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 + julianna, "lo que no mata engorda"

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BULLETPROOF
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MessageSujet: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyMer 3 Juil - 21:52



julianna zanya hernandez

las pistolas las cargan el diablo y las disparan los pendejos.

à partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-Neige.

NOM(S) : hernández, le nom de ma famille qui représente tout pour moi. J'ai choisi de le garder même en étant marié parce que je ne veux jamais oublier d'où je viens, mes origines, qui je suis. PRÉNOM(S) : julianna, le prénom qu'on a choisi pour moi quand on a acquis la nationalité américaine. Un prénom qui sonne plus prononçable pour les americanos comme le dit ma mère, un prénom d'usage. zanya, mon véritable prénom, celui que toute ma famille utilise et qui me définit le mieux. AGE : vingt-six ans, vingt-sept bientôt. LIEU DE NAISSANCE : toluca au mexique, au centre du pays, près de mexico. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. SITUATION AMOUREUSE : mariée à mattis hollingtown depuis 7 ans déjà, para lo bueno y para lo malo . SITUATION FINANCIÈRE : nos deux salaires nous suffisent à avoir une maison, un bout de jardin pour thiago et major ... c'est tout ce dont j'ai besoin. MÉTIER/ÉTUDES : avocate spécialisée dans le droit des étrangers, parce que trop d'injustices subsistent dans ce pays. SI MILITAIRE, GRADE : écrire ici. GROUPE : ignoring war. AVATAR : eva mendes. CRÉDITS : moi même pour cette image-ci, tumblr pour le reste.


⊱ this time i'll be a bulletproof
✈️ Julianna n'a pas eu une vie simple, personne ne pourrait dire le contraire. Et cette existence tumultueuse a forgé un caractère fort. Impulsive, il lui arrive souvent de parler sans réussir à contrôler ce qu'elle dit, le regrettant souvent par la suite, surtout quand elle s'énerve sur son mari. Elle peut aussi très bien perdre le contrôle de ses nerfs et frapper en plein visage quelqu'un tirant sur les cordes sensibles de ses nerfs à vif. Hyper sensible, son sang chaud et sa mauvaise humeur sont avant tout des moyens de se protéger contre le monde extérieur et contre les autres. Et surtout une façon de contenir le trop plein d'émotion qui bouillonne en elle. Déterminée comme elle peut être têtue, il ne faut pas envisager d'aller contre ce qu'elle pense, encore moins de lui faire changer d'avis. Une fois qu'elle a quelque chose en tête, difficile de le lui faire sortir. Douce et tendre, elle l'est toujours avec son fils, Thiago, et dans son environnement familial, du moins quand tout se passe bien. Même quand il faut accompagner le petit à l'hôpital, elle le fait avec le sourire parce qu'elle se doit d'être forte, au moins pour lui. Julianna est une louve en ce qui concerne son noyau familial, à savoir son mari et son fils. Elle est prête à tous les sacrifices pour eux, elle pourrait donner sa vie pour leur bonheur, supporter toutes les tortures. La famille est quelque chose de sacré chez les Hernandez.

⊱ i was meant to be a warrior fervente partisane des droits pour les immigrés mexicains et le droit pour les familles d'être réunies sur le sol américain ✈️ sa seule échappatoire elle la trouve dans les grands espaces qu'elle rejoint pour promener major ✈️ elle fait souvent semblant de dormir pour ne pas que mattis constate ses yeux souvent gonflés d'avoir pleuré ✈️ elle n'a pas encore mis sa famille au courant de la maladie de son fils, parce que ne rien dire, c'est comme si ce n'était pas vraiment réel ✈️ elle ne travaille plus qu'à temps partiel pour s'occuper de thiago ✈️ possède de nombreux livres sur frida kahlo, une artiste à laquelle elle s'identifie beaucoup ✈️ elle a toujours tendance à jurer en espagnol parce qu'elle trouve les mots plus efficaces qu'en anglais ✈️ elle voue une haine sans pareille au capitalisme ✈️ elle n'achète que des aliments bio, du moins tant qu'elle le peut, persuadée que ça aidera thiago à guérir ✈️ elle perd toujours ses clés


dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : marie. FILLE OU MEC ? : girl powaa. AGE : bientôt 21. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 4/7. SCENARIO OU INVENTÉ ? : scénario de mattis hollingtown, qui ne tente rien n'a rien. LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : je l'aime beaucoup, le contexte, le design, bref tout ça m'a poussé à m'inscrire comme vous le voyez ! LE MOT DE LA FIN : pour ceux que ça intéresse : le titre de ma fiche (ce qui ne me tue pas me rend plus fort) la citation de la première partie (les pistolets sont chargés par le diable mais ce sont les cons qui les utilisent) Arrow.

Code:
[b]eva mendes[/b] ✈️ julianna z. hernandez


Dernière édition par Julianna Z. Hernández le Sam 6 Juil - 11:56, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyMer 3 Juil - 21:52




⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…
->1997, banlieue de san diego
"Papa ?" La voix de la gamine se perd dans l'écho de la petite pièce vide. Cela fait des jours qu'ils ne vivent de presque rien, se serrant les uns contre les autres comme pour combattre le mal du pays qui les secoue bien plus que n'importe quel mal physique. Elle sert ses doigts fins sur un pan de chemise à carreaux, un tissu sali par la poussière, les voyages à répétition. Il pose une main protectrice sur ses cheveux noirs, ramenés en queue de cheval sur sa nuque. La gamine lève ses yeux clairs sur son père, légèrement brillant d'avoir trop souvent retenu ses larmes. Parce qu'elle ne peut pas craquer devant sa petite soeur, pas devant sa mère tellement faible. Sa grossesse presque à terme l'épuisait plus qu'elle ne voulait l'admettre, forçant toute la famille à de nombreuses pauses au cours de leur périple. L'enfant ferme les yeux. Une larme coule sur sa peau halée, couverte d'une fine couche de poussière sur laquelle le liquide laisse un sillon humide. A dix ans, il lui est impossible de saisir les raisons qui ont poussé son père à quitter Toluca du jour au lendemain. La ville était devenue trop dangereuse, le diable était arrivé, les seules explications auxquelles elle avait eu droit alors qu'il lui avait demandé de retourner prier avec sa soeur et sa mère, espérant du plus profond de son coeur d'homme qu'elle finirait par oublier, tout simplement. Que son jeune âge lui permettrait de ne garder de cette traversée de l'enfer l'impression d'un mauvais rêve. Mais ce soir, il ne la repousse pas dans le fond de la pièce, il ne lui demande pas de continuer à prier et d'essayer de dormir. Il caresse lentement ses cheveux épais, scrutant la rue déserte depuis la fenêtre de la bâtisse abandonnée. Pas un bruit à l'extérieur si ce n'est un chien qui aboie au loin. Zanya lève les yeux sur son père, l'observe dans la pénombre. Ses traits sont tirés, de larges poches mangent le dessous de son regard fatigué. Depuis combien de temps n'avait-il pas dormi ? "Tu peux aller te reposer, je vais surveiller moi, je peux le faire." La détermination dans sa voix la laisse espérer un instant qu'il n'aura pas la force de la contredire. Et il ne dit rien, s'asseyant sur le sol avant d'attirer la gamine sur ses genoux. Une forte odeur de terre et de cuir chauffé au soleil s'échappe de son corps amaigri. Et lentement, il la berce, sa large paume sur ses yeux. "Tout ira bien mi querida. Tout ira bien."

->2002, champs agricoles d'oakville
Elle passe une main dans les blés encore en culture. Les yeux fermés, le soleil caresse son visage. Ses cheveux détachées tombent en une cascade ébène sur ses épaules. Pieds nus, elle remonte un des sillons, un brin doré coincé entre les lèvres. Cinq ans depuis leur exil, cinq longues années à fuir, se cacher, attendre dans l'ombre, travailler au noir pour le compte de ces américains qu'elle ne pouvait plus voir. Personne n'avait pris la peine de les aider. Personne alors que l'Amérique devait être leur eldorado. Son petit frère était né dans la peine, dans l'incertitude de vivre un jour en sécurité. Le médecin les ayant aidé avait fui trois ans plus tôt qu'eux, occupant la baraque à côté de la leur. On ne pouvait compter que sur la communauté, que sur ceux qui étaient faits du même sang qu'elle. Les Américains n'étaient bons qu'à exploiter sa famille jusqu'à l'épuisement, profitant de leur trop grande misère, de leur désespoir. Et tout le monde dans sa famille s'était faite à cette existence que la chicha del fuego, comme aimait l'appeler son petit frère pour la taquiner, répugnait à adopter. Ses frères et soeurs allaient à l'école, parlaient couramment anglais à présent. Même sa mère, employée au ménage dans la maison de l'américain qui les avait accueilli dans son exploitation, commençait à comprendre ce qu'on lui disait sans besoin de traduction. Mais Zanya refusait de faire le moindre effort. L'adolescente n'était pas stupide et elle avait appris, en silence, dans les livres, alors qu'elle s'entêtait à répondre dans son espagnol franc au lycée auquel on la forçait à aller. Le destin de son père était parmi tout ceux de sa famille celui qui la préoccupait le plus. Longtemps exploité par les grosses entreprises, pour la simple et bonne raison que son statut d'immigré ne lui donnait pas le droit de se défendre face aux injustices dont il était victime. "Julianna ! rentre !" L'adolescente sursaute, abandonnant pour quelques instants ses souvenirs. Se perdre dans les champs, oublier où elle était, sa seule échappatoire à cette vie qu'elle n'avait pas choisi et dont elle ne voulait pas. Son tempérament de feu n'avait pas trouvé d'apaisement ici, dans cette campagne du Missouri, et n'en trouverait sûrement jamais. Son regard de braise se pose sur la personne ayant osé l'interrompre, s'apaisant immédiatement quand elle reconnaît la démarche courbée de son père. "J'arrive." Il n'en fallait pas plus pour calmer les tempêtes de ses humeurs exacerbées par son jeune âge. Mais quoiqu'elle fasse, quoiqu'elle dise, elle ne pourrait pas longtemps se permettre de malmener ainsi tous les efforts et sacrifices que ses parents avaient fait pour elle.

->2004, église d'oakville
"que descanse en paz ..." Qu'il repose en paix. Les derniers mots qu'elle articule dans le micro de la petite église. A sa gauche, le cercueil couvert de roses blanches comme dernière demeure pour son père. Ses doigts se crispent sur les rebords du pupitre en bois sombre auquel on l'a envoyé pour qu'elle puisse dire adieu. Une larme coule le long de sa joue mais il n'y a personne cette fois-ci pour l'essuyer. Elle aimerait s'effondrer, s'allonger sur le sol froid de cette petite église et s'oublier ici, pour toujours. Au premier rang, sa petite soeur soutient leur mère, le visage caché tant par la voilette de tulle noire que par le mouchoir blanc dans lequel elle tente d'étouffer ses sanglots. Son frère lui, se tient droit, les traits tirés mais impassibles. Julianna ne peut s'empêcher de s'attarder un instant sur cette silhouette filiforme sur laquelle semble couler toute émotion. Et elle ne peut que remarquer ce qui est vrai depuis longtemps déjà. Il est un homme, le nouvel homme de la famille, celui qui doit à présent veiller sur sa famille, para siempre, à la vie à la mort. Le décès de leur père avait été un nouveau boulet de canon venant perturber l'équilibre fragile de leur vie familiale. Et pourtant, les bonnes nouvelles avaient fusé au cours des derniers mois. Elle allait intégrer l'université du Missouri-Columbia. Certes, ce n'était pas la plus prestigieuse du pays qui était devenu le sien, du moins sa terre d'adoption puisque son coeur restait au Mexique, mais elle pouvait au moins payer les frais d'inscription. Et plus que tout, elle reste proche de sa famille. Le cri de sa mère l'avait glacé jusqu'au sang et il lui faudrait sûrement toute une vie pour l'oublier. Crise cardiaque foudroyante. Mais Julianna n'était pas dupe. Ce qui l'avait tué, ce n'était pas son coeur fatigué. Si il l'avait écouté, si il avait accepté de ralentir le rythme, si il avait accepté l'argent de ces petits boulots pour boucler les fins de mois. Mais Ramos était un homme fier, bien trop fier que pour admettre que l'Amérique l'avait tué à petit feu. Et à présent, la chica del fuego savait exactement ce qu'elle avait à faire pour honorer la mémoire de son père et la mémoire de son peuple. Si tu ne peux pas éteindre le feu, tu peux toujours l'empêcher de grandir, c'est ce que lui répétait Ramos pour calmer son entêtement à vouloir faire taire les railleries des pequenos blancos, pour la ramener à la modération. Et si elle ne pouvait pas empêcher les injustices envers les minorités, elle pouvait au moins les combattre.

->2005, cimetière d'oakville
Les fleurs blanches qu'elle a déposé sur la tombe lors de sa dernière visite sont à présent jaunies, rabougries dans leur vase. Il faut dire que depuis quelques mois, plus personne ne passait par cet endroit. Sa mère avait décidé de déménager dans la banlieue de San Diego où on lui offrait un bon poste dans une entreprise de ménage et l'idée de retrouver la communauté hispanique et mexicaine qui lui manquait tant avait suffi à concrétiser son choix. Ne restait plus qu'elle, dans son université toute proche, pour venir décorer de temps en temps la dernière demeure de son père. Les mains jointes sur sa poitrine, un long manteau noir cachant les formes féminines de son corps, elle récite en silence une prière, retenant tant bien que mal l'émotion qui la prenait à chaque fois qu'elle revenait en ses lieux. Elle dépose le bouquet délicatement, comme une caresse sur la joue de son vieux père, un geste tendre qui n'est plus possible mais qu'elle espère qu'il peut voir de là haut. D'un mouvement de la tête, elle repousse ses boucles brunes sur ses épaules, dégageant son visage d'apparence froid comme toujours. Une carapace qu'elle avait appris à se forger pour se faire une place dans cette société américaine dans laquelle elle ne se reconnaissait toujours pas. Une année s'était écoulée depuis le décès de son seul pilier dans ce monde. Une année pendant laquelle elle avait commencé ses études de droit, se plongeant corps et âmes dans ses bouquins. Parce qu'il fallait se donner les armes pour réussir à combattre ce qu'elle appelait el diablo del america, cette ségrégation sourde envers les immigrés qu'on juge sans aucun droit pour se défendre. Son regard se perd sur les tombes alentour, celle plus prestigieuse d'un fils de ce pays, un militaire qu'on avait dû honorer d'une belle cérémonie alors que son père n'avait eu droit qu'au minimum syndical. Un partisan de la guerre, sûrement un héros aux yeux des blancos. "Hijoputa" elle ne peut retenir le crachat qui lui brûle les lèvres. Peu lui importe de saccager la tombe d'un patriote, peu lui importe qu'on l'ait vu. Il fait partie des gens qu'elle veut combattre, de ceux qui ont tué son père, même indirectement. Alors qu'elle tourne les talons, elle sursaute légèrement en se rendant comte qu'elle n'est pas seule. Est-ce le fils de ce militaire, un collègue de l'armée ? Si c'est le cas, il n'est qu'un autre de ces américains qu'elle tient en horreur, les exploiteurs des faibles, et il ne mérite que son regard noir dans lequel on lit sans peine la fureur de la chica del fuego.

->2006, église d'oakville
"Eres magnifica mi querida." Dans le miroir en pied, elle croise le regard ému de sa mère dans son ensemble bleu clair. La voilette de tulle noire a laissé place à un chapeau délicat mettant en valeur son teint mat. Cette église avait été le lieu du plus grand drame de leur famille et aujourd'hui Julianna était persuadée que ce qui allait se dérouler dans ce même endroit allait leur permettre à tous de tourner la page, après toutes ces années. Elle passe une main sur sa robe de satin, s'observant presque timidement. Jamais elle n'aurait cru se voir ainsi, dans une longue robe blanche, dévoilant ses épaules et sa gorge. Des perles nacrées rehaussent son chignon travaillé, le voile de mousseline pour l'instant repoussé sur l'arrière de sa tête. Oui, jamais elle n'aurait imaginé dire oui à un homme, encore moins sur ce pays, encore moins à celui qui l'attendait devant l'autel. Leur histoire avait commencé depuis si peu de temps et pourtant, elle avait souvent l'impression de le connaître depuis toujours. Il avait dû user de beaucoup de patience pour réussir à la convaincre de ne pas échanger que quelques mots sur la tombe de leurs pères respectifs et encore plus pour la séduire. Désillusionnée depuis trop d'années, elle avait cessé de croire aux contes de fées, encore moins au prince charmant. Mais Mattis avait su conquérir son coeur, lentement, tendrement. Et aujourd'hui, elle savait qu'il était l'homme qu'il lui fallait, avec ses défauts et ses qualités. Celui à qui elle pouvait faire entièrement confiance, qui la soutiendrait dans ses choix, dans ses convictions. Et quelle ironie que la chica del fuego finisse par tomber amoureuse d'un militaire, fils d'un héros de guerre, patriote américain dévoué à sa cause. Mais une vieille expression mexicaine dit bien que como Mexico, no hay dos. Comme le Mexique, il n'y en a pas deux comme lui. Et cela avait suffi à la jeune femme pour remettre en question ses principes et ses a prioris. "Es la hora mi querida" Oui c'était l'heure. Elle sourit fébrilement alors que sa mère ramène le voile de mousseline sur son visage, caressant avec tendresse la joue de son aînée, prête à devenir une vraie femme, une épouse. Dans l'église, leurs proches, quelques amis, des militaires aussi, on ne pouvait pas y échapper même si l'idée l'avait fait grincer des dents. Des fleurs blanches décorent les bancs alors que la musique de la marche nuptiale s'élève dans l'édifice. Ses doigts se resserrent sur le petit bouquet alors qu'elle ose enfin relever les yeux vers le bout de l'allée où l'attend son futur mari. Ses pas sont lents, mesurés mais personne ne pourra contester l'amour qui se lit dans leur regard alors que le prêtre entame son discours. La cérémonie religieuse avait une valeur importante à ses yeux, tout autant que ces mots, cette promesse de s'engager et de se soutenir mutuellement peu importe les épreuves qu'ils auront à endurer. L'émotion est visible dans son regard de braise alors qu'elle prend l'alliance sur le petit coussin apporté. "Je te prends pour époux, para lo bueno y para lo malo" Pour le meilleur et pour le pire, pour tout ce que la vie leur apportera et leur prendra. Peu lui importe leur différence d'âge choquante pour certains, le fait que la plupart de ses amis la trouve trop jeune, à dix neuf ans pour se marier. La chica del fuego sait ce qu'elle veut et quand elle le trouve, il est hors de question qu'elle le laisse passer.

->2008, maison des hernandez-hollingtown
Certaines femmes pensent qu'une fois qu'on attend un enfant, il est temps de mettre un terme à toute ambition de carrière pour s'y consacrer pleinement. Du moins, c'est ainsi que fonctionnait la vie des femmes de la communauté mexicaine que sa mère connaissait. Et c'est ce qu'on lui avait demandé de faire quand enfin, elle s'était décidée à annoncer la grande nouvelle. Mais la chica del fuego n'est pas de celle qu'on fait changer d'avis. Grâce au soutien de son mari et à sa détermination, elle avait réussi à continuer ses études par correspondance et même à obtenir de bons résultats à son semestre passé dans leur maison. La vie était paisible et assise dans leur séjour, le soleil caressant son ventre gonflé, Major, leur chien adopté après leur mariage, à ses pieds, elle ne cessait de se répéter qu'elle n'aurait pu rêver mieux. Mattis travaillait aujourd'hui et elle avait l'obligation de rester à la maison, au calme, maintenant que l'accouchement était proche. Julianna pose une main sur son ventre, souriant en sentant les mains de son fils contre sa peau fine. Un coup de pied, puis un deuxième, et elle doit se redresser pour se placer plus confortablement dans le canapé. "Calma Thiago, calma." Etrangement, l'espagnol semblait apaiser son enfant, tout comme elle trouvait un réconfort à l'utiliser quand elle était seule dans la maison. Il n'oublierait pas ses racines, les cultures qui font de lui qui il est, tant du côté de son père que du côté de sa mère. Julianna s'en était fait la promesse, il ne serait jamais comme ces petits américains ignorants. Son fils était parfait à ses yeux, parfait avant d'avoir grandi, parfait avant d'être un homme. Comme toute mère, on imagine jamais mettre au monde un enfant qui ne soit pas en bonne santé. Et à l'échographie, tout allait bien, rien de quoi inquiéter la jeune femme. Elle se lève difficilement, devant s'y reprendre à deux fois sous le regard attentif de Major qui relève immédiatement le museau vers sa maîtresse. Le livre qu'elle cherchait dans les mains afin de pouvoir poursuivre ses révisions malgré tout, elle retourne vers le séjour, manquant de glisser sur quelque chose d'humide. Une flaque entoure ses pieds, un liquide coule sur ses mollets sans qu'elle puisse comprendre tout de suite de quoi elle s'agit. Puis une première contraction, encore douce, comme un avertissement de ce qui allait arriver. Thiago allait venir au monde mais c'était aussi sa naissance à elle. Une nouvelle existence, celle de mère, celle qu'elle ne pensait jamais avoir la force de devenir.

->2010, université du missouri-columbia
"Julianna Hernandez-Hollingtown" Les applaudissements résonnent dans le grand gymnase de l'université. La jeune femme se lève, fière dans sa toge noire, son chapeau de diplômée enfoncé sur ses cheveux bruns coupés aux épaules, comme une façon de tourner la page de son enfance difficile, pour accueillir au mieux sa vie d'adulte. Les années lui avaient semblé passer si vite. Comme si elle avait intégré l'université il y a seulement quelques mois. Mais aujourd'hui elle était diplômée, en atteste ce petit rouleau qu'on lui remet à présent qu'elle traverse la scène. Maître Hernandez, voilà qui elle est aujourd'hui. La chica del fuego a bien fait du chemin et finalement, son caractère de feu s'est avéré être sa plus grande force face à ses collègues avocat. Spécialisée dans les droits des minorités, elle n'était à présent plus vraiment sûre de pouvoir vaincre les injustices comme elle l'avait souhaité dans sa jeunesse mais elle sait que ses efforts ne sont pas vains. Au premier rang, elle adresse un sourire tendre et un geste de la main aux deux hommes de sa vie. Son mari et son fils, à peine deux ans, tous les deux beaux comme le soleil. Rien ne pouvait être plus parfait à ses yeux.

->2011, maison des hollingtown-hernandez, huntsville
Assise sur les marches du perron de leur maison, elle fixe sans trop le voir l'arbre qui trône près de l'allée de gravillons. Major s'approche lentement, ses griffes raclant sur le bois de la terrasse à l'avant de la maison avant de venir se coucher lourdement à côté d'elle. Du bout des doigts, elle caresse le haut du crâne du chien qui ne lui répond que par son regard attentif et reconnaissant. Il est déjà tard mais le sommeil ne vient pas. De toute façon, il y a déjà plusieurs mois qu'elle ne peut plus dormir. Depuis ce jour où on leur a annoncé que la malformation cardiaque de Thiago n'était pas soignable et que sa seule chance de survie était d'avoir une greffe. Certes on l'avait mis sur la liste mais elle ne pouvait s'empêcher de se dire : que se passera-t-il si ça ne vient jamais ? Il était tellement petit, un gamin adorable, incroyablement curieux et éveillé pour ses trois ans. Il méritait de vivre longtemps, plus longtemps que les dix années que lui donnaient les médecins. Est-ce qu'un jour, le destin allait la laisser tranquille ou continuerait-il à la poursuivre et à détruire tout ce qu'elle réussissait à construire ? La nouvelle avait été difficile à avaler et l'insomnie avait fini par devenir sa seule amie. Personne n'était au courant parce qu'elle n'arrivait pas à se résoudre à l'annoncer. Comme si le cacher à ses proches rendait la maladie moins réelle, comme si Thiago guérirait plus vite si tout le monde ne le pensait pas déjà mort. On dit que face à la maladie d'un enfant, un couple ne peut que prendre deux directions. On peut en ressortir plus fort, soudé comme jamais. Ou la maladie devient gangrène et il ne reste plus rien. La voiture fait crisser le gravier de l'allée mais elle ne trouve pas la force de sourire ou de se redresser pour accueillir Mattis. Il lui semble que les années où ils vivaient heureux étaient loin maintenant, comme si quelque chose s'était brisé chez son mari le jour où le médecin avait posé son diagnostic. Les yeux gonflés, de larges cernes mangeant son regard, elle se lève malgré tout, resserrant sa queue de cheval brouillon. Elle s'approche de lui, voudrait l'embrasser mais se recule immédiatement. "Tu as bu ?" Il n'en faut pas plus pour raviver son regard de braise. Buvait-il parce qu'il ne supportait pas la situation ? Parce qu'il cherchait à fuir tout ce calvaire ? Sûrement oui. Mais alors oubliait-il qu'elle aussi vivait cette maladie au quotidien ? Sur qui pouvait-elle compter si lui-même décidait d'abandonner tout combat ? "Thiago dort ne le réveille pas." Quand il tente un geste vers sa joue, elle se recule et sans un mot regagne la maison. Peut-être qu'au fond, ce qui la blessait le plus c'est qu'il préférait l'alcool à sa compagnie pour soulager sa peine.

->2013, clinique de huntsville
Surgissant d'une pile de légo, il saute presque sur elle en tentant une imitation plutôt convaincante de Godzilla. Mais il faut dire que la mère est bon public et elle serait prête à lui attribuer un oscar sans aucune hésitation. Elle éclate de rire en le réceptionnant sur ses jambes croisées en tailleur. La salle de jeu est déserte, mis à part eux deux, en train de rire comme deux fous. Seul le regard un peu sévère d'une infirmière réussit à calmer le duo alors que la mère entoure Thiago de ses bras, comme son père le faisait avec elle. Combien de temps pourrait-elle encore faire tout ça ? Est-ce qu'elle pourrait un jour se lamenter de ne plus pouvoir le prendre sur ses genoux parce qu'il aura trop grandi ? Rien n'était moins sûr. Il lui semblait parfois que tout s'effondrait sous ses doigts sans qu'elle ne puisse rien retenir. La maladie de Thiago, l'absence de Mattis à ses côtés qu'elle digérait de plus en plus difficilement. Mais des moments comme ceux qu'elle vivait à cet instant précis suffisaient à la convaincre que le combat valait le coup et qu'uniquement pour quelques minutes comme celles-ci, elle ne pouvait pas se permettre de se laisser aller et de craquer. Le petit garçon se redresse, plaçant ses deux mains si petites sur les joues de sa mère, jouant avec son visage pour lui faire faire des grimaces. Mais soudain, son air taquin devient très sérieux, une attitude qui la fait toujours sourire. "Dis maman, quand j'aurais un nouveau coeur, on pourra aller à Disney faire les manèges ?" Sa confiance vis à vis de sa guérison l'épatait vraiment. Il ne doutait de rien, comme si ce n'était qu'un mauvais rhume et qu'il suffisait d'attendre pour que ça passe. Sans réfléchir, elle l'attire contre son coeur, retenant les larmes qui menacent d'envahir ses joues. "Bien sûr mi querido, je te le promets." Du moins, si l'avenir leur laissait le temps.



Dernière édition par Julianna Z. Hernández le Sam 6 Juil - 11:55, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyMer 3 Juil - 22:12

Bienvenue sur BP I love you 
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyMer 3 Juil - 22:21

Super choix de vava *-* Bienvenue parmi nous Wink
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyMer 3 Juil - 22:24

merci + julianna, "lo que no mata engorda" 2145037518 
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyMer 3 Juil - 22:35

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche. + julianna, "lo que no mata engorda" 2145037518 
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyMer 3 Juil - 22:42

Bienvenue sur BP ! I love you + julianna, "lo que no mata engorda" 2145037518
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Amelia-R. Westerfield
Amelia-R. Westerfield
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côté coeur : l'autre enfoiré d'ethan dans la tête, tout récemment maman.
quartier de résidence : actuellement, l'hôpital civile de huntsville ; officiellement, quartier madison.
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    and how odd it is, to be haunted by someone that is still alive. ❞


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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyMer 3 Juil - 23:29

je me perds avec tous ces nouveaux, je sais plus à qui j'ai oublié de souhaiter la bienvenue + julianna, "lo que no mata engorda" 1826528627 
eva est un magnifique choix et le scénario déchire, t'assure rhaaaa omfg 
bienvenue! bril bril les zieux
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyJeu 4 Juil - 1:12

han merci tout lem onde + julianna, "lo que no mata engorda" 2145037518 contente de voir que eva plait ! elle est tellement peu prise + julianna, "lo que no mata engorda" 2145037518
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyJeu 4 Juil - 10:33

Bienvenue :)
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Addison Dunphy
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyJeu 4 Juil - 10:34

Bienvenue + julianna, "lo que no mata engorda" 2145037518 
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyJeu 4 Juil - 11:18

eva est quand même magnifique ! niark niark niark bienvenue I love you 
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyJeu 4 Juil - 14:30

une bombe cette femme ! Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche + julianna, "lo que no mata engorda" 1839924927 
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Cillian R. Hartwood
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyJeu 4 Juil - 17:13

Bienvenue !

Bon courage pour ta fiche :)
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyJeu 4 Juil - 18:42

Bienvenue sur BP + julianna, "lo que no mata engorda" 2145037518
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyJeu 4 Juil - 23:16

Merci à vous tous + julianna, "lo que no mata engorda" 2145037518
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyLun 8 Juil - 11:27

Bienvenue!!! Mais surtout Merci vraiment d'avoir choisis Julianna!!!
J'en suis presque euphorique bril bril les zieux 

Comme je l'ai dit à l'autre Julianna, j'attend que tu aies signalé ta fiche terminée pour bien relire vos deux présentations à mon aise et pour ensuite faire mon choix qui ne sera pas aisé mais comme dans toutes concurrence il y a toujours un gagnant et un perdant... Situation pas simple à gérer mais je l'assumerais ^^

Que la meilleur gagne!!

Merci encore à toi :)
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyLun 8 Juil - 13:30

Comme je te l'ai dit par MP

I Want you! Félicitations! Tu à vraiment cerné Julianna au mieux et ta fiche est tout bonnement sublime!

Bienvenue Chica!
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyLun 8 Juil - 13:42

+ julianna, "lo que no mata engorda" 2145037518 mon p'tit mari ça va être les rebondissements del fuego, j'te le promets !
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyLun 8 Juil - 18:39

Je valide donc cette Julianna ci ! Bienvenue à toi beauté niark niark niark
Par contre, je t'ai mise dans le groupe LIVING WAR parce qu'en tant que femme de militaire, ça collait plus à ce groupe I love you


Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

✈️ Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

✈️ Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles faire une demande de logement pour ne pas qu'il dorme à la rue et, une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.

✈️ Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

✈️ Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !

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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" EmptyLun 8 Juil - 22:00

Oui c'est vrai, ça correspond mieux ^^ merci en tout cas I love you
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MessageSujet: Re: + julianna, "lo que no mata engorda"   + julianna, "lo que no mata engorda" Empty

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