Abel ▲ I'm not normal enough to fight but my sister was normal enough to die.

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Abel Yosuke Frazier

« Qui apaise la colère éteint un feu ; qui attise la colère, sera le premier à périr dans les flammes. »

à partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-Neige.

NOM(S) : Frazier. PRÉNOM(S) : Abel & Yosuke. Le second est son prénom de naissance et le premier celui offert par sa famille d'adoption pour qu'il s'adapte plus facilement. Selon s'il est proche ou non de quelqu'un, il utilisera l'un ou l'autre. En grandissant, il a commencé à trouver Abel moins adapté à ses origines. AGE : Seize ans. C'est suffisant pour rentrer dans l'armée. Pas assez pour faire de lui un adulte. LIEU DE NAISSANCE : Quelque part au Japon. Il n'a pas le droit de voir son dossier d'adoption avant d'être majeur. ORIENTATION SEXUELLE : Pas la moindre idée. SITUATION AMOUREUSE : Inexistante. SITUATION FINANCIÈRE : Modeste. MÉTIER/ÉTUDES : Lycéen, plutôt mauvais élève par ailleurs. GROUPE : Living war. AVATAR : Masaki Suda CRÉDITS : Tumblr.

⊱ this time i'll be a bulletproof

✈ Malgré ses efforts, l'adolescent ne parvient pas à se faire confiance. Tout devient flou dans sa tête en ce moment. C'est sans doute à cause de la situation compliquée dans laquelle est sa famille. On lui dit toujours d'en parler à quelqu'un, mais personne ne se propose jamais de l'écouter. Alors il enferme tout en lui, jusqu'à finir en pleurs enfermé dans sa chambre. Ce n'est pas sain, mais il ne voit pas comment changer ça. A certains moments, son souhait serait de prendre une arme, d'enfiler un uniforme et juste de courir se battre sans réfléchir. Seulement, ça ne marche pas ainsi. Et, à cause de sa dyspraxie, particulièrement forte chez lui, il sait qu'il n'a aucune chance d'être un jour accepté en tant que soldat. Alors ce gamin rumine sa vengeance tout seul, dans son cœur. Sans s'en rendre compte, Abel s'éloigne de ses proches, rejette leurs valeurs les unes après les autres. Faire confiance aux gens, ce n'est pas son truc. Il est méfiant, du genre à toujours garder les yeux baissés pour éviter de s'attirer des problèmes. Après tout, avec les crétins de son âge, c'est un peu trop facile de provoquer des conflits pour des broutilles.

Pas particulièrement bon en classe, peu apte à s'en sortir en EPS, sans talent particulier, Abel a cependant une capacité étonnante à s'accrocher. Chaque soir, il se pose dans le salon familial et ignore les conversations plus ou moins houleuses des membres de sa famille pour faire ses devoirs, quitte à devoir écouter de la musique avec un casque. Chaque matin, il se persuade qu'il doit aller en cours, que ça ira parce qu'il peut le faire. Et c'est cette force qu'il a qui le rend un brin plus courageux qu'on pourrait le croire.
⊱ i was meant to be a warrior
Incapable de lacer ses lacets seul à cause de sa pathologie, il ne porte que des baskets à scratchs ✈ Petit dernier de sa famille, il est considéré comme le 'petit chou' qui a toujours besoin d'aide avec tout. Sa famille l'infantilise à cause de sa dyspraxie, ce qui l'agace prodigieusement ✈ Abel est membre d'une association caritative qui aide les enfants de militaires à mieux supporter l'absence de leurs parents. Ses parents sont contre, estimant qu'il n'a pas la maturité pour être membre de ce genre de groupe ✈ Une fois, il a cassé le nez d'un de ses camarades de classe en le frappant parce qu'il s'était moqué de l'une de ses sœurs. Le garçon n'oubliera jamais cet instant. Il a eut l'impression d'être si fort et lâche à la fois. ✈Le fait d'avoir été adopté ne le dérange pas vraiment même s'il voudrait aller au Japon un jour ✈ Abel casse environ un téléphone portable tous les trois mois à cause de sa maladresse, ce qui enrage le corps parental. Alors, pour éviter de devoir lui en repayer, on lui refile les vieux de ses sœurs ✈ Il panique facilement, bafouille sans même le réaliser et a terriblement peur de répondre au téléphone ✈ A cause d'une sorte de fascination un peu morbide, Abel passe beaucoup de temps à lire des articles en ligne décrivant les différents conflits dans le monde. Il ne sait pas si c'est intéressant ou juste terrifiant, d'avoir toutes ces informations. Sans doute un peu des deux ✈ Sur les quatre autres membres qui composent sa famille, trois sont militaires ; son père et ses deux sœurs aînées. La famille comprenait un membre de plus auparavant. Une troisième frangine, issue d'un premier mariage de leur père. Elle a été tuée six mois plus tôt, sur le terrain. C'est peu après son décès que son père a accepté un poste d'enseignant dans la base. ✈

dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : Kenny FILLE OU MEC ? : Girl AGE : 22 FRÉQUENCE DE CONNEXION: 5/7 SCENARIO OU INVENTÉ ? : Inventé LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : Yep ! LE MOT DE LA FIN : J'ai arrêté le rp pendant un long moment, à cause de problèmes personnels. Pardonnez-moi si je suis un peu rouillée.

Code:: [i][color=#3d5987]Masaki Suda[/i][/color] ✈ Abel Y. Frazier

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⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…

Lorsque la seconde épouse du militaire Frazier a découvert qu'elle ne pouvait pas avoir d'enfants, leur monde a été chamboulé encore plus qu'il ne l'avait été jusque là à cause du métier de son époux. Au début, ils ont tenté de se faire aider médicalement, ce qui a échoué. Alors l'adoption est devenu la seule solution. Une sorte d'évidence qui ne les rebutait pas, bien au contraire. Qu'importe le sang, les liens ne se construisent pas que grâce à lui. Leur première fille avait six ans lorsqu'elle est arrivée chez eux. L'enfant venait de Chine et son adaptation n'avait pas été trop compliquée. La seconde arriva deux ans plus tard, étant originaire d'un pays voisin. Et, finalement, leur choix se porta une dernière fois sur cette façon de former une famille, ajoutant le jeune Yosuke, rebaptisé Abel, à la fratrie. A son arrivée, il n'avait qu'un an et ceci favorisa bien son intégration aux Etats-Unis. A cette époque, aucune ombre ne planait véritablement sur ce petit monde, chacun était heureux, se contentant de ce qu'il avait. Paul Frazier parvint, lentement mais sûrement, à franchir les échelons lui permettant d'obtenir des postes de plus en plus respectés, faisant la fierté de son épouse, mère au foyer, et de ses enfants. "Moi aussi je veux devenir un soldat !" Clamait déjà le seul garçon de la maisonnée du haut de ses cinq ans alors que ses sœurs approuvaient de façon enthousiaste. L'armée, c'était une telle évidence pour eux tous. D'ailleurs, lors d'un premier mariage, leur paternel avait déjà eu un enfant, une demoiselle qui, du haut de douze ans, ne pouvait déjà plus attendre pour s'engager. Cependant, Abel ne connaissait pas très bien Ginger. Certes, elle venait les retrouver durant certaines vacances mais ça s'arrêtait là. Les deux jeunes gens s'appréciaient sans vraiment se comprendre, sans doute à cause de leur importante différence d'âge.

"Je suis dyspraxique, pas stupide !" Les poings serrés, l'enfant tremblait de colère alors que sa mère laissait des larmes couler sur son visage tout en lui assurant que tout irait bien. Ils le considéraient tous comme étant malade, bon à rien. Même s'il n'avait pas encore dix ans, Abel n'était pas idiot. Il comprenait bien sa différence. Seulement, elle n'affectait pas son intelligence et encore moins sa capacité à comprendre quand on le plaçait dans une case qui ne lui convenait pas. Certes, sa maladresse était bien trop importante et il était évident qu'il avait des problèmes au niveau de son développement moteur. Comme le fait qu'il n'arrivait pas à rattraper correctement un ballon ou à lacer ses chaussures par exemple. Un autre point de sa pathologie étant son incapacité à comprendre la logique derrière les mathématiques, au point qu'il avait des notes catastrophiques qui plombaient toute sa moyenne. Cependant, Abel était persuadé, et l'est encore de nos jours, que ça ne justifiait pas les pleurs et les excuses de ses parents. Pourquoi les adultes se sentaient-ils toujours coupables quand leur enfant était juste un peu différent ? Ce jour-là, le petit garçon quitta le cabinet du docteur en pleurs, refusant d'écouter qui que ce soit.

"Je suis vraiment inquiet pour Abel, Louise. Il refuse de comprendre qu'il ne pourra jamais devenir militaire. Bon sang, il peut à peine tenir un verre d'eau sans le renverser ! Qu'est-ce qu'il s'imagine ? Ça me déprime de le voir s'accrocher autant. Il a tellement de potentiel, tu comprends ? Et il n'a pas le droit de l'utiliser. C'est injuste. Oh, on me demande. Désolé chérie, je te téléphone de nouveau dès que je peux. C'est un véritable chantier ici." Si le téléphone n'avait pas été sur haut-parleur ce jour-là, peut-être que le gamin n'aurait jamais réalisé que son rêve était inatteignable. Tout ça parce que sa mère cuisinait tout en parlant avec son mari. Assis dans le couloir, l'enfant hésita entre juste hurler ou bien partir sans dire un mot. De toute façon, quoiqu'il dise, on allait le traiter comme un bébé de six ans ne pigeant rien. Ravalant ses larmes, Abel marcha lentement jusqu'à sa chambre et s'écroula sur son lit, se demandant pourquoi les gens refusaient de comprendre que la dyspraxie ne le définissait pas.

Le collège lui posa des problèmes assez rapidement. Sans nul doute parce que les autres ne le comprenaient pas vraiment. Pour lui, tout semblait si compliqué. Enfin, la majorité des matières en tout cas. En langues étrangères, Abel était plutôt doué mais ce n'était pas le Japonais, langue qu'il avait décidé d'apprendre pour renouer avec son passé, qui risquait de sauver sa moyenne. Au bout d'un moment, il se fit une raison. Ce n'était juste pas son truc d'aller en cours. Rien n'était son truc en fait. Et l'adolescent était complètement paumé, tout simplement. Un soupir passait ses lèvres dès qu'il tendait son bulletin à ses parents, redoutant leurs réactions, leur regards qui disaient clairement 'il ne pourra jamais faire mieux'. A cette époque, Abel était persuadé qu'il ne serait jamais en mesure de quitter la ville de son enfance, de devenir quelqu'un d'autre. Pour lui, rien n'allait jamais changer.

Et puis, alors qu'il avait quinze ans, tout bascula.

Tout allait bien au début. Ce jour-là avait commencé exactement comme les autres. Un dimanche matin sans histoire. Jusqu'à ce que le téléphone sonne. Même si l'adolescent détestait -et avait carrément peur de devoir décrocher- les autres prenaient encore leur petit-déjeuner dans le jardin, le forçant à combattre sa peur, qui jusqu'à cet instant n'avait pas de raison d'être. A peine prononça t-il un 'bonjour' plus que maladroit, la personne à l'autre bout du fil demanda à parler à son père. Sans s'inquiéter outre mesure, ce genre de choses arrivant souvent, Abel alla le chercher. Cependant, la suite des événements n'eut rien à voir avec un dimanche normal. Pour la première fois de son existence, l'adolescent vit des larmes dans les yeux de son père, qui, après un très long silence, parvint à lui dire la vérité.

"Le convoi de Ginger a été attaqué ce matin et il n'y a aucun survivant."

L'enterrement fut militaire puisque la jeune femme était un soldat après tout. Assis sur une horrible chaise en plastique, le jeune garçon se sentit impuissant et faible alors qu'il écoutait les gens converser, exprimer leur peine. Sa demi-sœur était étendue là, dans ce bout de bois qu'on ne pouvait même pas garder ouvert parce qu'elle avait été trop amochée, et il ne pouvait rien y faire. Pourtant, rien ne voulait sortir de sa gorge, pas le moindre son. Il n'accepta de véritablement payer attention à ce qui l'entourait que quelques heures plus tard, lorsque la mère de la défunte lui plaça dans les mains l'un des colliers favoris de sa fille, en lui murmurant qu'elle avait marqué sur son testament qu'il devait l'avoir. Au lieu de s'en sentir heureux, Abel se demanda pourquoi une personne si jeune avait été forcée de rédiger une telle chose.

A partir de cet instant, celui qui avait bien réalisé qu'il ne deviendrait jamais militaire commença à porter le bijou, le cachant souvent sous ses t-shirts cependant. Communiquer avec ses proches se fit complexe, surtout à l'annonce du nouveau poste de son père. Ce dernier se contentait de fuir, c'est ainsi qu'il le vit en tout cas. Cependant, il ne formula pas cette pensée et se contenta de tout garder pour lui, observant ses proches faire leur deuil sans parvenir à faire de même. Son arrivée sur la base aida un peu pourtant. Changer d'établissement scolaire, de maison, c'était mettre les mauvais souvenirs derrière lui. Enfin, au moins, il le voyait ainsi.

Puis vint ce qu'il vit comme une trahison.

"MAIS A QUOI VOUS PENSEZ ?! Emina, Faith, vous ne pouvez pas faire ça ! " Il hurlait alors que ses sœurs se regardaient, affligées. Bien sûr, sa réaction ne les étonnait guère. Mais leur vœu de s'engager au sein de l'armée ne pouvait être changé et ça ne le regardait pas. Elles se contentèrent de s'asseoir aux côtés de leur petit frère tout en lui promettant que rien n'allait arriver tandis qu'il devenait incapable de retenir ses larmes. Emina se demanda si ce n'était pas de la jalousie au final. Oh, bien sûr, il était terrifié pour elles, c'était normal, mais lui ne pourrait jamais porter l'uniforme comme elles le faisaient. Ils restèrent ainsi un long moment, tous les trois, chacun essayant de convaincre l'autre avec des arguments qui finirent par ne plus avoir le moindre sens.

Et voilà où il en est, à présent. Réduit à voir tout le monde travailler sur la base sauf lui. Certes, sa mère est dans le même cas mais c'est un peu différent. Aux yeux d'Abel, vu la force qu'elle déploie dans le soutien des troupes, elle est tout autant un soldat qu'eux. Alors que lui doit se contenter de se traîner au lycée chaque jour.

Haaan, un petit asiatique sur BULLETPROOF bril bril les zieux

C'est cool, ça change des autres avatars omagad

Bienvenue à toi Abel, si tu as des questions, le staff est là pour y répondre I love you

Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche :)

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Jamie-Rose Gallagher a écrit:: Haaan, un petit asiatique sur BULLETPROOF
C'est cool, ça change des autres avatars

+1

Bienvenue par ici !

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Bienvenue
Bonne chance pour ta fiche

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Merci à vous Abel ▲ I'm not normal enough to fight but my sister was normal enough to die. 1839924927

!
Je cours me remettre à ma fiche pour essayer de la finir aujourd'hui.

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Bienvenue ! Abel ▲ I'm not normal enough to fight but my sister was normal enough to die. 2145037518

BULLETPROOF InvitéInvité

Merci Ethan~ you should be dancin

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Bienvenuuuuue. Ça faisait longtemps que j'avais pas vu d'avatar asiatique, c'est cool mia cara la la la

J'aime beaucoup ton histoire, et particulièrement la trahison qu'Abel ressent face à l'action de ses soeurs. Jamie-Rose ressent la même chose, pas nécessairement pour les mêmes raisons; mais bon, ça pourra être intéressant à développer dans un futur lien héhéhéhéhé

Bienvenue sur la base, Abel I love you

Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles faire une demande de logement pour ne pas qu'il dorme à la rue et, une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.

Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !

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