Books are my life. Army would probably be if I wasn't such a pussy.
à partir de maintenant, tu t'appelles Grande Gueule.
NOM(S) : Soan Greese. PRÉNOM(S) : Alexis. AGE : 26 ans. LIEU DE NAISSANCE : La Habana (Cuba). ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle, tendance homo. SITUATION AMOUREUSE : Elle est célibataire, goûte à ce qui lui tombe sous la main mais n'est jamais satisfaite plus d'une semaine. SITUATION FINANCIÈRE : Pas autant d'argent que dans ses rêves d'immense fortune. MÉTIER/ÉTUDES : Libraire. GROUPE : écrire ici. AVATAR : Naya Rivera (Santana Lopez dans la série Glee)
⊱ this time i'll be a bulletproof
Alexis, Alex', Soan, Soso et j'en passe... pourrait aisément être considérée comme la reine des traînées, Traînée Première du nom. Seulement, n'hésitant pas à hausser la voix et à servir des cocktails de phalanges, elle ne se laisse pas insulter. Mademoiselle Greese ne se fait jamais marcher sur les pieds, du moins pas sans tempêter moult insultes incompréhensibles de ceux qui ne parlent pas l'espagnol. Lucide, fière de ce qu'elle est, et malgré sa tendance à changer d'amant(e) comme l'on change de dessous, elle ne se dira jamais "traînée". Si vous vous engagez avec elle sur ce terrain, si vous prenez soin des mots dont vous faites usage et donc ne dérapez pas trop vite, Alexis prendra le temps de vous expliquer qu'elle a simplement un grand désir de chair, de relation et de contact charnels, et qu'elle ne se lancera pas dans des cochonceries avec les gens qui ne la "déclenchent" pas et dont elle n'est pas au moins "un peu proche". Or, Soan a beaucoup de connaissances, dont peu d'ennemis et un grand nombre d'amis. C'est ce qu'elle vous dirait. Mais où sont-ils, ces amis ? Ces personnes qui ont pu s'enivrer de l'énergie débordante d'Alex, parfois goûter à son contact le plus intime, subir ses sautes d'humeur et sa trop franche franchise ? Elles sont toutes à Cuba. Depuis son déménagement, Greese ne connaît plus grand monde, et sa librairie tourne mal. Ce dernier point empoisonne la vie de la jeune femme. Alexis veut tout vivre, tout essayer, tout en grand, en fort, en riche. Elle ne manque pas de tours dans son sac pour obtenir ce qu'elle désire, et ne se laisse que très rarement abattre, mais deux choses lui manquent. Il s'agit de l'argent, et de l'armée. Quelle serait la vie idéale d'Alex ? Rien d'extraordinaire, se faire un max de blé, et parallèlement entrer dans l'armée pour finalement vivre des journées rythmées par la sueur, l'action, le sexe et un confort plus que luxueux dans un énorme appartement. Hélas, pour une vie semblable, il ne s'agit plus de ressources telles que Soan en usait pour voler les marchands cubains lorsqu'elle était ado, ou telles que celles employées pour un rapide flirt, non... Il s'agit d'avoir des compétences pour gagner beaucoup d'argent, et Alex n'a jamais fait d'études poussées et ne sait à peu près que lire et parler l'espagnol (n'allez pas présenter la prostitution comme une alternative, c'est une question de survie). Le second problème, c'est l'armée. Si Soso s'est installée près d'une base militaire, ça n'est pas sans raison. Elle attend de trouver le courage d'aller se présenter aux grandes portes (du Mordooooor), afin de devenir une pièce de la guerre, une arme, faire suer son front et saigner ses mains. Elle n'a jamais manqué de tripes, ses amis cubains vous diront qu'elle a toujours été adepte des pires situations, et qu'elle s'y complaît ; mais son plus cher désir, l'armée, reste hors de portée. Une peur floue et incompréhensible la retient, la maintient en place, derrière les murs de la base, à admirer lascivement les barbelés, sans rien faire pour aller s'y frotter. Parfois, elle voit des gens en sortir, des soldats, des officiers, du bonhomme et de la nana à la peau de treillis. Elle les envie tant qu'elle les déteste presque.
⊱ i was meant to be a warrior Alexis n'avait que treize ans lorsqu'elle s'est mise à déambuler tard dans les rues cubaines, le nez en l'air, bras dessus dessous avec ses premières conquêtes - qu'elle enchaînait déjà. Un soir, et elle s'en rappellera toujours, à l'aube de ses quinze ans, elle s'est entichée de l'armée, et certainement un peu dégoûtée des hommes - disons simplement qu'elle s'en méfie aujourd'hui. Une jupe bien trop courte sur des jambes bien trop longues pour être montrées à cinq heures du matin dans des ruelles lugubres. Voilà la seule chose que les boulangères voyaient en ce début de journée. Une jeune fille seule, vulgaire. Alex avait crié à l'une d'elle : "¡ Soy muy bella, quiero mostrarlo !" Autrement dit : Je suis très belle, j'ai envie de le montrer. Les hommes, eux, n'étaient pour la plupart pas très frais, sentaient souvent l'alcool, et beaucoup voyaient en la jeune fille une pièce de choix. Soso avait déjà tendance à provoquer, et à ouvrir grand sa bouche pour ne se faire que trop entendre dès le matin. Quoiqu'après ce jour, elle n'a plus jamais été matinale. Elle n'a pas peur de l'aube fleurissante, puisqu'elle n'a quasiment peur de rien, mais comme les hommes, dès cette anecdote, le matin l'a un peu repoussée. Venons-en aux faits. Tout est arrivé très vite. Un bonhomme aux airs plus déconfits que les autres, à l'haleine plus nauséabonde et aux mains plus tremblantes avaient saisi de ces dernières la fille en fleur. Prise au dépourvu et n'ayant pas l'habitude de crier d'effroi - comportement qui lui est d'ailleurs toujours inconnu, Alexis s'est simplement faite emporter sans un bruit dans un coin sombre comme le vent chasse les feuilles du trottoir sans qu'on y prête attention. Une main moite a couvert sa bouche et une autre s'est empressée de déboutonner sa chemise flottante. L'homme avait les yeux rougis par l'alcool, la drogue ou quelque substance de ce genre, avait l'air aussi paniqué que sa victime, et sa maladresse allait venir en aide à la jeune fille. Elle ne pouvait rien faire, n'avait pas assez de force, de poigne, et même si le coeur y était, elle ne pouvait que se débattre dans le vide, et ses dents serrant la paume de l'agresseur n'étaient d'aucune utilité puisque ce dernier ne ressentait visiblement rien. Seulement, cette maladresse du pauvre erre allait laisser le temps à un militaire de la gendarmerie qui patrouillait par là - dieu merci les miracles existent - de se rendre compte du triste spectacle qui se déroulait non loin de ses yeux. Entendant le léger fracas des bottines d'Alex, qui martelaient le mur contre lequel on l'avait plaquée, il se précipita, sortit son famas - certes non chargé, et envoya l'agresseur valser dans la poussière, du simple revers de la main, pour finalement le conduire au poste et interroger Alex sur ce traumatisme. Si Soan avait vu en lui un homme, ce matin-là, elle n'aurait certainement pas été méfiante aujourd'hui. Mais tout ce qu'elle avait devant ses yeux, c'était un super héros tout vêtu de treillis, fort et protecteur. Le sexe avait peu d'importance, elle voulait devenir comme lui. Il lui fallait rejoindre l'armée. Mais pour une fois, le courage n'allait pas être de la partie. Peut-être est-ce parce que les situations difficiles lui étaient toujours tombées dessus par hasard, qu'elle n'était pas prête à en prendre une en main. Elle se complaît dans les problèmes, mais aller jusqu'à faire le premier pas pour se jeter dans une guerre ? Elle désire servir le pays, ressembler à son sauveur, porter un grade fièrement, mais est-ce qu'une raison un peu couarde et non en accord avec sa personnalité en acier trempé la retient ? La raison est derrière toute cette perplexité qui la hante ?
Ahem, comme c'est une anecdote que j'ai écrite, je ne savais pas trop si je devais placer les n'avions tout le long du texte...
dévoile-nous ta véritable identité soldat.
PSEUDO/PRÉNOM : Charlotte FILLE OU MEC ? : Je suis une femelle, un joyeux zozo optimiste et au moins inépuisable (merci Loka) AGE : Je suis toute jeune, j'ai 16 ans FRÉQUENCE DE CONNEXION: C'est l'été, n'est-ce pas ? SCENARIO OU INVENTÉ ? : Inventé LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : Je suis folle de lui, je le regarde dormir la nuit LE MOT DE LA FIN : J'ai un grooooos besoin d'écrire !!
Code:
[b]Naya Rivera[/b] Alexis S. Greese
Dernière édition par Alexis S. Greese le Ven 19 Juil - 13:25, édité 3 fois
Eeeet crotte... Merci pour l'info j'ai complètement oublié. On va éviter le double-post (s'rait pas question de se faire virer trop vite quand même ). Je mets la deuxième partie tout de suite et je supprimerai ce texte brun si vous devez supprimer vos messages. Merci pour l'accueil en tout cas !
(Et oui Reed on ne peut pas échapper au charme de ma petite Naya )
⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…
Qui es-tu, Alexis ? Qu'as-tu fait de ta vie, si ce n'est coucher à droite à gauche ?
N'allez pas lui poser ces questions, c'est un conseil. Il ne s'agit pas de pousser Soso à bout (chose facile) avec le sujet "traînée", ou de faire remonter des souvenirs dont elle n'est pas fière, puisqu'elle est fière d'à peu près tout ce qu'elle dit, pense, ou fait - mise à part son incompréhensible frayeur de l'armée. Non, cette fois il s'agit de ne pas aborder une biographie longue et laborieuse, de ne pas retracer un chemin sinueux et presque inexplicable. Si l'on veut poser des questions à Alex sur son passé, il faudra qu'elles soient précises, parce qu'un thème un peu large peut mener à une véritable dissertation, à un roman. Certes, la jeune fille est bien causante, mais elle n'aime pas se perdre dans ses explications alors... soyez précis, ou taisez-vous, parce que de toute façon vous allez pouvoir la lire, son histoire, résumée et bien rangée en étapes marquantes, conséquentes !
1 - "Complicas mi vida"
Perchée sur ses maigres huit ans, Greese n'avait pas eu le temps de s'asseoir pour déjeuner qu'elle avait dû faire encore face à cette phrase, cette phrase qu'un enfant ne veut pas entendre de la bouche de sa mère. Il faut savoir que la vie de la jeune hispanique a commencé sur un scénario aussi malheureux que banal. Sa mère était une prostituée cubaine qui ne se protégeait pas. Et un jour, les inattentions se payent : Alexis vint au monde, sans père défini, alors que les années 80 touchaient à leur fin. Aujourd'hui, elle espère simplement que la première femme de sa vie, celle qui l'a toujours plus ou moins méprisée et qui ne lui a jamais donné le sein, a été engrossée par un homme de l'armée voulant goûter au plaisir de la chair après de longs mois d'exil en terre hostile pour on ne sait quelle mission héroïque. Aujourd'hui Alex a forgé son coeur d'une telle façon que rien ne lui fait vraiment mal au quotidien, mais jusqu'à son émancipation elle a beaucoup souffert d'avoir été un lourd fardeau pour sa mère, et lui en voulait en même temps de le lui rappeler sans cesse. Le fait est qu'à huit ans, une enfant ne veut pas savoir qu'elle complique la vie de sa mère, pas moultes fois par jour. Par dessus tout, une enfant unique et non désirée, inconnue par son père qui est lui-même inconnu, ne veut pas être méprisée par son seul parent actif. "Complicas mi vida, complicas mi vida." Soso ne pouvait que se pencher sur son bol de vieilles pâtes en silence, admirant les fissures grandissantes qui couraient sur le plafond vétuste. Parfois, elle ne pouvait retenir un soupir las, irrité, seul témoin de sa blessure avec les larmes qu'elle versait en cachette de temps à autre. Or, sa mère n'aimait pas les soupirs et servait occasionnellement à sa fille une tarte aux doigts - la violence serait héréditaire : Alexis S. Greese, elle, ne frappe pas les enfants. Au fond, tout ce qu'Alex attendait quotidiennement de sa mère à cette époque, c'était qu'elle s'en aille travailler dans ce bureau, ce bureau qu'elle n'avait jamais vu, que la prostituée résumait sous le nom de "la rue, pas loin". La prise de conscience devait venir plus tard. Soso se savait être la fille d'une mère abandonnée par un homme inconnu, mais aucun lien avec la prostitution n'était fait. Elle ne savait pas encore ce que c'était.
2 - Prise de conscience (il vous faut avoir lu l'anecdote dans le premier post sur le presque-viol)
L'homme qui avait agressé Alexis, à l'aube de ses quinze ans, qu'avait-il dit ? Une phrase simple, au sens grammatical du terme, mais pas sans conséquences. Une phrase qui par la suite, avec l'intervention du super-héros de l'armée, allait mener à une terrible prise de conscience.
"Tu ressembles à ta mère."
A l'époque, Soan avait de simples doutes quant au bon fonctionnement du travail de sa mère, puisque tout ce qu'elle constatait était l'étendue de la pauvreté dans laquelle elle et sa génitrice vivaient. La belle grande gueule ne fréquentait pas encore ses conquêtes et amis sérieusement, ne discutaient pas beaucoup, ne faisait avec eux que coucher et contempler les rues vides. N'avaient jamais été abordés les sujet de sa probable homosexualité (malgré le fait qu'elle s'envoyait en l'air avec des copines), de la prostitution et de la pédophilie. Il fut alors logique qu'elle ne comprit pas que l'on puisse avoir un rapport sexuel sans en avoir envie et resta perplexe au fond de son esprit tourmenté lorsque l'agresseur de l'aube vint essayer de la saisir. Mais le pire, le plus conséquent restait à venir. Une fois arrivés au poste de la gendarmerie, et le violeur mis hors d'état de nuire, le sauveur de l'armée prit Alex par le bras et la tira dans un bureau froid et sans âme pour l'interroger et constater les séquelles de l'atroce expérience qu'est un (début de) viol. Lorsqu'elle pénétra dans la salle toute de blanc peinte, avec pour seules décorations une table et deux chaises inertes, Soso se dit d'abord qu'elle ne s'attendait pas à une pièce pareille dans l'univers d'un super héros. Elle resta muette, déçue, puis réalisa soudain qu'elle allait devoir certainement lui expliquer en détails ce qui venait de se passer, et elle n'en avait pas envie. Elle aimait parler, mais pas des choses qu'elle n'aimait pas vivre. Pourtant, elle aimait et aime encore tout vivre, même le pire. Mais là il s'agissait du "pire que le pire". Conséquemment, lorsque Superman lui demanda : "Qu'est-ce que tu ressens, au moment présent", elle ne s'attacha qu'à un bout précis de la scène terrible, cinq petits mots incompréhensibles, un mystère à élucider. "Ce mec a dit que je ressemble à ma mère. Il connaît ma mère, Sofia Greese. D'où un homme aussi immonde et puant, et... et en sueur... et plein de vinasse..." Elle prit le temps de se ressaisir. "D'où un homme pareil connaît-il ma mère ? Du travail ? Il travaille avec elle, peut-être ?" Le gendarme resta muet un instant. Il lui fallait saisir l'espagnol, comprit la grande gueule. Elle croisa alors les bras et contempla son héros. Les yeux de ce dernier s'illuminèrent soudain. Il avait saisi. "Ta mère est Sofia Greese ! Je sais d'où un type pareil la connaît ! C'est bien sûr, de la r..." Il s'arrêta brusquement, ses iris se ternirent, son visage s'assombrit. Il lui fallait alors expliquer à une ado qui venait de se faire agresser sexuellement que sa mère était une prostituée. Il y a des choses plus évidentes à faire. Que dire de plus ? Alex avait pris le temps de relâcher son plus long soupir, le bout de son nez rougit et ses yeux ne savaient plus où se poser, se couvrant de larmes épaisses. Tout était sale, tout le resta jusqu'à ce que la jeune fille, une fois âgée de 18 ans, emménagea dans un appartement en ville, diamétralement opposé à celui de sa mère, dans le centre de Cuba. Elle ne lui a plus jamais parlé. Le lien avec sa naissance était fait, sa mère était responsable du fait que l'enfant pouvait être celle de n'importe quel ivrogne, titubant encore dans les rues... Peut-être même était-ce l'homme qui croupissait dans la cellule de la gendarmerie, ce matin-là. L'agresseur.
3 - Freedom & Love
Après trois années entachées par une image maternelle broyée, salie, et par l'idée de la probable existence d'un père miséreux, alcoolique et peut-être même pédophile, Alexis se réfugia dans le six pièces de sa nouvelle patronne. La cubaine s'était en effet liée d'amitié avec la dirigeante du casino du coin. Elle y était entrée en tant que serveuse de cocktails grâce à sa grande gueule et à sa grandissante beauté. L'amitié nouvelle évolua rapidement, une fois transformée en colocation. Greese vécu son premier et dernier vrai amour, n'y pense plus aujourd'hui mais ne l'a pas oublié pour autant. Les caresses matinales, les baisers du soirs, les sorties teintées de couleurs et de vie, les nouveaux véritables amis avec qui les discussions évoluaient et portaient à un réel attachement spirituel. Puis vint s'ajouter le sexe entre potes (de nouveau) lorsque l'histoire de la patronne de casino et de de Soso vint à s'éteindre. Le mieux dans tout ce progrès, c'est qu'Alex resta en très bons termes avec sa colocataire. Elles ne se séparèrent jamais jusqu'au départ pour Redstone de Greese. Ce dont cette dernière se souvient également, c'est de la joie qui la saisissait, comme une bouffée de chaleur, lorsqu'elle travaillait l'après-midi au casino cubain. Les clients étaient beaux, riches, agréables. Toujours bien vêtus, femmes et hommes évoluaient entre les machines à sous et les tables rondes sur lesquelles défilaient les meilleurs cocktails du monde. Tout semblait si immaculé, vivant et joyeux, et parallèlement si puissant, que Soso ne pensait pas pouvoir quitter pareil endroit. Seulement, à l'aube de ses 25 ans, la jeune femme avait économisé pas mal d'argent, de quoi s'offrir un nouveau départ loin de sa mère, des souvenirs de Cuba, pour aller sur le continent. Huntsville avait un côté sauvage plaisant, et en même temps cette richesse étasunienne. De plus, elle possédait une base militaire, et même si elle effrayait Alex, l'idée de se faire enrôler dans l'armée la hantait déjà depuis neuf longues années. Cuba ne lui permettait pas de miroiter ses désirs d'immense fortune, et les amis de l'hispanique, malgré leur grande sympathie, n'étaient pas irremplaçables et ne valaient pas une vie nouvelle, plus belle, plus propre, plus riche.
Dernière édition par Alexis S. Greese le Ven 19 Juil - 13:24, édité 4 fois
Et encore une fois merci à vous tous pour l'accueil ça fait très plaisir, et je suis contente que Naya plaise comme ça ! (mais à qui ne plairait-elle pas ?)
OMFG Ksenia la meuf de Lost Girl ! Merci beaucoup et je veux aussi un lien avec cette superbe frange noire qui a été un de mes persos préférés de série SF (si l'on peut qualifier Lost Girl de série SF)
ton personnage est vraiment intéressant et complexe, j'adore ça j'ai pas trop compris pourquoi alexis est devenue libraire en arrivant ici cependant, pourquoi ne pas reprendre un bar ou quelque chose comme ça ? mais bon, je suis sûre qu'elle va vite s'engager dans l'armée la jolie cubaine
bienvenue à toi
Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :
Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.
Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles faire une demande de logement pour ne pas qu'il dorme à la rue et, une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.
Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.
Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.
Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !
Jamie, tu me pousses à compléter la biographie de mon personnage, et je suis contente qu'il t'ait plu. Je ne vais pas reprendre mon paragraphe, allons-y plutôt de façon improvisée ici-même ! Je l'ai faite libraire parce que j'aime les livres, c'est un peu idiot. Disons que durant ses trois années de souffrance, de ses 15 à ses 18 ans, elle aura trouvé du réconfort dans les livres !
Alexis, Alex', Soan, Soso et j'en passe... pourrait aisément être considérée comme la reine des traînées, Traînée Première du nom. Seulement, n'hésitant pas à hausser la voix et à servir des cocktails de phalanges, elle ne se laisse pas insulter. Mademoiselle Greese ne se fait jamais marcher sur les pieds, du moins pas sans tempêter moult insultes incompréhensibles de ceux qui ne parlent pas l'espagnol. Lucide, fière de ce qu'elle est, et malgré sa tendance à changer d'amant(e) comme l'on change de dessous, elle ne se dira jamais "traînée". Si vous vous engagez avec elle sur ce terrain, si vous prenez soin des mots dont vous faites usage et donc ne dérapez pas trop vite, Alexis prendra le temps de vous expliquer qu'elle a simplement un grand désir de chair, de relation et de contact charnels, et qu'elle ne se lancera pas dans des cochonceries avec les gens qui ne la "déclenchent" pas et dont elle n'est pas au moins "un peu proche". Or, Soan a beaucoup de connaissances, dont peu d'ennemis et un grand nombre d'amis. C'est ce qu'elle vous dirait. Mais où sont-ils, ces amis ? Ces personnes qui ont pu s'enivrer de l'énergie débordante d'Alex, parfois goûter à son contact le plus intime, subir ses sautes d'humeur et sa trop franche franchise ? Elles sont toutes à Cuba. Depuis son déménagement, Greese ne connaît plus grand monde, et sa librairie tourne mal. Ce dernier point empoisonne la vie de la jeune femme. Alexis veut tout vivre, tout essayer, tout en grand, en fort, en riche. Elle ne manque pas de tours dans son sac pour obtenir ce qu'elle désire, et ne se laisse que très rarement abattre, mais deux choses lui manquent. Il s'agit de l'argent, et de l'armée. Quelle serait la vie idéale d'Alex ? Rien d'extraordinaire, se faire un max de blé, et parallèlement entrer dans l'armée pour finalement vivre des journées rythmées par la sueur, l'action, le sexe et un confort plus que luxueux dans un énorme appartement. Hélas, pour une vie semblable, il ne s'agit plus de ressources telles que Soan en usait pour voler les marchands cubains lorsqu'elle était ado, ou telles que celles employées pour un rapide flirt, non... Il s'agit d'avoir des compétences pour gagner beaucoup d'argent, et Alex n'a jamais fait d'études poussées et ne sait à peu près que lire et parler l'espagnol (n'allez pas présenter la prostitution comme une alternative, c'est une question de survie). Le second problème, c'est l'armée. Si Soso s'est installée près d'une base militaire, ça n'est pas sans raison. Elle attend de trouver le courage d'aller se présenter aux grandes portes (du Mordooooor), afin de devenir une pièce de la guerre, une arme, faire suer son front et saigner ses mains. Elle n'a jamais manqué de tripes, ses amis cubains vous diront qu'elle a toujours été adepte des pires situations, et qu'elle s'y complaît ; mais son plus cher désir, l'armée, reste hors de portée. Une peur floue et incompréhensible la retient, la maintient en place, derrière les murs de la base, à admirer lascivement les barbelés, sans rien faire pour aller s'y frotter. Parfois, elle voit des gens en sortir, des soldats, des officiers, du bonhomme et de la nana à la peau de treillis. Elle les envie tant qu'elle les déteste presque. 
Naya est super jolie ! 
). Je mets la deuxième partie tout de suite et je supprimerai ce texte brun si vous devez supprimer vos messages.
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