à partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-Neige.
NOM(S) : Au choix. PRÉNOM(S) : Eva. Second prénom au choix AGE : 32 ou 33 ans LIEU DE NAISSANCE : Au choix. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle ou bisexuelle SITUATION AMOUREUSE : Célibataire SITUATION FINANCIÈRE : Bonne. SI MILITAIRE, GRADE : Capitaine GROUPE : Learning war AVATAR: Katee Sackhoff mais négociable
deviens toi-même.
L'histoire reste relativement libre, hormis certains points:
- Elle est entrée dans l'armée vers l'âge de seize ou dix-sept ans. Son père (et sa mère éventuellement si vous le désirez), fait lui aussi partie de l'armée américaine. Elle a toujours vu en lui un héros et a toujours voulu suivre son exemple mais ne voulait pas se trouver dans la même base que lui, s'est donc à Redstone qu'elle s'est inscrite. (du coup pour le lieux de naissance, la ville où elle résidait avant son entrée dans l'armée est totalement libre du moment que ce ne soit pas du côté de Redstone)
- Elle n'a pas eu de traumatisme durant son enfance (j'y tiens car il faut qu'elle soit plus équilibré émotionnellement que Caleb pour que le lien fonctionne). Elle peut avoir vécu les problèmes classiques d'une vie mais rien qui pourrait faire d'elle une âme tourmentée.
- Malgré ses tendances à désobéir aux ordres des supérieurs (rien de grave, évidemment, faut pas qu'elle soit mise à pied ou viré de l'armée pour des choses grave !Du genre faire la mur quand elle était jeune pour aller faire un viré dans un bar, ce genre de choses quoi) c'est un soldat fidèle, loyal et très impliqué.
- Elle peut avoir eu une relation sérieuse si vous le souhaitez, mais le reste du temps elle profite simplement de la vie et de ce qu'elle a à lui offrir.
- Elle a des côtés garçons manqué mais sait cependant être parfaitement féminine.
- Caractère: Tête brûlée, têtue, déterminée, sarcastique, amusante, funky, râleuse, joueuse, loyale, très honnête même trop, capricieuse. Vous êtes libres de rajouter quelques traits de caractère évidemment.
we salute the rank, not the man
Caleb J. O'Dalaigh, aka David Lyons.
Extrait de ma fiche:
Troisième nuit de garde. S’il y a bien une seule et unique mission qui m’insupporte dans le métier de soldat, c’est de devoir poiroter pendant des heures à l’entrée de la base, au garde à vous surveillant les allées et venues. Il n’y a rien de plus barbant, de plus ennuyant d’autant plus que je me sens inutile. En intégrant l’armée, mon seul objectif a toujours été de servir mon pays quitte à lui donner ma vie, mon existence. Apprendre l’art du combat, le maniement des armes, les stratégies militaires sans oublier les causes humanitaires. On m’offre la possibilité de devenir une personne de bien, d’aider mon prochain et de défendre tout ce en quoi je crois. Quatre ans à présent que j’ai enfin trouvé la famille dont j’ai toujours eu besoins, ce point de repère pour m’épanouir et trouver un sens à ma vie. Cet attachement profond que j’ai toujours recherché et qu’aucunes des nombreuses familles d’accueils que j’ai fréquenté n’a pu m’offrir. Etre soldat n’est pas seulement qu’une passion, une conviction, un devoir. Non. L’armée m’a sauvé des tourments dans lesquels j’étais profondément ancré, elle m’a redonné un second souffle et m’a permis de découvrir la réelle personnalité qui se cachait en moi attendant son heure pour véritablement exister. Alors peu importe l’ennui et l’agacement que je porte à ces nuits de garde, je prends sur moi. Attendant mon heure, celle où je serais enfin en mesure de montrer ce que je vaux, celle où j’irais enfin au front peu importe les risques encourus. Je leur dois d’être patient et prouver ma valeur, si je veux pouvoir grimper les échelons et obtenir les responsabilités tant attendus. Alors j’attends encore et encore, espérant que le temps s’écoule plus vite pour que je rejoigne enfin mon lit pour une nuit de sommeil bien méritée – même si elle sera ponctuée d’un de ces énièmes cauchemars – après une journée d’entrainement éreintante. Un coup d’œil rapide à ma montre m’indique qu’il est trois heures du matin. Encore quatre autres à tenir debout. Au fond j’espère que quelque chose se produise, qui vienne rompre le silence pesant de la nuit. N’importe quoi. Mes paupières deviennent lourdes, si seulement nous étions autorisés à discuter lors de ces gardes, je me ferais un plaisir de taper la causette à mon camarade situé à trois mètres de moi, à l’opposé de la barrière. Le temps paraîtrait certainement moins long mais c’est contraire au règlement. Toujours être attentif, rien ne doit nous déconcentrer. Oui enfin ça c’était avant d’entendre un rire à quelques mètres de là. Des pas se rapprochent, assez irréguliers. Les rires se font plus intenses tous comme les bavardages. Un petit groupe de quatre personnes s’avance dans notre direction, et en vue de leurs démarches titubantes et de leurs faibles discrétions, l’alcool empoisonne leur sang. Alors qu’ils se retrouvent à deux mètres de moi, je m’avance d’un pas la main levée dans leur direction leur intimant de s’arrêter. « STOP ! Vous n’êtes pas autorisés à entrer, veuillez faire demi-tour immédiatement » dis-je d’un ton sec, répétant cette phrase que l’on nous apprend chaque fois avant de prendre le poste. Trois hommes, et une jeune femme très jeune, à peine majeur j’en suis certains. Une petite tête blonde éméchée, aux joues rougies et yeux brillant par les effets de l’alcool plutôt inoffensive en apparence. Celle-ci s’avance légèrement en maintenant ses compagnons de soirées derrière. « Repos soldat ! » s’indigne-t-elle faussement en croisant les bras contre sa poitrine avec une moue amusée plaquée sur son visage. Haussant un sourcil puis plissant les yeux, offensé mais à la fois égayé par son affront. Cependant quelque chose attire mon attention, un objet brillant étincelant dans mes yeux grâce aux reflets de la lune. Mes yeux s’attardent alors au cou de la jeune femme puis vers son décolleté, apercevant alors les plaques militaires avec son matricule. « EH ! Vas-y, te gêne pas si tu veux mater » dit-elle en plaquant ses poings sur sa taille, tout cela avec exagération cherchant visiblement à me taquiner. Lâchant un soupire, je hèle mon camarade pour qu’il me rejoigne. Visiblement cette jeune femme, soldat de la base, a fait le mûr pour aller se distraire à l’extérieur. Deux solutions s’offrent alors à moi. Appeler un supérieur pour qu’il s’occupe de son cas, et il est certains qu’elle regrettera amèrement d’avoir désobéit aux ordres. Autre choix, lui épargner les ennuis en la raccompagnant à ses quartiers en toute discrétion mais me mettant à mon tour en mauvaise position si nous sommes amené à être pris la main dans le sac. Lissant mon front de ma main droite, je me bats intérieurement contre ce choix. Jetant un dernier coup d’œil à la jeune femme je fini par relâcher les muscles de mes bras dans un soupire en levant les yeux aux ciels, abdiquant face à sa moue suppliante et enjôleuse. « Très bien ! Suis-moi, mais surtout tu ne dis pas un mot et tu me suis de près c’est compris ?! » lui dis-je en pointant mon index sur elle, le regard dur. Faisant signe à l’autre soldat de dégager les trois civiles rapidement et de garder position à l’entrée de la base, je pris la jeune femme par la coude pour la conduire à ses quartiers. Bon sang qu’est-ce qu’il me prend là. En temps normal je n’aurais certainement pas aidé qui que ce soit à se sortir du pétrin, surtout ce genre de pétrin à vrai dire. Quand on cherche les ennuis de la sorte, il faut assumer. Hors là, je fais tout le contraire. Cette jeune femme à une très mauvaise influence sur moi, en un seul clignement des yeux elle a réussi à me convaincre. Il va falloir que je me méfie d’elle à l’avenir. D’un pas rapide, je la traîne à travers la base en prenant des chemins de traverses et discrets pour éviter que l’on nous remarque. « Eh doucement, tu me fais mal ! Puis y’a pas le feu, on est obligé de se magner le cul comme ça ? » Râlait-elle à mon attention, le ton un peu trop élevé à mon goût. Me stoppant net, elle heurta mon épaule assez abruptement. Posant mon index sur ses lèvres, je lui ordonne de se taire en fronçant les sourcils. Regrettant déjà ma décision, ma bouche se lisse en un trait droit révélant ainsi mon mécontentement. Tirant une fois de plus sur son bras tout en faisant attention à ne pas trop resserrer mon emprise sur elle et lui infliger une nouvelle douleur, je continue notre périple en ne cessant de jeter des regards un peu partout. « Tadam tadam tadam… » Je rêve là ! Maintenant elle se met à chantonner, la panthère rose il me semble d’ailleurs. Un bref instant j’eu envie de rire mais je me retins. Ce n’est vraiment pas le moment. Secouant la tête pour me reprendre je fus pris d’un soulagement en apercevant enfin son bâtiment à quelques mètres. Franchissant les derniers pas jusqu’à une porte de secours situé à l’arrière, je finis par m’arrêter et me tourner vers elle en un haussement de sourcil. « Merci bodyguard ! Sans toi je ne sais pas si je serais arrivée en vie jusqu’ici. C’est quoi ton nom ? » Dit-elle sur un ton amusé en ponctuant ses paroles d’un léger coup de poing dans mon torse. Elle est sérieuse là ? Elle veut vraiment se taper la discute ? Exaspéré je m’écarte légèrement sur le côté pour lui laisser le passage de la porte libre « Aller file ! Maintenant ! C’est la première et dernière fois que je te file un coup de main » Et je compte bien tenir cette promesse. Enfin je crois, je ne sais pas. Le regard qu’elle me jette alors me fait comprendre rapidement que ce n’est qu’un début et qu’elle n’en a certainement pas fini avec moi. S’avançant jusqu’à moi, ses deux mains se posent sur mes épaules « Je t’en dois une ! Et je te garantis que je te revaudrais ça, ne croit pas te débarrasser de moi aussi facilement. Je vais être la meilleure amie que tu n’as jamais eu mon gars, je te le garantie ! » Ajoute-t-elle comme une promesse, en riant visiblement de mon étonnement. Avec un peu de chance, une fois que l’alcool se sera dissipé elle aura oublié tout ça et elle ne sera plus aussi extravagante dans ses propos. Alors qu’elle recule pour ouvrir la porte de ses quartiers, elle me lance un dernier coup d’œil. « Au fait, moi c’est Eva ! » cria-t-elle à mon encontre avec un clin d’œil avant de refermer la porte
Depuis lors, Eva & Caleb sont devenus des amis inséparables. Même si il lui a fallut du temps pour conquérir celui-ci, elle n'a jamais cédé devant la difficulté de la tâche. Et elle a eu raison de s'acharner autant. Car aujourd'hui, ils ont besoins l'un de l'autre en permanence. C'est un peu comme-ci ils avaient besoins de l'autre pour pouvoir respirer, vivre. Eva a su détruire les barrières de Caleb, cette bulle de protection qu'il s'était acharné à conserver. C’est en grande partie grâce à elle qu’il s’est ouvert complètement au monde, ne réfléchissant plus au comportement qu’il pensait devoir avoir. Elle a abattue les dernières barrières qui l’empêchaient de profiter de chaque instant, mettant tout en œuvre pour qu’il relâche la pression. C’est ainsi qu’il s’est découvert un côté joueur et espiègle. Un bon vivant avec malgré tout toujours des réserves. Elle le met toujours au défi, ce qui donne à Caleb une sacrée bouffée d'air frais. Ils sont également très protecteur l'un envers l'autre, et donnerait leur vie pour l'autre. Ils s'amusent régulièrement à compter leur conquête, une sorte de petite compétition entre eux. Ils leur arrivent même de trouver pour l'autre le futur 'coup d'un soir'. Ils ont beau être les meilleurs amis du monde, Caleb ne lui parle jamais de son enfance, particulièrement de la nuit macabre où ses parents se sont fais assasinés devant ses yeux, ni même des cauchemars qui hantent ses nuits. Cependant ils savent garder leur complicité, leur amitié pour leur vie privée. Dès lors qu'il s'agit du travail, ils savent rester à leur place et rester totalement neutre. Caleb est d'ailleurs sont supérieurs, et malgré leur amitié il ne la ménage pas, ne fait de différence avec les autres soldats. Et elle non plus, bien qu'au fond ils sont d'autant plus protecteur l'un envers l'autre dans les situations périlleuses
Autre extrait de ma fiche:
Les lanières de cuir s’abattent une énième fois sur mon dos, déchirant des lambeaux de peau mettant ma chair à vif. Des plais d’où s’écoulent lentement le sang, dégoulinant le long de mes muscles. Mes mains sont ligotées en hauteur, seul le bout de mes pieds est en contact avec le sol. Les assauts du fouet me ballottent, et à chaque coup ma mâchoire se crispe les dents serrées empêchant les cris de douleurs de sortir de ma bouche. Il est hors de question que je leur donne ce plaisir, que je leur donne mes suppliques. Ils peuvent crever. Jamais je ne faillirais, jamais je ne montrerais une once de faiblesse. La notion de temps m’échappe totalement, j’ignore depuis combien de temps je suis ligotée dans ses grottes. Quatre ? Cinq jours ? Peut-être plus, ou moins. Je n’ai rien qui puisse me tenir de repère. Seul la fatigue de mon corps, ma faim et ma soif m’indiquent que ces tortures durent depuis déjà un bout bon de temps. M’accordant parfois quelques instants de répit pour revenir un peu plus à la charge par la suite. Se montrant un peu plus innovant dans les instruments tranchants ou autres pour me faire parler. Mon corps commence tout juste à cicatriser des coupures de rasoir qui lui ont été infligés, tout comme des décharges électriques qu’ils ont pris un malin à affliger à mon cerveau. Toujours suffisamment bien dosé pour que cela me grille de façon à ce que je ressente une profonde douleur jusqu’à la perte de connaissance sans pour autant que ça n’affecte mon système cérébrale. Après tout ils ont besoins de mes réponses, ils n’auraient que faire d’un légume. Des questions qu’ils n’ont de cesse de me poser. Des données stratégiques militaires, la position de nos forces spéciales, le trajet de nos convois. Bref, tout ce qui pourrait permettre à ces terroristes de tuer un peu plus de nos hommes pour nous affaiblir. Cependant, ils ne sont pas tombés sur le bon gars. Jamais un mot de sortira de ma bouche, jamais je ne trahirais les miens. Je préfère mourir même dans la souffrance plutôt que donner une quelconque information. Et même si cela peut paraître cruel et sans cœur, ils pourraient menacer n’importe qui de mes connaissances ou juste un enfant que rien ne me ferait parler. La vie d’une personne ne vaut pas celle de dizaines ou de centaines d’autres. La culpabilité et le remord me rongeraient certainement jusqu’à ce que l’on m’achève d’une balle dans la tête. Tout ce qui me réconforte désormais c’est que mon équipe ait pu s’en tirer saine et sauve, mon sacrifice en vaut la peine. Et c’est logique. Je suis responsable d’eux, j’aurais dû être plus vigilent, plus méfiant et pas nous entraîner directement dans un piège. Un assaut qui nous a pris de cours alors que nous nous dirigions vers un village récemment attaqué. Il n’y avait pas d’autres solutions, en tout cas pas le temps pour que nous réfléchissions à un plan. Pour éviter le moins de pertes possibles, l’un de nous devait faire diversion pour que les autres puissent sortir de ce traquenard. C’est ce que j’ai fait, ce que je me devais faire. Nos adversaires n’étaient pas en grand nombre, certainement le même nombre d’hommes que mon équipe, ils étaient cependant lourdement armés et nous avaient serrés dans un lieu qui leur tenait avantage. Pris au piège, on nous tirait dessus comme des lapins. La vie de mon équipe était entre mes mains. J'ai dû faire un choix. Un choix qui m'oblige à supporter encore et encore leurs tortures qui m'affaiblissent à vue d’œil. Je suis épuisé. Et le moment de répit qu’il m’accorde alors en cessant les coups de fouets me fait céder devant la fatigue de mon corps. Mes paupières s’alourdissent, et il me devient de plus en plus dur de résister à l’envie de les fermer et de m’accorder un peu de repos malgré ma position très inconfortable et la douleur de mes lacérations. Et alors que le brouillard s’immisce dans mon cerveau, me laissant aller à l’épuisement, des bruits d’explosions et de coup de feu me font sursauter, et m’éveille totalement. Des cris, des ordres en langues arabes et des coups de feu fusant de partout. L’adrénaline reprenant le dessus je tire de toutes mes forces sur les liens qui emprisonnent mes mains, allant jusqu’à me craquer douloureusement les os. Mais rien n’y fait. Ces enfoirés font des nœuds bien solides. Les bruits se rapprochent rapidement et mes yeux observent avidement l’entrée de la pièce où je me trouve. Bordel qu’est-ce qu’il se passe. Il me faut profiter de toute cette pagaille pour tenter une évasion. Et puis soudain, un de ces terroristes apparait, le visage déformé par la rage un couteau impressionnant serrer dans sa main. Ses intentions ne font aucun doute. Et alors que je m’apprête à recevoir le coup ultime, mon regard planté dans le sien. Un coup de feu retentit et devant mes yeux la cervelle de mon tortionnaire explose en morceaux. Surpris je mets un certain temps à comprendre ce qu’il se passe, mon regard ne quittant pas le corps se trouvant à mes pieds. « Mon Commandant ! Mon Commandant ! On va vous sortir de là » Quoi ? Reconnaissant la voix d’un de mes camarades, je sors immédiatement de ma stupeur en rivant mon visage vers le sien alors qu’il s’applique à couper les liens m’emprisonnant. Une fois relâché, mes jambes affaiblies ne supportent que difficilement le poids de mon corps. Le soldat et un autre me prennent alors en appuis sur leurs épaules « Bordel qu’est-ce que vous faites là bandes de crétins ?! » dis-je en grimaçant sous la douleur. Ce n’est pas dans les habitudes de venir aux secours d’un soldat, surtout quand il y a d’énormes risques pour que l’équipe de sauvetage y reste aussi. Je ne suis pas un homme important au point de risquer la vie de nombre de soldats. C’est juste impossible qu’ils aient reçu une telle autorisation. Ils ont forcément désobéis aux ordres. « Quel accueil Cal’ ! C’est comme ça que tu nous remercies ? » Mes oreilles bourdonnent en reconnaissant la voix et mes mains se referment en poing rageusement. Eva. J’aurais dû m’en douter. Il n’y a qu’elle pour se mettre dans le pétrin et ne pas se soumettre aux ordres qu’elle estime injuste en particulier quand il s’agit des miens. En me sacrifiant, je lui avais intimé l’ordre de partir sans se retourner ce qui incluait évidemment de ne surtout pas risquer une mission de sauvetage. Mes forces ne me permettent cependant pas de lui dire ma façon de penser mais elle peut être certaine que quand tout cela sera terminé, si bien sûr on s’en sort vivant, qu’elle passera un très, très mauvais quart d’heure. [color=#66ccff]« Aller, on te ramène à la maison Cal’ »
Malgré les ordres, Eva n'avait pas pu se résoudre à laisser son commandant, son meilleur ami dans les mains des terroristes. Désobéissant aux ordres, et priant pour qu'il soit toujours en vie, elle a convaincu les mêmes hommes de l'équipe d'effectuer la mission de sauvetage. Terrorisée à l'idée de ce qu'on pouvait lui faire, ou pire qu'il soit mort elle a prit conscience de la véritable nature de ses sentiments pour Caleb. L'amitié n'est plus suffisante à ses yeux, elle désire plus. Beaucoup plus. Elle l'aime, et elle est persuadée que lui aussi. La mission de sauvetage réussite, Caleb a été renvoyé aux Etats-Unis après avoir reçu les premiers soins. Cependant Eva et les autres soldats sont restés sur place. Huit mois se sont écoulés depuis lors, et Eva est enfin de retour à la base. Avec un seul objectif, revoir et conquérir celui dont elle est éperdument amoureuse. Elle sait que ce sera difficile de lui faire avouer ses sentiments, qu'il lui faudra du temps et beaucoup de patience pour détruire les dernières barrières de protection qui les sépare. Elle fera tout, ne lâchera rien comme au début de leur amitié. Du côté de Caleb, il est très en colère envers elle. En colère qu'elle n'ait pas tenu sa promesse de ne pas revenir en arrière pour lui, de ne pas avoir respecté son sacrifice. Elle s'est mise en danger, a mis en danger le reste de l'équipe pour lui porter secours, et ça il ne le supporte pas. Il attend avec impatience son retour pour pouvoir lui passer le savon qu'elle mérite. Au fond il lui est reconnaissant, il lui sera certainement reconnaissant éternellement. Il a juste peur pour sa vie. Peur de la perdre quand elle fait de telles folies. Il ne se doute pas une seule seconde de l'évolution des sentiments de Eva, car pour lui elle est et restera que sa meilleure amie. Rien de plus. Cette idée est tellement ancrée dans son cerveau qu'il ne voit pas plus loin, mais qui sait.. peut-être réussira-t-elle à lui faire prendre conscience à lui aussi du véritable lien qui les unis. Ce ne sera pas facile, mais qui sait ? Peut-être qu'un simple baiser changera la donne ?
Tout d’abord je te remercie infiniment de t’intéresser à mon scénario et d’avoir lu jusqu’au bout Je ne suis pas très douée pour décrire mes scénarios, donc j’espère avoir été suffisamment clair dans mes explications . Mais si tu as la moindre question, n’hésite surtout pas à faire exploser ma boîte MP.
PSEUDO : Eva n’est pas négociable puis que je l’utilise dans ma fiche Quant au reste, le second prénom ainsi que le nom de famille, je te laisse libre de choisir.
AVATAR : Alors, je sais que mon choix est particulier et qu’il peut ne pas plaire . C’est pour ça, que je laisse l’avatar négociable. J’ai eu du mal à trouver des idées, car j’avais vraiment en tête que Eva soit blonde, pour qui pourquoi je sais pas XD Voici quelques autres propositions : Sarah Michelle Gellar, Katheryn Winnick, Rachael Taylor, Natalie Dormer, Sienna Miller. Si tu as d’autres idées, n’hésites pas à me les soumettre, je garde cependant un droit de réserve si vraiment ton choix ne me convient pas.
PRESENCE/FREQUENCE: Alors j’aimerais quelqu’un d’actif dans le sens qui se connecte régulièrement sur le forum . Et S’IL VOUS PLAIT PAS DE MEMBRE FANTOME ! Si c’est pour ne pas finir sa fiche ou abandonner au bout d’un mois le personnage ce n’est vraiment pas la peine. C’est super frustrant !
RP: Je ne suis pas très exigeante et je m'adapte facilement aux joueurs. Personnellement mes rp's font en moyenne 900 mots. Je peux faire plus, comme moins. Je m'adapte quoi Niveau fréquence un rp par semaine ou deux semaines ça me va parfaitement Si possible quelqu'un qui ne fait pas de fautes à toutes les phrases, ça fait assez mal aux yeux. Je ne suis pas parfaite, je fais des fautes aussi mais faut pas trop abuser quoi x)
Je pense n'avoir rien oublié . Ma boîte MP est ouverte alors n'hésite pas à la faire exploser si tu as des questions . Merci encore de t’y intéresser et je construis un château en guimauve si tu prends mon scénario
Bon et bien voilà, j'ai craqué ! Mainteant étant donné que j'ai un autre compte ici, n'hésite surtout pas à me dire si tu envisageais un joueur au style différent par exemple (je ne serais pas vexée promis ). Et sinon j'ai opté pour Sienna Miller dans ta liste en espérant que cela te convienne. Enfin voilà, je suis là mais ne te sens pas obligée de m'accepter car je sais que ça peut arriver pour x raisons et je saurais toujours rebondir avec un autre DC et puis j'aime mon petit Mike donc voilà. Ta petite Eva c'est la cerise sur le gateau si tu me dit oui, mais le gateau sans cerise c'est aussi très bon (métaphore pourrie bonjouuuur). Anyway :
Je t'accepte pour le meilleur et pour le pire baby J'aime ta plume et je suis sûr qu'on va se faire des rp's qui rockse du poney Et Sienna, c'est un très bon choix Pis le gif dans ton profil, il est trop coooooooool
Je m'attendais pas à ce que mon scénar' soit pris aussi vite, quelle bonne surprise que tu m'as fais là Si tu as des questions hésites surtout pas à me harceler