Emily est quelqu'un de mentalement forte. Elle se laisse difficilement marcher sur les pieds, malgré son énergie positive et sa joie de vivre. Elle a un côté assez pétillant, si on peut dire ça comme sa ! Elle a été considéré comme hyperactive pendant toute sa jeunesse, et malgré son âge majeur, rien n'a changé. Elle reste tout de même avec un petit côté assez relaxe, mais rien de bien grand. C'est une jeune femme très drôle, toujours prête à réaliser les pires trucs et les pires conneries, toujours ''cap'' au fond d'elle. Elle n'a pas froid aux yeux, et il n'y a pas grand chose qui l'impressione réellement. Malgré son jeune âge, Emily a vu beaucoup de choses que les filles de son âge ne sont pas supposées avoir vue dans leur vie, c'est ce qui fait en réalité, sa force. Elle est en vue et vécu de toutes les couleurs, en fait. Emily est une fille bien, très aimable, amicale et sociale. Elle adore les gens et c'est la dernière personne qui juge réellement les personnes qui l'entourent. Pour elle, tout le monde est beaux, à sa façon. C'est une fille enthousiaste et vraie, une personne agréable avec qui parler.

⊱ i was meant to be a warrior Elle adore écrire dans ses heures perdus elle photographie toujours tout, elle tient tout le temps un appareil photo dans ses mains elle a cette petite manie de manger des macarons les jeudi soir elle adore faire la cuisine dans les jours de pluies, elle aime se mettre en pyjama et lire des romans toute la journée elle a un petit faible pour les films d'horreurs, elle trouve ça drôle elle se ronge toujours les ongles dans les moments de stresses, et devient toujours rouge dans les moments de gênes elle a un gros caractère, et ne se laisse pas piler sur les pieds elle adore le temps de noël, tout simplement pour faire le sapin et déballer les cadeaux comme une vraie enfant.[/size]

Qu'est-ce que tu regardes comme ça Helmet ? Cette homme avait cette affreuse tendance à me fixer d'une étrange façon depuis notre début d'aventure. Il me toisait comme si j'avais quelque chose sur le visage, il me regardait toujours avec un air pensif. Je pensais à quel point je suis l'homme le plus chanceux du monde. Pourquoi tu dis ça? Parce que je t'ai que pour moi, à moi tout seul ! Automatiquement, je rougissais à chacune de ses paroles. Son sourire me faisait gaver, ses yeux me transperçaient d'une telle façon qu'aucun autre homme n'a su faire, ses petits gestes doux, ses petites intentions étaient d'une telle finition. J'étais amoureuse de lui, certes. Plus qu'amoureuse, même. J'étais folle de lui, c'était ma drogue, mon aiguille, mon insuline. Il me faisait vivre, il me gardait en vie, tout simplement. Je parle bien au passé car, tout ça, c'était avant qu'il ne parte, quatre ans plus tôt. Aucune lettre, aucun aurevoir, seulement des rumeurs venant de la bouche des autres du lycée, même pas le culot de venir me le dire. Depuis quatre, je n'ai aucune nouvelles de lui. Rancunière ? Frustrée ? Évidemment ! Vous savez, quand vous pensez qu'un amour est réciproque, mais que vous percevez qu'au départ, ce n'était pas pareille pour les deux ? Eh bien, c'est cette sensation que j'ai ressentis lorsque j'ai appris qu'il était partie. J'ai essayé de me refaire une vie sans lui, de me persuader qu'il ne me méritait pas, que je ne l'aimais pas, mais sans aucun résultat. Malgré les quatre ans sans lui, je suis toujours amoureuse de lui, et je resterai toujours amoureuse de lui. On peut tromper un esprit, mais on ne peut tromper un coeur. Je le déteste mais pourtant, je l'aime. C'est tout. Je l'aime. Je n'oublierai jamais ses paroles, ses gestes. Son visage est marquée dans ma tête comme si le tout c'était passé hier, ou il y a une semaine. Il a marqué mon adolescence, mais je crois que je n'étais peut-être pas assez bien pour lui, au fond. Je t'aime ma princesse, pour l'éternité. Ces mots et cette phrase me reviendra toujours en tête, pour l'éternité. De plus, je suis tombée enceinte de lui, et je n'ai jamais eu le temps de lui dire, que mon père m'a forcé à me faire avorter, et qu'Helmet soit partie. Ça été tout autant atroce pour moi, que pour ma famille. Maintenant, que je sais qu'il est revenue, je n'ose même plus lui adressé la parole, plus jamais. Cette rancune me donne la force de combattre cette situation, mais mes sentiments me grattent à l'intérieur de moi.

Cher Journal,
Aujourd'hui je suis allée à la base de Redstone, étant donné que mon père est haut gradé dans l'armée américaine. De plus en plus que j'y réfléchis, et je me dis que l'armée serait peut-être pour moi en fait, non ? Depuis ma jeunesse que je suis entourée de ces histoires, de ces problèmes et de ces situations de politiques de droits. L'action, il y a en, ça, c'est certain ! De plus en plus, je me rends compte que l'université n'est pas pour moi. Oui, j'ai des bonnes notes, oui je me débrouille bien, mais les heures d'études occasionnées pour faire un futur travail que je ne veux pas faire, ça ne me motive plus. L'armée, quelque chose d'honorable, de drastique, quelque chose de caractère, d'allumé, ça c'est plus pour moi. Il me faut quelque chose comme ça, comme ce job. Plus petite, je ne croyais pas devenir autant attaché aux fonctions de l'armée et aux travailles fait par les soldats. Le principe de rentré à la base militaire de Redstone me donne des papillons, je me sens toute excitée et j'ai toujours hâte d'y aller. Vivre sans l'armée n'aurait pas fait celle que je suis en ce moment, je crois, en fin de compte. J'aime l'armée, j'aime le travail qui lui est porté, j'aime la fonction des soldats, j'aime tout en fait. L'armée me représente, mais la politique de droit, pas du tout.