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 EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.

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BULLETPROOF
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EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. Empty
MessageSujet: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 11:46



Ezeckiel Caleb Emerson

J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était cela la liberté.

let me introduce myself.

NOM(S) : Emerson. Descendant de Charles Wesley Emerson, fondateur et premier président du très prisé « Emerson College » qui se trouve être un établissement supérieur d'éducation américain. Une fierté familiale en somme. PRÉNOM(S) : Particulièrement croyante, ce fut sa mère qui décida de le prénommer Ezeckiel. De l'hébreu "yekhezqel", littéralement force de Dieu, Ezeckiel est l'un des quatre grands prophètes de la Bible. Son second prénom, Caleb, est lui aussi tiré de la bible et peut se traduire par « l’audacieux ». AGE : Après cinq ans d’amour, sa petite tête blonde fit son apparition le 18 novembre 1986. Scorpion, il peut s’avérer aussi vénéneux que son signe zodiacal… Il est donc âgé de 28 ans. LIEU DE NAISSANCE : Huntsville, en Alabama. Etats-Unis. Son père était également militaire, le blondinet n’a donc connu que cette base depuis sa plus tendre enfance… ORIENTATION SEXUELLE : Insensible aux charmes et atouts masculins, c’est un fervent amoureux de la gent féminine exclusivement. SITUATION AMOUREUSE : Solitaire, le blondinet tient à son statut de célibataire cependant il n’en reste pas moins un homme à qui il arrive d’avoir quelques histoires d’une nuit. SITUATION FINANCIÈRE : Relativement aisé. Disons qu’à cause de son train de vie, certaine fin de mois sont dures à boucler mais dans l’ensemble, et grâce à sa pension militaire d’invalidité, il n’a pas à se plaindre du nombre de zéro sur son compte en banque. MÉTIER/ÉTUDES : Titulaire du diplôme d’état, il eut une carrière militaire le menant jusqu’au grade de lieutenant. Mis en congé forcé à cause de son amnésie, il reste néanmoins pilote de chasse au repos dira-t-on. SI MILITAIRE, GRADE : First Lieutenant. GROUPE : LEARNING WAR. AVATAR : Garrett Hedlund. CRÉDITS : Me, Tumblr & Bazzart.


⊱ this time i'll be bulletproof
✈️ Qualités :
Ardent, passionné, intuitif, actif, magnétique, protecteur, capable de tout, débrouillard.

✈️ Défauts :
Renfermé, sarcastique, catégorique, méfiant, rancunier, tendance à se cantonner dans le passé, autodestructeur, colérique.

De nature secrète et mystérieuse, Ezeckiel n’est pas homme à se dévoiler facilement, mais il possède toutefois un fort magnétisme. Lorsque ses grands yeux clairs se posent sur quelqu’un, son regard scrutateur semble lire jusqu’au plus profond de son âme. Visuel, il analyse beaucoup son entourage, il possède un flair terrible. Sociable, curieux et indépendant, tel s’avère être le reflet de son caractère épris de liberté. Doué pour les contacts ou les négociations, l’américain bénéficie de réelles facultés d'adaptation, c’est d’ailleurs ce qui exacerba son goût particulier pour les voyages, l'envie de prendre parfois des risques ainsi que de se remettre en question fréquemment. Rétif aux contraintes, vif et pressé, il apprécie que tout aille très vite. Distingué et séduisant, il ne manque pas de charme (même s’il n’en a pas toujours conscience). Ezeckiel est un être bouillonnant, autoritaire, ambitieux, confiant en lui-même et passionné. Cet homme d'action a besoin de se dépenser physiquement et d'aller de l'avant. Il en impose de prime abord, et apparaît comme quelqu'un de fort, sérieux et digne de confiance. Il sait surtout être agréable, très responsable, curieux, adaptable, et n'hésite pas le cas échéant à se remettre en question, l'aventure et la nouveauté ayant tendance à le stimuler. Il hésitera d'ailleurs souvent dans sa vie entre son sens des responsabilités et du devoir, son esprit de famille, et l'envie de tout remettre en cause, de vivre pour lui et non pas pour les autres. Selon les époques, ou selon les circonstances, ce sera une tendance ou l'autre qui l'emportera. Le militaire apparaîtra le plus souvent comme une épaule stable et solide sur laquelle s'appuyer, même s'il préférerait être un peu moins responsable des autres, alors qu'on profitera le plus souvent de sa serviabilité et de sa manière de prendre les choses au sérieux. Il déborde de vitalité, et ce n'est certainement pas une autorité rigide qui aura de l'ascendant sur lui. Il respectera bien davantage ceux qui adopteront une attitude franche et directe, ou ceux qui lui feront confiance et respecteront son sens de la justice et de l'équité. Ni nuancé, ni impressionnable, ni influençable, il est consciencieux, courageux et, bien que parfois abrupt, il est le plus souvent cohérent dans son comportement.

Mais ce personnage est également quelqu’un de nerveux qui a les nerfs à fleur de peau et a besoin de canaliser leur trop-plein de nervosité par une importante mobilité ou la diversification de ses intérêts. Convaincus que l'ennui naît de l'uniformité… Orgueilleux, il lui arrive de se montrer cassant. Peu patient et intolérant, il connait des accès de colère et d'emportement où il peut dépasser certaines mesures, bien qu'il sache de la même manière afficher une grande maîtrise de lui-même, notamment en public… Un caractère trempé, qui pousse parfois jusqu'à la contradiction, l'arrogance, détestant la flatterie et les contraintes. Impatient, doué d'une agilité d'esprit surprenante, il peut se montrer aussi irritable, agressif et même violent, lorsqu'il estime que les bornes risquent d'être dépassées. S’il ne laisse pas paraître sa sensibilité et sa grande émotivité, c’est souvent par peur d’être blessé. Passionné, qu’il aime ou haïs, il est prêt à tout. Lorsqu’il aime, il peut être extrêmement possessif, mais également très fidèle. Par contre, si Ezeckiel ne laisse personne faire de la peine à ceux à qui il tient, le jeune homme ne peut s’empêcher de lancer ses remarques acidulées aux êtres chers. Ses sentiments très profonds et souvent confus donnent l’impression qu’il joue avec les gens alors qu’en réalité, il éprouve un besoin quasi instinctif d’être certain par peur d’être blessé… Souvent perçu comme un être méchant voir démoniaque, le jeune homme a le don pour trouver le point sensible des gens et le moment où ils sont le plus vulnérables afin de « piquer »…

⊱ i was meant to be a warrior ✈️Gourmand, il n’est pas rare de le croiser avec une sucette à la bouche pour combler son manque de sucre. ✈️Depuis son adolescence, il voue une véritable passion pour un art ancien : le tatouage. Ezeckiel en possède une collection, chaque pièce raconte un bout de son histoire. ✈️Lorsque le jeune homme est nerveux, il a la fâcheuse tendance de faire les articulations de ses doigts ou de son cou. ✈️Fumeur depuis tout jeune, il n’a pas perdu son goût pour la nicotine. Il peut aller facilement à deux paquets par jour surtout lorsqu’il y ajoute sa plante magique. ✈️L’alcool fait partie des nombreux vices auxquels il s’adonne, pas réellement fêtard dans l’âme c’est surtout un moyen d’oublier. ✈️Il a une sainte horreur des bruits de mastication qu’on assimile souvent à ceux d’une vache. ✈️Quand il se sert un bol de céréales, il attend toujours qu’elles se ramollissent avec le lait avant d’y toucher. ✈️Le sport est vital pour lui. Footing, natation, arts martiaux, etc… Peu importe la discipline pourvu qu’il se dépense. ✈️Lorsqu’il a besoin de réfléchir, il trouve un endroit en hauteur pour s’y réfugier et crayonne sur son cahier à dessin qui ne le quitte jamais. ✈️ Au bout de la chaîne en argent qu’il porte autour du cou pend une alliance en or blanc. Personne ne connaît sa signification. ✈️ Icare, un husky de Sibérie mâle blanc et noir de quatre ans le suit partout et un lien particulier uni le maître et son animal. ✈️ Mâle dans toute sa splendeur, ses choix vestimentaires en sont la preuve. « J’ouvre la commode. Je grogne. Je choisis au hasard. Je suis prêt. » Brave type. ✈️ Son allure de bad boy attire particulièrement la sympathie des filles de l’institut, ce qui n’est pas pour lui déplaire… ✈️ Pas matérialiste pour un sous, les seuls vestiges de son passé se résument à une vieille photo recollée de sa mère et de lui et sa guitare sèche. ✈️ Autodestructeur, Ezeckiel passe fréquemment par des phases obscures sans être pour autant suicidaire. ✈️ Il ne s’estime pas beaucoup, voir se déteste cordialement certains matins.


dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : Boulan, enchantée^^ FILLE OU MEC ? : Animal ?! Oo Hum... Femelle (a) AGE : 23 ans (nah j'suis pas vieille ><) FRÉQUENCE DE CONNEXION: 5/7. SCENARIO OU INVENTÉ ? : Inventé. COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : Via la pub' sur Bazzart, ça faisait un moment que j'hésitais à m'y inscrire, c'est chose faite ! LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : GRAVE ! Delamortquituetouttasvuuuuuuu ! LE CODE DU RÈGLEMENT : Shoot me down but I won’t fall. LE MOT DE LA FIN : BLOOP I love you

Code:
[b]Garrett Hedlund[/b] ✈️ ezeckiel caleb emerson


Dernière édition par Ezeckiel C. Emerson le Dim 2 Fév - 20:41, édité 5 fois
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BULLETPROOF
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 11:47




, ALABAMA
QUARTIER PROVIDENCE
03 : 36 P.M
08 JUILLET 1997


La peau tannée par le soleil, une femme d’une trentaine d’années s’affairait dans le jardin, manipulant les mottes de terre à l’aide de gants vert ornés de fleurs orange. Un énième cadeau des fêtes des mères que la prunelle de ses yeux lui avait offert en y joignant un poème remplit de fautes d’orthographes. Cette pensée gratifié d’un sourire nostalgique s’effaça bien trop rapidement, laissant place au flot constant de larmes qui s’écoulaient presque par habitude. Huit mois. Huit long mois. Une attente interminable. Mariée depuis dix neuf ans à l’homme qui partageait sa vie par intermittence, la mère au foyer ne semblait pas pouvoir s’accoutumer aux absences répétées de son mari. Un militaire. Un pilote. L’un des meilleurs de la base de Redstone. Il n’y avait pas que des mauvais côtés à cette vie. Cette maison par exemple. Pareille à toutes les autres dans ce quartier dont les rues parfaitement perpendiculaires ne faisait que souligner la discipline qui caractérisait l’armée. L’herbe toujours bien taillées. Les façades blanches toujours propres. La marmaille bruyante qui courraient où bon leur semblait sans avoir réellement conscience de ce qui pesait chaque jour dans le cœur lourd de ses mères attentionnées… La peur. Ces mères courages qui jamais ne s’autorisaient à craquer en public, affichant cet éternel sourire en toute occasion, élevant leurs enfants du mieux qu’elles le pouvaient en faisant front à leur manière. Personne ne leur offrait de médaille pour leur courage, leur ténacité, alors que sans armes elles se démenaient, elles se battaient… Son petit bonhomme fit irruption, interrompant ses rêveries, arborant fièrement ses genoux sanguinolents. Il avait gagné une course. Sacré petit gars. Courageux, ou téméraire, il fonçait toujours tête baissé dans les ennuies et emmagasinait ses exploits dans un carnet à la reliure de cuir pour les compter au retour de son père. Pour ne rien oublier. Peut-être pour lui donner l’impression que malgré son absence, il ne ratait rien de la vie de son fils. Ce fils qui se vouait déjà depuis tout gosse à une carrière militaire. Lui aussi voulait voler parmi les aigles. Ses yeux bleu s’émerveillaient à chaque fois qu’il pouvait observer son père astiquer son avion sur la base. C’était sans aucun doute les rares moments où ce dernier restait silencieux, immobile. Alors qu’Elizabeth grondait gentiment son fils en le mettant en garde des dangers qu’il encourait avec ce genre de bêtise, son regard azuréen se posa sur le véhicule qui venait tout juste de se stationner devant la cour. Son cœur rata un battement en voyant sortir trois soldats à la mine déconfite. Ravalant la boule qui se formait au fin fond de sa gorge, elle serra un peu plus son petit garçon contre elle en luttant contre l’angoisse qui l’empêchait de respirer. Non, ce n’était pas possible. Pas lui. Pas maintenant. « Ezeckiel, va dans la salle de bain pour mettre de l’eau sur tes genoux. Maman te rejoins très vite d’accord mon poussin ? » Articula-t-elle avec difficulté avant de lui ordonner d’un signe de la tête de rentrer à la maison. Marmonnant, visiblement véxé du haut de ses douze ans d’être traité encore de la sorte, il obéit tout de même sans jeter un coup d’œil aux hommes qui s’avançaient silencieusement dans l’allée. En serrant contre elle ses gants, reprenant avec difficulté sa respiration, elle les rejoignit à grandes enjambées…

A l’intérieur de la bâtisse, Ezeckiel observait à la dérobée la scène. Le cœur battant. Il avait déjà vu cette scène se produire sans réellement comprendre. Ces gens là n’apportaient que des mauvaises nouvelles et annonçaient souvent le départ précipité d’une famille. Un éclair traversa la mécanique de son cerveau quant il vit tomber sa mère. Elle ressemblait aux feuilles d’automne qui abandonnaient leur branche pour venir mourir aux pieds de l’arbre… Un cri déchira le silence. C’était sa propre voix. Il traversa la maison en courant, claquant la porte derrière lui pour dévaler les quelques marches du perron et se ruer vers elle. L’un des militaires l’attrapa au vol pour le conduire un peu plus loin alors qu’un second déposait au creux des bras tremblant de sa mère le drapeau des Etats-Unis ainsi qu’une boite en carton. Non. Pas ça. Pas son père. « PAPAAAAAAAA !!!! Lâchez-MOI !!!! Où es mon père hein ?! Où est-il ?! MAMAN ! » Le voisinage ne tarda pas à pointer le bout de leur nez, non pas par curiosité malsaine mais parce qu’ils avaient tous conscience que pour cette famille, plus rien ne serait jamais pareil. Jamais.


HUNTSVILLE, ALABAMA
BASE DE REDSTONE
06 : 01 A.M
08 JUILLET 2003

« Voici mon fusil. Il y en a bien d'autres comme lui, mais celui-ci c'est le mien. Mon fusil est mon meilleur ami. Il est ma vie. Je dois en être le maître comme je le suis de ma propre vie. Mon fusil, sans moi, ne sert à rien. Et sans lui, moi non plus je ne sers à rien. Je dois tirer droit, plus droit que l'ennemi qui cherche à me tuer. Il faut que je le tue avant que lui ne me tue. Et c'est ce que je ferai. Mon fusil et moi-même nous savons que ce qui compte dans cette guerre, ce ne sont pas les coups que nous tirons, ni le bruit de nos rafales ni la fumée que nous dégageons. Nous savons que ce qui compte ce sont les coups au but… LUI ET MOI, ON FERA MOUCHE… Mon fusil est humain, tout comme moi, puisqu'il est ma vie même. C'est pour ça que je veux apprendre à le connaître comme un frère. Je connaîtrai ses faiblesses, sa puissance, ses pièces, ses accessoires, son système de visée et son canon. Je le garderai toujours propre et prêt à servir comme moi-même je suis propre et prêt à servir. Nous ne ferons plus qu'un. C'EST COMME ÇA QU'ON FERA… Devant Dieu, j'affirme ce serment. Mon fusil et moi nous sommes là pour défendre mon pays. Nous sommes maîtres de l'ennemi. NOUS SOMMES LES GARANTS DE MON EXISTENCE. Ainsi soit-il jusqu'à ce que l'Amérique remporte la victoire, et qu'il n'y ait plus d'ennemi mais seulement la paix ! »
Une vingtaine d’homme hurlaient ce serment, leur main droite sur le cœur, le menton relevé, droit comme un I. Alors, que devant eux, un gradé les écoutait silencieusement en marchant. Tous regroupé devant leur chambré respective, en rang, au garde à vous, ils récitaient avec vigueur leur texte qu’ils connaissaient à présent par cœur. Au beau milieu de ce rang, trônait Ezeckiel. Loin d’être à ce jour de valeureux soldats, ils avaient tout de même réussis leurs classes avec brio et s’apprêtaient à savourer la plus longue permission attribuée depuis près de six mois. La fierté se lisait sur les visages rougies par l’effort des ces gamins à peine mineurs qui redevraient bientôt les honneurs devant familles et amis. Le cœur loin d’être en fête, l’esprit du jeune soldat se dirigeait vers l’unique personne qui manquerait à l’appel… Son père. Refoulant avec force cet état de fait, le blondinet au crâne rasé rehaussa la bretelle de son package sur l’épaule en se dirigeant vers la sortie de la base où l’attendait… Un ange. Son ange. Anastasia. Les rayons de soleil rehaussaient l’or naturel de ses longs cheveux ondulés qui retombaient en cascade sur ses épaules dénudées. Son sourire aurait pu réchauffer n’importe quel cœur aussi coriace soit il. Ne s’opposant jamais aux protocoles, elle attendait, trépignant d’impatience derrière l’ultime barrière qui les séparait encore l’un de l’autre. Attendris, son pas se fit plus pressant et il n’accorda qu’un coup d’œil rapide au surveillant qui vérifiait son identité avant de tamponner son autorisation de sortie. N’y tenant plus, elle accouru vers lui, faisant ainsi voleter les pants de sa robe d’été. Les ondes de choc accompagnant ses gestes firent tomber le sac d’Ezeckiel qui referma ses bras sur le frêle corps de sa petite amie. « Tu m’as tellement manqué… » Elle représentait tout ce qu’il n’était pas. Sa bouffée d’oxygène. La force dont il manquait cruellement. L’unique chose qui le raccrochait au présent. Tout en la faisant tournoyer dans les airs au rythme de ses éclats de rire cristallin, l’adolescent humait le parfum sucré réconfortant que dégageaient ses mèches de cheveux folles. Cela faisait un an et demi que le couple se soutenait contre vents et marées. Ce n’était pas toujours facile. Ils s’engueulaient beaucoup. Mais envers et contre tout, ils s’aimaient. Profondément. Sans savoir à l’heure actuelle que l’armée mettrait fin à la jovialité qui la caractérisait… A la pureté de cette amour d’adolescence…

IRAK, BAGDAD
PLATEAU DE LA CHAMIYE
08 : 23 A.M
11 JUILLET 2006


La chaleur étouffante n’avait comme seul écho les balles dont le sifflement faisait frémir les soldats reclus au fin fond d’un camion en partance pour rejoindre leurs coéquipiers en proie à de multiples assauts ennemis. Les soubresauts dus à la route bosselée réveillaient les hommes tremblant de peur. Aucun d’eux n’avait encore été au combat hormis le sergent qui affichait un masque d’insensibilité face aux sons provenant de piège dans lequel était tombé une équipe de surveillance. Les pneus grisèrent sous l’effet du freinage brutal qu’on leur occasionna. Encore bousculés par la violence du choc, ils n’entendirent pas le sergent leur hurler de descendre en vitesse du camion pour rejoindre le front. Parmi les derniers à sortir, Ezeckiel eu le souffle coupé. Des litres de sang encore frais se répandaient sur le sol. La poussière volait et obstruait la vision des soldats. Les bruits de détonation et d’explosion leur vrillaient les tympans. Une main se posa alors sur son épaule et on lui intima l’ordre d’avancer. Ses doigts se crispèrent alors sur l’arme automatique qu’il tenait. La peur l’envahissait peu à peu. Mais, bien vite, l’adrénaline remplaça les craintes et il se rua vers un rocher non loin de là pour se protéger des tirs ennemis. Une balle siffla alors près de son oreille droite. Il ferma un instant les yeux. Puis, il sortit de sa cachette en pointant son arme vers le lieu où se terraient les troupes adverses. Une salve de balle s’écrasa avec perte et fracas dans l’antre, seul les cris de douleur adverse se faisaient alors entendre. N’écoutant que son courage, lorsqu’il vit à quelques mètres de lui l’un de ses coéquipiers tomber, il s’élança vers lui sans jamais cesser de tirer afin de se couvrir. Deux autres soldats vinrent lui prêter main forte, pendant que l’un tentait via des tirs de sommation d’éviter qu’ils ne répliquent, les deux autres transportèrent tant bien que mal le corps meurtris de leur frère d’arme. A l’abri derrière le camion, Ezeckiel fit signe aux autres de partir afin de mener à bien leur mission. Le jeune militaire positionna la tête du blessé de manière à voir son visage… « Mike… Mike ! Est-ce que tu m’entends ? Ca va aller, on va s’occuper de toi ne t’en fait pas. » Mais, aux alentours, personnes. Leur équipe était trop occupée à repousser les nombreux assaillants. Il ne savait pas quoi faire. Son ami perdait du sang. Beaucoup trop. Il avait été touché à plusieurs reprises et les mains fébriles du lieutenant ne suffisaient pas à compresser suffisamment ses blessures pour stopper l’hémorragie. « Caporal Emerson ! On a besoin de vous là-bas, on ne peut plus rien pour lui mais en restant là c’est la vie des autres que vous mettez en danger ! » De force, son supérieur l’arracha à son débat intérieur et l’obligea à le suivre…

« Comment est-ce que vous vous sentiez à ce moment-là ? » Avec grâce, sa main tenant un stylo voletait sur le carnet qu’elle tenait entre ses mains. La psychologue reposa alors ses yeux sur Ezeckiel qui était debout en face de la seule fenêtre présente dans la pièce. Les yeux dans le vague, il restait silencieux. « Je l’ai abandonné à une mort certaine, comment voulez-vous que je me sente après ça Docteur ? » Sa phrase retomba comme une sentence. La jolie blonde jeta un coup d’œil à sa montre et reposa son carnet de note sur son bureau avant de se lever pour approcher de son patient. Cela faisait environ deux semaines qu’il était en thérapie à son retour d’Irak. Miraculeusement, il n’y avait pas péris mais à quel prix ? Il sentit alors le contact de la paume de sa main tout contre son cou. Une vague de chaleur accompagna ce geste. Elle l’apaisait. Elle avait ce don. C’était d’ailleurs certainement la seule raison pour laquelle il revenait jour après jour. « Un jour, sûrement pas demain, peut-être pas dans un mois, mais un jour, ça fera moins mal. Vous comprendrez que vous n’avez pas eu le choix. Je vous aiderai, c’est promis. » Pour réponse à ses mots, le jeune homme lui offrit un sourire. Un véritable sourire.


KENYA, SOMALIE
BASE MILITAIRE
05 : 48 P.M
08 JANVIER 2013

Un an. Un an qu’il volait dans le même ciel, découvrant les mêmes dunes désertes, les mêmes villages incendiés depuis fort longtemps, la même base dans laquelle ils étaient tous entassés dans l’attente… L’attente de quoi ? De tout. De rien. Ils avaient pour mission de protéger la population au cas où une attaque rebelle subviendrait. Mais il n’y avait eu aucun combat. Pourtant, ils étaient toujours là. Les uns lézardaient au soleil. Les autres jouaient au foot. Certains pleuraient leur famille. Puis il y avait Ezeckiel. Pas un jour ne se passait sans qu’il ne vole. C’était sa façon à lui d’oublier. Oublier ce manque grandissant. Ce trou béant noircit par les horreurs qu’il avait vu, qu’il avait faites. L’inactivité faisait resurgir tout un tas de chose chez l’être humain, et particulièrement chez les soldats. Penser. C’était un luxe puisqu’ils n’étaient pas payé pour ça, c’était aussi l’une des pires choses. Ressasser encore et toujours les mêmes choses, les regrets, les remords… Alors, là-haut, il essayait de se rappeler la beauté de sa mère, son rire, ses prunelles couleur océan, ses bons petits plats qui sortait l’enfant qu’il était de ses jeux vidéo. Malheureusement les bons souvenirs faisaient toujours place aux mauvais, bien plus coriaces, bien plus tenaces. Il entendait ses crises de larmes, revoyait les tubes de pilules qui s’entassaient sur la table de chevet, le regard vide de toutes émotions qu’elle affichait, les nombreux repas brûlés par inattention… Un voyant alarmant se mit à clignoter, signe qu’il ne restait plus beaucoup de carburant. Dans un soupir de lassitude, ses mains s’agrippèrent un peu plus au manche et il débuta sa descente en veillant à ne pas faire pencher l’appareil. A plusieurs reprises, ses sombres pensées lui avaient valu plus d’une frayeur. Dans ce genre d’appareil, la moindre erreur pouvait s’avérer fatale…

Ses pas remuait la terre en une fine poussière qui assécher sa gorge, toussotant légèrement il rejoignit sa tente dans laquelle s’entassaient des lits de camps pas vraiment confortables. Le sien grinça légèrement sous son poids alors qu’il s’y allongeait, plongeant sa main sous son oreiller pour en tirer une petite pile de lettre soigneusement attachée par une ficelle jaunis par le temps…

« Cher Ezekiel,

J’espère que tout va bien pour toi au front, moi c’est toujours la même routine à la base j’ai l’impression que chaque jour est le même excepté que le vide que tu as laissé semble disparaître. Je n’aurais jamais pensé faire ça dans une lettre et je suis désolée d’avance je t’avais promis une fin différente mais je ne peux plus. Cette promesse est bien trop difficile à tenir et j’ai l’impression de me couper du monde en t’attendant et il est temps pour moi d’y retourner. Tout est fini entre nous et c’est certainement pour le mieux, tu as tes missions et tes rêves, les miens sont différents. Il faut se rendre à l’évidence qu’on ne construira jamais rien ensemble, la distance est la seule chose qui nous fait rester ensemble. Je ne t’aime plus et quand tu reviendras n’essaye pas de me revoir, la page est tournée c’est définitif, je te souhaite simplement de trouver la personne qui sera prête à t’attendre toute une vie parce qu’elle t’aime plus que tout ce n’était pas mon cas. Cependant n’oublions pas les bons moments que nous avons partagé et quand je me souviendrais de nous c’est tout ce qui me viendra à l’esprit cependant il faut qu’on tire un trait sur un nous. Je m’excuse encore de te dire ça dans une lettre mais je ne pouvais plus faire semblant. Adieu.

Anastasia. »


Son ange. Cela faisait près de sept ans. Pourtant son image était encore gravée dans son esprit, agissant comme une vive piqûre de rappel à sa condition de vie. Il avait chois l’armée. Elle avait choisi la vie. Ses paupières fermées, il revoyait sans mal ses longs cheveux ondulés couleur du blé, ses joues naturellement rosées… Il pouvait encore sentir son odeur, son parfum… Mais les souvenirs s’effaçaient. Rien n’est éternel. Peu à peu ses traits devenaient flous. Le son de sa voix s’éteignait… Une alarme assourdissante emplit son ouïe agressée. Les yeux ronds, il regarda autour de lui. Une cohue pas possible avait envahit l’espace. A moitié nu à cause de la chaleur, les soldats se bousculaient en cherchant à tâtons leurs affaires, s’habillant dans la précipitation. Une attaque. Ezeckiel mit un moment à sortir de sa léthargie passagère. Les cris. Les ordres. La poussière. Puis… Les coups de feu. Les explosions. Sa course effrénée pour rejoindre son avion et la difficulté à décoller de ce sol mouvant. Le sable ayant presque enseveli la piste improvisée. Puis, plus rien. Le silence. Son masque à oxygène vissé sur la tête, seul son souffle rauque et le bruit du moteur résonnait à présent. Il lui fallait agir. Faire fi de son mal être. Ses yeux se posèrent alors sur la photographie accrochée au niveau du manche : Anastasia. Dire qu’il l’aimait encore était un euphémisme. Malgré les nombreuses filles qui étaient passées dans son lit, une seule ne le quittait jamais jour et nuit. Peut être ne s’en remettrait-il jamais. Peut être ne l’oublierait il jamais. Mais il avait tenu sa promesse. Jamais il ne l’avait revu depuis cette fameuse lettre. Le temps n’était plus à la nostalgie, il lui fallait agir au plus vite pour sauver un maximum de ses camarades. Il fut bientôt rejoint par son escadron. Beuglant des ordres, ils lâchèrent les premières bombes atteignant le cœur de la résistance. Ezeckiel était connu pour être l’un des meilleurs pilotes et son escouade lui vouait un respect et une confiance aveugle. Ce ne fut qu’à la dernière minute, lorsque l’on se croit sorti d’affaire, lorsque son avion sortit de sa ligne et qu’il avait ordonné à ses hommes de faire un dernier tour pour vérifier les alentours, qu’il le vit. Un attroupement d’homme qui poussait une énorme machine… En plissant ses paupières pour observer ce qui se tramait au loin, il perdit quelques minutes. C’était déjà trop tard. Un missile vint percuter son aile droite de plein fouet. Son second moteur était fichu. Jurant à haute voix tandis que ses doigts enserraient avec vigueur le manche jusqu’à faire blanchir ses phalanges, Ezeckiel se mit à paniquer. Il perdait de l’altitude. Il n’arrivait plus à respirer convenablement. La fumée noire du moteur s’infiltrait dans la cabine. Ses yeux fous cherchaient en vain une solution sur son tableau de bord. Il lui fallait atterrir le plus en douceur possible. Cela aurait été faisable, si le premier moteur n’avait pas lâché en route. Bien trop loin de la base, les communications étaient de plus en plus mauvaises. Sa dernière chance était son parachute. Il appuya sur un bouton servant à faire sauter sa bulle afin qu’il puisse s’éjecter, mais là encore, rien ne se produisit. Hurlant de tout son soûl il se dégagea des ceintures de sécurité et se mit à taper de toutes ses forces sur la vitre. Les mains en sang, le lieutenant n’avait réussit qu’à faire bouger de quelques centimètres le verre. Cette fois-ci, lorsqu’il pressa le bouton un cliquetis se déclencha et l’objet s’envola, laissant l’air s’infiltrer avec force dans la cabine. Avec désespoir, il vit la photo de son ancien amour s’envoler au loin sans moyen de la rattraper. Le sol se rapprochait vite. Trop vite. Dans un dernier élan de courage, il s’éjecta. A cette hauteur le parachute ne servait qu’à ralentir un temps soit peu la chute. Rencontrant le sol avec perte et fracas, il papillonna rapidement des paupières aveuglé par le sang puis… Le noir.

KENYA, SOMALIE
SALLE DE TORTURE
04 : 22 A.M
08 JANVIER 2014


La notion du temps était un luxe qu’avait perdu il y a bien longtemps le militaire. Les multiples sévices corporels avaient pris le pas sur le désespoir moral que ressentait continuellement Cameron. On l’avait allongé sur un lit de fortune en prenant soin de couper les ressorts afin que ceux-ci s’enfoncent dans le fin matelas afin d’écorcher le dos du prisonnier. Son incarcération avait été effective il y avait de cela plusieurs jours, plusieurs semaines, plusieurs mois… Plusieurs années ? Incapable de compter avec précision le temps qui s’était écoulé depuis, il avait complètement perdu la notion du temps. En plus de la mémoire. Enfermé entre quatre murs, Ezeckiel n’avait aucune solution qui s’offrait à lui. Mais il s’était sans doute fait à cette idée. Sa résistance à la torture l’avait plus d’une fois sauvé même si les somaliens faisaient preuve d’ingéniosité et d’une grande imagination. En effet, l’américain avait dû subir l’attaque de trois chiens. Les terroristes avaient pris soin de ne pas les nourrir durant plusieurs jours et les avaient lâchés sur le corps ensanglanté du pilote… Les dégâts n’avaient pas été si effroyables que ça mais, la douleur, elle, avait surpassé tout ce qu’il avait pu connaître jusque ici. Appréciant le moment de répit que ses tortionnaires lui avaient accordé, il sentait pourtant ses forces l’abandonner et un froid glacial l’envahir… Enchaînés aux barreaux rouillés du lit de fortune, les paupières closes… Il se laissait aller… Pourtant, une image s’imposa à lui. Un visage. Celui d’une femme. Ou plutôt une forme. Aucun prénom. Rien d’autre. Juste les traits floutées d’une femme dont il n’avait aucun souvenir. Il s’y accrochait fermement comme un naufragé à une bouée de sauvetage au beau milieu d’une houle vengeresse…

Une fumée épaisse… L’odeur du kérosène… La chaleur d’un feu ardent… Son corps ankylosé qui ne voulait plus obéir aux ordres de son cerveau… Il n’arrivait pas à bouger convenablement, se contentant de se mouvoir de manière fastidieuse dans le sable noircit. La douleur. Une douleur terrible. Puis des cris. Dans une langue étrangère. Son corps fut bougé dans tout les sens, tant et si bien qu’il fut face à une troupe de cinq hommes beuglant il ne savait quoi en le pointant avec leurs armes. L’un d’eux s’approcha et déchira de son uniforme le drapeau américain. Leurs regards se firent plus durs et sans comprendre tout de suite ce qu’il se passait, la crosse d’un pistolet s’abattit avec violence sur l’arrière de son crâne. Puis plus rien. C’était les seuls souvenirs dont il disposait et avec lesquels il se battait depuis un nombre incalculables de jours. Cela faisait un moment que toute trace d’espoir s’en était allé et après une énième séance de torture afin de lui soutirer une quelconque information fut terminée, Ezeckiel avait pris une décision. Certainement le plus importante de sa vie. Se battre n’était plus nécessaire. Il devait abandonner. Il devait… Se laisser mourir. Trouver la paix. Ne plus rien ressentir… Alors que toutes forces l’abandonnaient, un bruit fracassant provenant du couloir le fit sursauter. Que se passait-il ? Dos à la porte, il n’avait aucune idée de ce qui se déroulait derrière celle-ci. Son rythme cardiaque s’accéléra. Une détonation. La vision de la porte blindée qui s’envola et passa juste au dessus de lui avant de venir lourdement s’écraser sur le mur en béton. Une épaisse fumée inonda la pièce. Ezeckiel avait du mal à respirer, il n’entendait plus aucuns sons. Des hommes en tenue de combat, de camouflage, entrèrent et se dispersèrent l’arme au poing. Ils portaient des masques, l’un d’eux s’approcha de lui et essaya de communiquer. Malgré sa concentration, l’américain n’entendit rien. Mais il comprit rapidement de qui il s’agissait. L’armée. Les balles sifflaient de toute part ! Il y avait du sang sur les murs, le sol, des cadavres. L’odeur de la mort régnait en maître en se mêlant à la poudre à canon. Deux hommes l’encadrèrent et l’aidèrent à se déplacer jusqu’à un hélicoptère dans lequel il monta. Une équipe médicale l’attendait. Ils le prirent en charge alors que, déjà, l’engin métallique volant décollait. Le médecin et ses coéquipiers tentaient tant bien que mal de faire un diagnostic. Ses pronostiques vitales étaient en jeu. Son foie avait été durement endommagé, il avait perdu beaucoup de sang. Beaucoup trop. Ses blessures étaient, pour la plupart, profondes. Directement mis sous perfusion, Ezeckiel sentit de nouveau cette sensation de lourdeur, d’apaisement. Il sombra.

Son coma dura une semaine avant qu’il ne se réveille. Son corps encore endolorit par les multiples contusions, une infirmière accourue pour prendre ses constantes et lui injectait une dose supplémentaire de morphine. Il s’endormit.

« Je m’appelle Ezeckiel Caleb Emerson. Je suis né le 18 novembre 1985. J’ai 28 ans. Je suis pilote et lieutenant de l’armée américaine. J’ai été déclaré mort à la suite d’une attaque ennemie il y a de cela un an. Mon avion n’a pas été retrouvé, ainsi que mon corps. On m’a sauvé il y a près de deux semaines. Je m’appelle Ezeckiel Caleb Emerson… Et je n’ai plus aucun souvenir. »


Dernière édition par Ezeckiel C. Emerson le Dim 2 Fév - 20:40, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 12:39

Hey, bienvenue, toi!  I love you 
Bon courage pour ta fiche!  Smile 
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 13:30

bienvenue petit nouveau !!!!  in da woods 
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 14:01

Hello handsome \o/ Bon courage pour ta fiche ^^
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ooouuuh, j'aime bien ce que je vois niark niark niark

bienvenue à toi ezeckiel I love you
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 18:57

Qu'il est charmant, qu'il est beau !
Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 781824920
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Amelia-R. Westerfield
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    and how odd it is, to be haunted by someone that is still alive. ❞


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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 19:06

oh, garrett rhaaaa omfg bril bril les zieux
bienvenue! I love you
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 19:41

Garrett !!!!  omagad 
Bienvenue !
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A. Gillian Blossom
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 19:56

Il est canon cet homme  rhaaaa omfg 
Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche  I love you 
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 20:04

bienvenue sur bp I love you
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 21:00

    ALOYSIUS. Merci à toi EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 198031153 

    MIKE. Merci l'ancien tongue xD

    MERCY. Thanks Miss green face

    JAMIE-ROSE. Petite coquine... pervert look --->() Mdrr Merci demoiselle   

    DAISY. T'es pas mal non plus je dois dire huhu ! Merci j'y travaille ardemment^^

    AMELIA. Salut toi lick lick Merciiiiiii !

    BENJAMIN. Je t'autorise à baver Cool Mdrr Merci dude !

    GILLIAN. Je te retourne le compliment dans mon jargon je dirais que tu es un avion de chasse rhaaaa omfg Lol Merci en tout cas =)

    JESSAMINE. Merciiiiiiii EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 1839924927 
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Annaël J. Archer
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avatar : Ian Somerhalder
âge : 34 ans
côté coeur : il l'aime depuis des années, c'est pas près de changer, envers et contre tout et il est enfin avec elle ! Cassie ♥
quartier de résidence : la base Redstone, aile est mais possède un pied à terre dans le quartier Providence
métier/études : pilote de chasse & capitaine
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Mais d’où vient le feu qui s'empare
De mon âme a moitié ivre.
Soudain court un simple regard
Je veux vivre au bord du vide.
Je veux vivre au bord du vide.

Pour tomber dans ses yeux, tomber
M’abandonner au désir qui s’embrase.
Danser dans ses yeux, danser
Je veux tanguer aux accents de l’extase.

pseudo : Larme d'Etoile
dc : pas de troubles mentaux pour le moment
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMer 29 Jan - 21:58

Bienvenue et bon courage pour ta fiche  EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 2145037518 
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Cillian R. Hartwood
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avatar : Colin O'Donoghue
âge : 34 ans
côté coeur : célibataire
quartier de résidence : Base Redstone, Aile Nord
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pseudo : Alinoé
dc : Octavia C-F Leicester
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyJeu 30 Jan - 22:30

Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche :)
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyJeu 30 Jan - 23:17

Bienvenue à toi!
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyVen 31 Jan - 11:05

    ANNAËL. Merci m'sieur  EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 2335398002 

    CILLIAN. C'est gentil, j'm'en sors ! Merciiiiii  EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 1839924927 

    PAT'. Merci Professeur  Razz ^^
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Cassandra T. Robinson
Cassandra T. Robinson
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âge : 27 ans
côté coeur : Fiancée à Annaël, l'homme de sa vie.
quartier de résidence : Une petite maison dans le quartier de la providence avec son frère Samuel.
métier/études : Psychologue Militaire
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« Je rentrerais sain et sauf et on se mariera comme prévu, on aura des enfants, un petit garçon d'abord avec ton sale caractère et une petite fille qui aura tes yeux. »
Annaël & Cassandra ♥


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« ohana » signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié.

Koda & Kenai ♡


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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyVen 31 Jan - 15:46

Bienvenue parmi nous ! EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 781824920
Ton prénom est à tomber ! EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 2104563482 
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyDim 2 Fév - 16:41

    CASSANDRA. Merci pour le compliment moi j'suis fan de ton vava  bril bril les zieux 
    Je pense finir ma fiche d'ici ce soir (si le Dieu du RP ne me quitte pas d'ici là xD)
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyDim 2 Fév - 18:52

Bienvenue Ezeckiel  EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 2145037518 EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 2145037518 I love you superbe début de fiche  bril bril les zieux 
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyDim 2 Fév - 21:21

    FANTINE. Ravi qu'elle te plaise et merci du compliment c'est gentil  EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 3120058760 
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Amelia-R. Westerfield
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côté coeur : l'autre enfoiré d'ethan dans la tête, tout récemment maman.
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    and how odd it is, to be haunted by someone that is still alive. ❞


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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMar 4 Fév - 18:21

ton personnage a l'air super intéressant et ta fiche est super, j'approuve totalement rhaaaa omfg bril bril les zieux
bienvenue officiellement parmi nous, beau garçon! I love you


Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

✈️ Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

✈️ Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles faire une demande de logement pour ne pas qu'il dorme à la rue et, une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.

✈️ Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

✈️ Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !

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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. EmptyMar 4 Fév - 18:27

    MERCI beaucoup m'selle  EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. 1839924927 
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MessageSujet: Re: EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.   EZECKIEL ◊ Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles. Empty

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