KJW ✈ maybe this world is another planet's hell.

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keaton jace winlock

How long is lonely supposed to last?

à partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-Neige.

NOM(S) : Winlock. PRÉNOM(S) : Keaton Jace. AGE : Trente ans. LIEU DE NAISSANCE : Detroit. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire. SITUATION FINANCIÈRE : Aisé, pas trop riche, pas trop pauvre. MÉTIER/ÉTUDES : Professeur de pilotage. SI MILITAIRE, GRADE : militaire retiré. GROUPE : Teaching war. AVATAR : Tyler Hoechlin. CRÉDITS : Tumblr.

⊱ this time i'll be a bulletproof

Keaton, comment dire, était probablement très différent lorsqu’il était jeune. En fait, lorsqu’on le rencontre, on ne s’imagine pas qu’il a déjà été jeune. Il a vu la guerre, il a vu la mort, il a vécu des défaites et a été endurci par beaucoup trop d’évènements de sa vie, tout ça occasionne un caractère plutôt difficile d’approche. Il a de la difficulté à accorder sa confiance et peut paraître très froid aux premiers abords, la carapace qui le recouvre ayant été blindé avec les années. Pourtant, si on creuse derrière cet air grognon et ses sourcils imposants, on trouve d’abord un homme qui aime bien se moquer gentiment et qui a un grand amour pour le sarcasme, puis un homme intelligent, qui en sait plus qu’il ne le laisse paraître parfois et, finalement, on peut découvrir un homme qui a eu trop souvent le cœur sur la main et qui a plus peur qu’autre chose. Il est un ami fidèle, le meilleur et il a tellement peur de blesser les gens qu’ils aiment qu’il ne parle jamais de ses problèmes. Il vit en solitaire, même s’il déteste ça et tout ce qu’il voudrait, en fait, c’est quelqu’un sur qui compter, mais il ne sait plus qui choisir. Alors, même s’il parait méchant, il est bien le dernier à mordre.

⊱ i was meant to be a warrior lorsqu'il était enfant, il adorait les avions et sa mère l'avait même amené en voir des vrais à l'aéroport; c'est probablement l'un des plus beaux jours de sa vie.

s'il n'a pas son café du matin, il est encore plus grognon que d'habitude et personne ne veut un Keaton encore plus grognon.

il adore secrètement regarder toutes ses émissions de télévision débiles.

il jouait au football américain lorsqu'il était adolescent et c'est probablement ce qui a développé son cardio et ses muscles.

il adore qu'on joue avec ses cheveux, même s'il ne l'avouera jamais.

il a une réputation de prof sévère et est rarement très apprécié de ses étudiants, mais, de toute façon, ils sont censé lui montrer du respect.

il a une dent très sucrée, s'il n'en avait pas si honte il commanderait chaque matin l'une de ses boissons caféinées à la cannelle

il ne se souvient pas de la dernière fois où il a rit de bon coeur

il voit un psychologue depuis plusieurs années, mais peu de personnes sont au courant. Il ne pense pas que ça lui sert à grand chose, mais l'armée le lui a conseillé.

dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : Arkmell. FILLE OU MEC ? : mia cara la la la

. AGE : Dix-huit ans, une vraie adulte. (a) FRÉQUENCE DE CONNEXION: 5/7 en général. SCENARIO OU INVENTÉ ? : Inventé. COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : Une amie. LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : Ouuuuuuui, pleins d'amour. I love you

LE MOT DE LA FIN : écrire ici.

Code:: [b]tyler hoechlin[/b] keaton j. winlock

BULLETPROOF InvitéInvité

⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…

1987; quatre ans
« Quand je serai grand, je vais conduire les avions ! » Il doit avoir quatre ans, des grands yeux, dont la couleur est indéfinissable, brillant de milliers d’étoiles. Il a entre les mains un avion en plastique rouge pompier et il sourit de toutes ses dents devant ces quelques enfants assit devant lui. Chaque enfant le regarde avec tout autant d’enthousiasme. Les parents sont assis derrière et regardent leurs enfants d’un regard attendri. Le garçon lève les yeux vers son père et sa mère, ils se tiennent la main et lui sourient. « Et lorsque je ne conduirai pas les avions, je vais être avec ma famille, parce que c’est le plus important. » affirme-t’il, d’un ton qui semble dire qu’il a entendu cette phrase plus qu’une fois. Il continue ensuite à parler d’avions au petit groupe d’enfants avant de s’asseoir et d’écouter avec attention tous les autres gamins. À la fin, l’enfant se lève et va rejoindre ses parents, chacune de ses petites mains dans la main d’un de ses parents, il les regarde le regard fier. « Je veux être comme vous plus tard. » leur répète-t’il, serrant le plus fort possible leurs mains, avant de quitter la salle de classe.

1995; douze ans.
Les étoiles fluorescentes collées sur son plafond brillent dans la noirceur de sa chambre, pale réflexion du ciel étoilé. Les yeux grands ouverts, Keaton les compte une après l’autre, sans arrêt. Il ignore quelle heure il est, probablement trop tard pour un garçon de douze ans, mais le sommeil ne semble pas le trouver. Peut-être que ce vieux marchand de sable a oublié de venir faire son tour, se dit-il en pensant à la vieille légende qu’il a vu à la télévision. Il recommence alors son décompte, ses pensées ayant voyagé vers un autre sujet. Il ne cesse pas, compte ses étoiles interminablement en espérant réussir à bloquer les discussions provenant du reste de la maison. Ça ne fonctionne pourtant pas. Il entend les paroles de ses parents, qui semblent avoir oublié qu’il était présent, couché dans son lit. Ils crient sans vraiment crier, pleure sans pleurer, se détestent sans se détester. Ce n’est que du théâtre, pour lui cacher la vérité et il ne comprend pas pourquoi. Leur famille n’est que mensonge, une magnifique maison dont l’intérieur est pourri jusqu’aux fondations. Malgré tout, il sait très bien qu’il va se réveiller demain et qu’ils vont sourire, comme s’ils s’aimaient encore, comme s’ils ne s’insultaient pas chaque nuit, comme si chaque mot n’était pas un coup de hache. Et ils ne sauront jamais que leur enfant fermait les yeux sur des larmes étouffées chaque nuit, le cœur haineux des mensonges, nostalgique du passé, désolé de la vérité. L'illusion est ce qui blesse le plus et il se trouve chaque soir à souhaiter simplement qu'ils acceptent de lui avouer la vérité.

2004; vingt-et-un ans
Elle est belle et elle le regarde, lui. Il en est un peu surpris à chaque fois et son cœur bondit dans sa poitrine. Il se surprend à sourire stupidement chaque minute de chaque jour et ses pensées s’éloignent souvent malgré lui. Il est en amour par-dessus la tête et il n’y comprend rien. Ses amis se moquent de lui et ses parents le regardent avec un sourire nostalgique. Il était persuadé que ça se calmerait, qu’après deux ans il cesserait d’être surpris par ses petites habitudes, par son grand sourire, par le ‘bonne nuit’ qu’elle lui dit chaque soir, par toutes ses petites attentions qu’ils se partagent et simplement par sa personne. Et, pourtant, elle est encore là, Élizabeth, toujours à ses côtés et prête à le soutenir, après plus de deux ans de relation de couple parfois compliquée. Aujourd’hui, elle lui offre son plus grand sourire, alors qu’elle tente de replacer ses cheveux. « Tu vas m’appeler ? » demande-t’elle doucement en lui attrapant la main. Ses parents sont un peu plus loin, il leur a déjà dit au revoir, ce n’était pas vraiment difficile, mais alors qu’il plonge dans le grand regard d’Éli et qu’il les voit, les larmes qu’elle tente de retenir, il n’a plus du tout envie de partir. Il sent son cœur se serrer et il reste muet. Elle semble voir ce qu’il se passe, car il a soudainement ses bras autour de lui. « Tu n’as pas le droit, Keaton Jace Winlock, imbécile, de faire une tête pareille avant de partir, tu devrais être heureux, d’accord ? Tu commences enfin ton rêve de gamin et il n’est pas question que je te retienne. » s’exclame-t’elle, en le serrant un peu plus fort. « Je compte sur toi pour m’appeler et pour revenir, par contre. » ajoute-t’elle plus doucement. Il prend une grande bouffée de son odeur, un mélange de son shampooing, du thé qu’elle boit trop souvent et de fraises. Ils restent ainsi probablement trop longtemps, mais personne n’est là pour les séparer. Lorsqu’ils s’éloignent finalement, il l’embrasse avec passion, tentant de tout son cœur de mémoriser l’empreinte de ses lèvres contre les siennes, puis il la quitte tout simplement ou peut-être pas si simplement que ça en fait.

2010; vingt-sept ans.
« Je pensais que… Je croyais que l’on pouvait se faire confiance ? » Sa voix est faible, tremblante. Ses yeux ne savent plus où se poser et la boule au fond de sa gorge lui fait mal. C’est pareil à une bombe qui lui serait tombé dessus, il était tellement heureux de rentrer de son dernier voyage à la base militaire et il ne comprend soudainement plus rien. « Je suis désolée Keat, je suis tellement désolée, mais… tu n’vois pas que ça n’fonctionne plus ? » murmure Élizabeth doucement, comme une mère qui tenterait d’expliquer quelque chose de difficile à un enfant, la mort d’un proche peut-être ou l’inexistence du Père Noël, mais cette fois c’est plutôt la rupture d’un couple. Après seulement six ans de relation, seulement six ans. Il a envie de lui crier que non, il ne voyait pas que ça ne fonctionnait plus, qu’il était encore fou amoureux d’elle et qu’il avait même une putain de bague dans son sac, mais il ferme les yeux et ravale ses paroles parce qu’il l’aime encore, justement, et que la blesser serait trop difficile. Il se contente de serrer les poings, d’avaler la douleur qui lui déchire le cœur à l’idée de ne plus jamais l’avoir dans ses bras et de supporter le poignard qu’il a d’enfoncer dans le dos depuis qu’il l’a vu dans les bras d’un autre. L’amour, ce n’est pas pour lui, il s’en convainc comme il peut. « Tu as raison, ça ne fonctionnait plus. » répond-il contre son gré. Il peut voir dans la prunelle de ses yeux qu’elle le croit et c’est probablement le dernier cou qu’elle lui aura donné, le coup fatal. Elle avait toujours su lorsqu’il mentait, maintenant elle ne voyait plus que ce qu’elle voulait. Il la laissa partir, même s’il avait tellement, tellement envie de lui crier de revenir, de ne pas laisser son lit froid et si vide, ses matins blêmes et ses soirées trop noires. Il n’a jamais été un bon solitaire et, pourtant, il vivra seul, trop seul, pendant des années après elle. Il ne lui avouera jamais qu’elle a été la raison d’années d’insomnie et qu’il n’aura jamais réussi à aimer quelqu’un d’autre comme il avait pu l’aimer, elle.

2011; vingt-huit ans
Il ne comprend pas, comment il s’est retrouvé habillé trop chic, ce froid matin de novembre. Il n’aurait jamais cru qu’il porterait le cercueil de son meilleur ami, qu’il aurait à effectuer cette cérémonie à laquelle il avait échappé jusqu’à ce jour. Il venait de perdre la dernière personne importante qu’il avait réussi à ne pas faire fuir. Ce jour-là, il ferma les yeux une bonne partie de la cérémonie, ne laissa aucune larme tomber et ne trembla pas. Il resta stoïque, reçu quelques condoléances de ceux qui les avaient déjà côtoyés et tenta comme il le pouvait de comprendre ce qui lui arrivait. Il ne le reverrait jamais, son meilleur ami était tombé au champ de bataille. Étrangement, il ne ressentit rien à ses pensées, c’était comme s’il ne les comprenait pas, comme si un système de défense élevait les dernières barrières qui le tenait debout. C’est des semaines plus tard, alors qu’il se tenait dans la rangée des céréales au supermarché que ça le frappa, comme s’il lui manquait soudainement une moitié de son être et qu’il ne tenait plus que sur une jambe. Il dût sortir et réussit vaguement à conduire jusqu’à son appartement avant de s’écrouler sur son canapé. Le soleil frappait dans la pièce, les gens marchaient normalement dehors et pourtant plus rien n’allait, tout était à l’envers et le manque lui crevait l’abdomen, la solitude l’écrasait. Il pleura, sans personne pour le voir, pour savoir qu’il n’était plus qu’un fantôme et que ça le tuait un peu plus chaque jour. Il ne savait plus comment se réveiller le matin et, pourtant, il se força à le faire, parce que Keaton a toujours été comme ça, il refuse de montrer ses faiblesses, refuser d’inquiéter les gens qui l’entourent. Pourtant, chaque soir, avant de s’endormir, il revoit tous ses visages et la solitude chaque jour lui pèse plus que tout sur les épaules. C’est cette année-là qu’il a décidé de se retirer de l’armée et qu’il a accepté l’offre d’enseigner le pilotage, déménageant du même coup à Huntsville, plus rien d’autre ne le retenait de toute façon. Il ne pensait pas, par contre, se retrouver deux ans plus tard à râler contre les plus jeunes et à afficher une bannière de célibataire endurci, mais on a pas toujours ce qu'on veut dans la vie et Keaton est bien là pour le confirmer.

( il y a de la musique derrière certains titres et je tiens à préciser que j'ai décidé d'axer mon histoire sur sa vie personnelle, plutôt que professionnelle et c'est pour cette raison que je n'ai pas abordé le sujet de la guerre en profondeur. )

BULLETPROOF InvitéInvité

bienvenuue parmi nous!

bonne chance pour ta fiche!

BULLETPROOF InvitéInvité

Bienvenue parmi nous Very Happy

BULLETPROOF InvitéInvité

Tyyyyyyyyleeeeer ! Je l'aiiiime ! :dance: Bienvenue parmi nous

BULLETPROOF InvitéInvité

my maaan.
bienvenue parmi nous, et super choix d'avatar.

BULLETPROOF InvitéInvité

bienvenue sur bp I love you

BULLETPROOF InvitéInvité

Welcome sur BP ! in da woods

tyler

bienvenue à toi keaton, si tu as des questions, n'hésite pas I love you

bienvenue beau gosse rhaaaa omfg

BULLETPROOF InvitéInvité

Merciiii ! Je suis vraiment désolée de mon retard, je traine, je traaaine. é.è J'ai eu plus d'examens que prévu et je peux seulement commencer ma fiche aujourd'hui, du coup est-ce possible d'avoir deux petits jours supplémentaires pour que je puisse la faire bien plutôt que la terminer à la va-vite siouplait ? J'ai vraiment envie de rester. **

pas de problème beau garçon bril bril les zieux

je te laisse pour l'instant jusqu'à mardi, et puis si t'y arrives pas jusque là n'hésite pas à nous le redire! contente de te voir rester parmi nous I love you

BULLETPROOF InvitéInvité

Merci beaucoup !

j'adore ce que tu as fait de keaton, vraiment rhaaaa omfg

et l'axe que tu as choisi va très bien bril bril les zieux

bienvenue officiellement parmi nous alors! I love you

(en passant, t'es québécoise? le "tomber en amour" m'a fait tilter KJW ✈ maybe this world is another planet's hell. 1826528627

)

Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles faire une demande de logement pour ne pas qu'il dorme à la rue et, une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.

Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !

Bienvenue sur BP !!
(désolé pour le retard T_T)

BULLETPROOF InvitéInvité

Merci beaucoup !
(et oui, je suis québécoise, ahah. )

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