voilais la face et que je n’avais pas envie de savoir d’où elle tirait ces milliers de dollars. Naturellement, je l’ai épousée. Mon père n’était pas ravi, mais rien ne pouvait le faire sourire ces derniers temps alors tanpis. J’ai décroché ma place à l’École de médecine d’Harvard et nous avons déménagé à Newton, dans le Massachusetts.

J’ai terminé l’École de médecine, j’ai entamé ma résidence et je n’étais pas assez présent. Elle restait souvent seule chez nous —nous avions réussi à nous trouver un petit pavillon, avec un atelier à l’étage où elle pourrait pratiquer sa passion pour la peinture, le dessin et la photographie. Je savais qu’Emily était forte, mais elle n’était pas invulnérable. Dans sa tête, elle vivait encore au quartier. J’étais convaincu de pouvoir encaisser n’importe quelle situation; de pouvoir la soutenir et chasser la dépression. Mon succès à l’école avait cultivé mon égo et j’étais bien trop orgueilleux à son sujet. Je ne savais pas qu’elle continuait à dealer. Qu’elle s’était mise dans un pétrin innommable. Que ses allers-retours entre Toronto et Boston n’étaient pas le produit de visites de courtoisies. Elle commerçait entre les frontières. Elle me l’a avoué après mes trois ans de résidence. Alors, je me suis déplacé à Toronto à mon tour. J’ai payé une visite à son supérieur et ça a mal tourné. J’ai descendu le type. Légitime défense, mais les motifs de ma présence auraient été trop difficiles à expliquer aux forces de police. Alors, j’ai appelé Conrad. Il m’a aidé à disposer du corps et je suis rentré à Boston, plus perturbé que jamais. Bien entendu, je n’en ai jamais parlé à Emily. Je lui ai seulement dit qu’elle n’avait plus à s’inquiéter, qu’ils iraient bien maintenant. Deux années sont passées et je nous pensais tirer d’affaire. Nous attentions notre premier enfant. Elle me semblait presque sereine dans les derniers jours, vous savez. Je n’ai repéré aucun signal —encore ce foutu orgueil. J’étais sûr, convaincu, persuadé, qu’elle allait mieux et qu’elle commençait à se libérer de son passé sombre. Je suis rentré après trente-six heures de service. Et elle n’était plus là. J’ai appelé une ambulance, tenu ses poignets. Elle est arrivée un quart d’heure plus tard, ils ont sauvé le bébé mais pour Emily, c’était trop tard. C’était trop tard depuis des années, à vrai dire.

+ holding on and letting go.
J’étais un jeune médecin à l’aube de ses trente ans et on me proposait déjà des places prometteuses dans plusieurs établissements à l’issue d’articles publiés par mes soins dans des revues médicales. J’ai tout mis entre parenthèses. J’ai confié Harrison à ma mère ; parce qu’il était trop tôt pour que je m’occupe de quelqu’un d’autre que moi-même —et même là, je peinais. J’ai écrit une lettre à Conrad, pour le mettre au courant. J’aurai préféré le lui annoncer en personne, mais je n’en avais pas la force. Je me suis engagé dans un voyage humanitaire pour Médecin sans Frontière. Six mois à l’écart. Quand je suis rentré, j’ai décidé de retourner à Huntsville. J’ai trouvé une place de titulaire à l’hôpital, inscrit Harrison à la maternelle. Essayer de me remettre à fonctionner comme un être humain et non plus comme un automate.

ajfknvj AARON QU'EST-CE QU'IL EST CANON LUI. omagad

bienvenue, ou plutôt rebienvenue tiens, c'est super que tu reviennes parmi nous, on pensait t'avoir perdu quoi NEAL + i used to think the past was dead and gone, but i was wrong 2110073599

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je te mpotte pour un lien tiens, j'ai une petite idée qui vient de germer dans ma tête green face

BULLETPROOF InvitéInvité

bienvenuuue ♥

BULLETPROOF InvitéInvité

AMY + N'est-ce pas bril bril les zieux

J'attends impatiemment ton MP you should be dancin

Merci Ivy

NEAL + i used to think the past was dead and gone, but i was wrong 1128288640

je te réponds sur le champ mon coco pervert look

BULLETPROOF InvitéInvité

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche ♥

BULLETPROOF InvitéInvité

Bienvenue Patrick I love you

Le pseudo (ça me fait penser à Barbie de UTD héhéhéhéhé

) + le vava de guedin + ton titre rhaaaa omfg

bon courage pour ta fiche you should be dancin

BULLETPROOF InvitéInvité

ooow ton personnage a l'air trop adorable quoi mia cara la la la

et j'adore ton genre (TARDIS) héhé niark niark niark

bienvenue à toi beau gosse I love you

Bienvenue parmi nous NEAL + i used to think the past was dead and gone, but i was wrong 1839924927

BULLETPROOF InvitéInvité

Bienvenue sur BP I love you

Quel choix !

BULLETPROOF InvitéInvité

Bienvenue parmi nous NEAL + i used to think the past was dead and gone, but i was wrong 2145037518

BULLETPROOF InvitéInvité

bienvenue.

BULLETPROOF InvitéInvité

Merci les amis rhaaaa omfg

Fantine, ça vient de là rhaaaa omfg

Je pense avoir terminé in da woods

(re)Bienvenue parmi nous you should be dancin

Ton métier y dépote rhaaaa omfg

oh, t'as changé de prénom à c'que je vois bril bril les zieux

bah, écoutes, ta fiche est super mon coco, j'ai rien à redire quoi NEAL + i used to think the past was dead and gone, but i was wrong 2110073599

et puis, tes titres de catégories quoi omagad

bienvenue pour de bon parmi nous, alors! I love you

Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles faire une demande de logement pour ne pas qu'il dorme à la rue et, une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.

Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !

BULLETPROOF InvitéInvité

Oui

NEAL + i used to think the past was dead and gone, but i was wrong 2335398002

J'ai vu qu'il y avait un autre Patrick sur le forum et, je n'aime pas faire les doublons NEAL + i used to think the past was dead and gone, but i was wrong 1826528627

NEAL + i used to think the past was dead and gone, but i was wrong 1826528627

Et pis au final, je trouve celui-ci plus harmonieux.
Merci pour tes petits commentaires, je suis flattéeeee you should be dancin

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» ISAAC ~ Maybe I said the right things wrong.
» Leo • Kiss me if i'm wrong but... Dinosaurs still exist, right?
» i've been feeling so good by doing the wrong thing, adriel.
» Seth △ The past is never where you think you left it.
» blink and you're dead ✈ O.W

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