Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell
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Sujet: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Dim 6 Juil - 18:44
Ayleen Jewell
The world is a book, and those who don't travel only read one page.
let me introduce myself.
NOM(S) : Jewell. PRÉNOM(S) : Ayleen Sky. AGE : 31 ans. LIEU DE NAISSANCE : Austin, Texas. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire, sans relation fixe. SITUATION FINANCIÈRE : aisée, normale. MÉTIER/ÉTUDES : a un diplôme de technicienne, spécialisée dans l'armurerie (réparation et prise en charge d'armes légères). SI MILITAIRE, GRADE : capitaine, armée de terre. GROUPE : Learning War. AVATAR : Nicole Scherzinger. CRÉDITS : money honey.
⊱ this time i'll be bulletproof
Ayleen n’est pas toujours facile à vivre. Elle a un caractère compliqué et il est souvent difficile de la cerner. Elle dégage une assurance et une aura mystérieuse qui ne laisse personne indifférent, que ce soit en bien ou en mal. La jeune capitaine a une présence et sait se faire remarquer/respecter. Difficile à apprivoiser, surtout depuis ce qui s’est passé, elle ne baisse que rarement sa garde et n’accorde pas sa confiance facilement, même si elle peut facilement devenir une bonne copine, une collègue agréable ou tout simplement une connaissance accommodante, ça ne veut pas dire qu’elle accorde crédit à tout et n’importe quoi. Autrement dit, elle ne s’attache pas facilement. Dotée d’un charme indéniable, Ayleen séduit malgré elle et doit parfois refuser des avances un peu trop poussées, surtout par quelques jeunes recrues parfois trop éméchées, bien qu’elle ne leur en tienne pas rigueur. La jeune femme a traversé les horreurs de la guerre et n’a donc pas peur de quelques tentatives trop téméraires à son encontre. Forte de son expérience en Irak, elle a effectué un service exemplaire jusqu’à présent si ce n’est cette affaire qui pèse sur son passé et pour laquelle elle n’hésite jamais à essayer d’éveiller les consciences parmi la gente féminine à la base – si nécessaire. Carriériste dans l’âme, Ayleen s’est jusqu’à présent beaucoup concentrée sur l’armée et ne pense pas trop à sa vie personnelle. Loin d’elle l’idée d’une relation sérieuse ou de fonder une famille pour le moment, elle se contente de profiter de temps à autre sans en faire pour autant une habitude. Elle n’en oublie pas pour autant de vivre et de s’amuser. Personnalité drôle, elle n’a aucun problème à sociabiliser ou à se montrer amicale. Ayleen présente toutefois quelques défauts qu’elle a réussi à gommer partiellement avec le temps : son impatience et son impulsivité. Plus posée au fil des ans, elle est arrivée à Redstone bien plus mature et sereine qu’auparavant. Attention tout de même à son caractère joueur et à sa répartie… La jeune femme ne se laisse pas marcher sur les pieds. Douée dans plusieurs domaines également, elle cache ses habilités derrière une modestie sincère. Simple et pas trop prise de tête dans le fond, sa compagnie est généralement agréable quand on apprend à la connaître mieux. De bon conseil, la jeune femme est aussi une personne de confiance.
⊱ i was meant to be a warrior Ayleen a un don pour se contorsionner, son corps est ultra-souple. Depuis des années, elle nourrit une passion pour le yoga qui lui a assoupli les muscles de façon surprenante. Elle en pratique depuis longtemps, si bien qu’elle est devenue en complément de son travail à l’armée, "professeur de yoga" pour ceux qui souhaitent en suivre des cours, elle organise deux séances par semaine, après une journée éreintante. Ça la calme et l’aide à « méditer », autrement dit à prendre du recul et à être plus en contrôle d’elle-même en toutes circonstances. Côté nourriture, la jeune femme est allergique aux poivrons et aux fruits de mers. Son pêché mignon est la glace à la vanille, mais elle n’en abuse pas et suit un régime alimentaire plutôt précis pour tenir aux entraînements. Elle mange de tout, du moment que ce soit avec modération. D’un point de vue musical, elle adore écouter du blues et de la country. Il lui arrive souvent de prendre la route en voiture et d’écouter de la musique assez fort pour se mettre dans sa bulle. Dans un autre registre, un de ses groupes préférés est Aerosmith, auquel elle identifie beaucoup son parcours de vie. Autant Ayleen est très féminine, autant à l’armée, elle n’a pas toujours le temps de se préoccuper de ses tenues ou de maquillage, puisque l’armée exige un uniforme précis selon le grade. Sa phobie serait cependant de perdre ses cheveux. Il lui est déjà arrivé de faire un cauchemar dans lequel ils tombaient tout seul et elle devenait chauve. Depuis, elle espère que cette vision nocturne ne se réalisera jamais. Sa belle chevelure noire est ce qu’elle a de plus sacré chez elle. Elle passe d’ailleurs souvent une main dedans pour se calmer. Quand Ayleen a une idée en tête, il est difficile de la faire changer d’avis. Entêtée, elle va souvent au bout des choses. Au sein de l’armée, elle veille par exemple particulièrement à ce que les jeunes recrues féminines s’intègrent bien et ne se sentent pas lésées par rapport aux hommes. Attention, Ayleen ne demande aucune différence de traitement pour elles, ni aucune faveur. Elle fait simplement attention à ce qu’elles ne soient pas plus ‘persécutées’ que d’autres pour la simple raison d’être femmes. Son passe-temps préféré à la base ? Réparer des armes. Spécialiste en armes légères, elle passe beaucoup de temps dans l’atelier des techniciens pour ne pas perdre la main, même si en devenant chef de cette section, cette nouvelle responsabilité ajoutée à ses autres obligations, elle n’a plus trop le temps de le faire elle-même et se concentre surtout au bon fonctionnement général de cette partie de la base. Une fois par mois, elle continue de voir un psychologue avec lequel elle a enfin suffisamment sympathisé après deux ans de séances mensuelles pour pouvoir s’ouvrir à lui. Ces séances s’arrêteront dans quelques mois, quand elle sera prête. Ayleen ne s’en est jamais cachée et encourage tous ceux qui se sentent sur le point de craquer à envisager cette possibilité. Ce n’est pas une honte, juste une aide pour aller mieux. En termes de relation amoureuse, elle fait rarement le premier pas. Préférant s’amuser de temps à autre, elle ne pense pas du tout se poser pour le moment. Elle a bien connu quelques histoires, mais rien de très sérieux, du moins suffisamment pour penser à fonder une famille, se marier ou ce genre de bêtises (elle le considère comme tel). D'ailleurs, ça finit souvent par rompre parce que c'est elle qui ne s'engage pas. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, Ayleen n’est pas vraiment le genre de femmes que l’on emmène à une soirée raffinée ou un gala super pédant. Elle préférera de loin une soirée entre potes, derrière un film ou un match de foot, une bière à la main ou partir en moto-trip improvisé... Bref être la bonne copine à garçons, avec qui elle s’entend généralement mieux que les femmes. Elle souhaite passer un brevet pour savoir piloter des hélicoptères mais le projet n’a pas encore abouti et est toujours en cours. Avis aux moniteurs, si intéressé(s). Son surnom plus jeune était ‘goldfish’, autrement dit ‘mémoire de poisson rouge’ en français. Elle avait la fâcheuse tendance à manquer de concentration et à oublier beaucoup de choses très rapidement. En entrant dans l’armée, elle a dû faire des efforts terribles et redoubler d’attention pour arranger ce phénomène étrange chez elle. Elle sait chanter et a la voix pour mais ne l’a encore fait devant personne, trouvant de toute façon que ce serait inutile puisqu’elle est dans l’armée, pas dans l’opéra du coin. Si elle pouvait, Ayleen serait militante pour beaucoup de choses : en matière d’environnement, de problèmes socio-politiques… Son statut dans l’armée la recommande cependant à agir avec prudence quand il s’agit de telles questions délicates. Elle se contente donc de ‘penser’. Sa devise pourrait être la suivante : elle aurait bien aimé vivre à l’époque hippie, en mode « peace and love », même si ces mots sont contradictoires avec le fait qu’elle soit dans l’armée. Pourtant, Ayleen est de nature pacifiste avant tout et espère que les conflits dans le monde se calmeront un jour.
dévoile-nous ta véritable identité soldat.
PSEUDO/PRÉNOM : Ju. FILLE OU MEC ? : F. AGE : 22 ans. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 4-5/7. SCENARIO OU INVENTÉ ? : inventé. COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : bazzart. LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : plutôt d’eau fraîche. LE CODE DU RÈGLEMENT : shoot me down, but I won’t fall. LE MOT DE LA FIN : Bouh
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[b]nicole scherzinger[/b] ayleen jewell
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Dim 6 Juil - 18:44
⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…
23 juin 2014. Ce matin-là, Ayleen entra dans le bâtiment de la section scientifique de la base. Comme d’autres membres de Redstone, la jeune femme s’était portée volontaire pour participer à une expérience inédite au sein du laboratoire. Un nouveau produit pour aider à améliorer l’hypno-thérapie avait été développé récemment au sein de ces murs. Il s’agissait donc d’en tester les effets sur des hommes et des femmes engagés afin d’en mesurer l’impact lors d’éventuels traitements psychologiques légers. Les chercheurs avaient bien entendu au préalable vérifier qu’il ne représentait aucun danger pour les militaires. Ayleen, qui avait par le passé été suivie durant plusieurs mois par un psychologue spécialisé de la section science sociale, s’était donc instantanément présentée pour tester cette nouvelle lubie. Curieuse de nature, elle ne reculait jamais devant de nouvelles expériences et était souvent une des premières à les tenter si l’occasion lui était donnée. Dans le cabinet du psychologique, la séance débuta. Ayleen s’installa confortablement en face du spécialiste, dans une position allongée, tandis que la discussion dérivait vers des sujets généraux. Au bout de quelques minutes, elle se sentit enfin partir. Déconnectée de la réalité, son esprit voyagea alors plus volontiers vers le passé et quitta la pièce qui l’entourait.
« Parlez-moi de votre enfance. » Commença alors le psychologue sur un sujet qui n’était pas trop direct. La jeune femme s’enfonça un peu plus dans le sofa et se concentra sur la question. « J’ai connu une enfance tranquille. Le plus clair de mon temps, je le passais chez ma grand-mère. On s’entendait très bien elle et moi. » Ses premières années s’étaient déroulées sans incident. Ayleen était née à Austin, au Texas. Ses parents, souvent absents à cause de leur travail, la confiaient souvent à sa grand-mère. Le temps avait vite défilé. « Votre goût pour l’armée est venu assez précocement si je ne me trompe pas. Tout a changé à partir-là… » Le front de la jolie capitaine se plissa quelques instants pour sauter quelques années plus tard. « En effet. » Jeune adolescente, Ayleen avait trouvé des photos de son grand-père dans la chambre de sa grand-mère. On lui avait toujours dit qu’il était mort dans un accident de voiture plutôt jeune, mais il n’en était rien en vrai. La jeune femme avait découvert qu’il était un haut officier de l’armée, héros de la guerre du Vietnam, et qu’il avait donné sa vie sur le champ de bataille. Admirative de ses histoires de combat, elle écouta patiemment les récits de sa grand-mère qui ne se doutait pas qu’une envie étrange grandissait dans la tête de l’adolescente à l’époque : s’engager à son tour pour suivre les traces de son grand-père.
Lorsqu’à dix-sept ans, elle exprima à ses parents l’envie d’entrer dans les rangs et d’intégrer une école pour jeunes recrues. Sa mère ne se ferma pas à cette idée mais craignit de voir son enfant s’envoler tôt ou tard pour le front. Son père en revanche haussa rapidement le ton et refusa d’écouter cette lubie d’Ayleen, affirmant qu’elle ne traînerait dorénavant plus aussi souvent chez sa grand-mère. Il ne voulait pas revivre avec sa fille ce qu’il avait enduré avec son père, en grandissant en son absence après sa mort sur le champ de bataille. À ses yeux, il était tout simplement hors de question qu’elle s’engage comme jeune recrue. Plus déterminée que jamais à tenter l’expérience, la jeune femme décida de fuguer. Elle passa dans la maison de sa grand-mère avant de s’enfuir ensuite plusieurs mois, réfugiée chez un ami ou l’autre. À l’approche de ses dix-huit ans, Ayleen intégra une école de l’armée et suivit les entraînements intensifs. Au début, ce ne fut pas facile de se faire respecter en tant que femme au sein de ce milieu fort masculin, d’autant que beaucoup pensaient qu’elle finirait par craquer et ne la prenait pas vraiment au sérieux… sauf que la jeune femme avait développé une passion pour cette voie-là. Elle poursuivit les entraînements, et lorsqu’elle fut enfin sur le point de réussir, elle téléphona à ses parents pour renouer contact et les revoir, à la seule condition qu’ils acceptent ses choix. L’entente avec son père continua d’osciller entre de la tension et de l’entente cordiale, sa mère faisant souvent tampon entre eux, mais au moins, ils se reparlaient. Ayleen tentait de les rassurer sur le fait qu’elle ne connaîtrait pas le même sort que son grand-père.
Une dizaine d’années s’écoula. Alors que les relations avec son père s’améliorèrent, la jeune femme démontra un talent naturel et une condition physique impressionnante pour fonctionner sur le terrain. Pourvue d’un caractère de fer, elle réussit également à s’imposer et à se faire respecter. La jeune lieutenant qu’elle avait réussi à devenir à l’époque se retrouva à la tête d’une petite section. Ce grade s’accompagnant de nouvelles responsabilités et les conflits continuant de s’intensifier à l’étranger, Ayleen apprit rapidement qu’elle devrait s’envoler pour l’Irak avec d’autres troupes afin d’apporter son concours à ceux sur place depuis plus longtemps déjà. Quand ils entendirent cette nouvelle, ses parents se décomposèrent. Elle ne pensait pas sérieusement y aller ? Une femme en plus… Les craintes de sa mère revinrent instantanément tandis que son père la gratifia de surnoms pas très jolis à entendre. Comment pouvait-elle leur faire ça ? Ayleen n’avait pourtant pas le choix. En s’engageant dans l’armée, elle savait que cette éventualité était à envisager et était d’ailleurs étonnée qu’ils ne soient envoyés que maintenant à l’étranger. « Votre famille était partagée entre ses craintes et son désarroi. » Constata le psychologue. La jeune femme hocha la tête, toujours les yeux fermés. « Et finalement, vous êtes partie. » Nouvel acquiescement de la part d’Ayleen. La jeune femme était passée voir sa grand-mère, celle qui l’avait pratiquement élevée au quotidien durant son enfance, pour avoir son aval. Celle-ci était terrifiée à l’idée de perdre sa petite-fille (devenue grande) mais était fière de la femme qu’elle était devenue. Elle retrouvait en elle le courage de l’époux qui l’avait si précocement quitté. Avant son départ, sa grand-mère lui avait remis un porte bonheur : la médaille de bravoure reçue à titre posthume par son colonel de grand-père. « Pouvez-vous m’en dire plus sur ce que vous faisiez là-bas et sur les différents conflits ? » L’orienta le spécialiste. « C’était horrible. » Se rappela aussitôt Ayleen dont le front se plissa un peu plus. Ils en arrivaient bientôt à la partie la plus épineuse de son histoire, celle qu’elle refusait souvent d’évoquer en détails… parce qu’il n’y avait pas eu que les conflits. Toutefois, ce n’était pas le moment de sauter des chapitres.
Très tôt dans son entrée au sein de l’armée, un officier avait repéré la facilité qu’avait la jeune recrue de manier les armes, de les démonter, de les remonter à une vitesse plus rapide que celles de ses camarades. Il l’avait alors orientée vers un centre technique pour la tester et, prenant goût à réparer de petites choses sur son temps libre, Ayleen avait appris les ficelles d’un métier parallèle à son entraînement : celui d’armurière, autrement dit de technicienne chargée de s’occuper au bon fonctionnement des armes. Au moindre problème, elle savait généralement le régler. Atout dans une armée, l’armurier était un poste souvent méconnu, derrière les lignes. Au-delà des exercices à terre, Ayleen suivit des cours pour se perfectionner en la matière et obtenir le diplôme complémentaire nécessaire pour s’occuper officiellement de cette section. L’ayant obtenu avec succès une année environ avant de partir, c’était donc sous une double casquette qu’elle décolla pour l’étranger (début 2010).
Comme elle venait de le mentionner, les conflits étaient intenses. Ses « camarades » et elle réussirent néanmoins à mener plusieurs opérations de soutien avec succès. Le fait de vivre et de partager ensemble des moments et des conditions aussi rudes resserra les liens entre les militaires engagés dans les échauffourées. Au cours des mois passés à l’étranger, Ayleen s’était particulièrement liée d’amitié avec un autre lieutenant, un certain William. « Mais ce ne sont pas ces heurts qui ont représenté pour vous la pire expérience. » La voix du psychologue devenait légèrement plus fébrile maintenant qu’ils en arrivaient presque au nœud du problème. Habituellement, Ayleen se braquait toujours à ce moment-là de son histoire, refusant d’aborder plus avant ce qui s’était passé ensuite. Le nouveau produit relaxant développé en laboratoire l’aiderait-il à la maintenir détendue et à l’encourager à poursuivre ? La jeune capitaine marqua une pause, hésitante. « Inspirez, puis expirez un bon coup. Vous ne craignez rien ici. » Et, pour la première fois depuis longtemps, elle accepta de revenir sur les détails de l’épisode qui avait changé beaucoup de choses. « C’est ce jour-là que tout a basculé. » Son pouls s’accéléra quelque peu mais la jeune femme prit une profonde inspiration et retrouva son calme.
Étrangement, les mots se bousculèrent tout seuls entre ses lèvres. Ayleen ouvrit un tiroir qu’elle avait refermé depuis plusieurs mois. C’était vers la fin des conflits, en mi-2011, lorsque les troupes américaines avaient annoncé leur mouvement de retrait pour la fin de l’année à venir. Au milieu de l’été, la jeune femme expliqua comment un jour, une partie de son groupe s’était retrouvé bloqué dans une embuscade. La jeune lieutenant avait alors refusé de les abandonner à leur sort malgré les risques qu’on lui avait signalé et elle avait alors pris les devants pour aller les aider. Les liens qu’ils avaient tous tissé entre eux étaient beaucoup trop forts. On lui avait appris à ne pas laisser d’hommes derrière. Elle partit donc avec plusieurs autres militaires dans une énième opération de soutien pour aider ceux coincés mais la situation ne tourna pas en leur faveur et, au détour des circonstances, tout le groupe se retrouva coincé dans un bunker sous un bâtiment pendant plusieurs jours. Les bombardements sévissaient… Parmi eux, William s’était retrouvé assez sérieusement blessé, une jambe ouverte, incapable de continuer à marcher. Quand les rations vinrent à manquer, le groupe tenta une sortie dans le bâtiment pour ramener quelques provisions et faire du repérage des environs. Ayleen décida de rester dans le bunker en compagnie du sergent Gibbs et de William pour protéger leur position et surtout ne pas laisser le blessé seul en arrière. Ce dernier était à demi-inconscient au fond de la pièce, à essayer de récupérer des forces avant qu’ils ne se remettent en mouvement pour sortir de cette situation délicate. Coincés dans un trou à rat… où il n’y avait qu’Ayleen comme femme. Le sergent resté en leur compagnie, profita de l’absence des autres pour lui faire des avances déplacées. La jolie brune les repoussa mais sans qu’elle s’y attende Gibbs la frappa à la tête avec la crosse de son arme. La jeune lieutenant tomba au sol, complètement sonnée, tandis que l’autre se plaça à califourchon au-dessus d’elle… et commença à lui retirer ses vêtements, notamment sa veste. Ayleen se débattit, mais il la frappa à nouveau au visage pour la maîtriser. « Que s’est-il passé ensuite ? » L’encouragea le psychologue qui n’avait jamais été aussi proche d’entendre de vive voix le dénouement. Il voyait les larmes silencieuses couler le long des joues de la jeune femme. L’évènement était encore difficile à revivre. « Arrêtez, arrêtez… » Répétait Ayleen, non pas envers le spécialiste mais plongée dans ce qu’elle était entrain de revivre. Alors que ce vil Gibbs portait la main au pantalon de la jeune femme, William s’était réveillé et, incapable de bouger, assistait en témoin à la scène, totalement impuissant. « Ayleen… Lâche-là espèce de connard ! » S’époumona-t-il en essayant de se redresser malgré son état. La jolie brune, dans un geste de défense appris par automatisme répété, avait alors retrouvé un instant de lucidité passager et avait donné un coup de genou dans les parties du sergent. Elle avait ensuite ramené sa jambe vers elle, sur laquelle était attaché un couteau bien fixé. Retrouvant ses esprits, Gibbs avait alors posé ses mains dans son cou et était entrain de l’étrangler pour la rendre inconsciente. Attrapant l’arme blanche accrochée à sa jambe dans un geste de survie, Ayleen l’avait alors enfoncée dans le ventre de celui qui était censé être son camarade et qui n’était ni plus ni moins entrain d’essayer de l’agresser sexuellement. Essayer car après le coup que venait de lui assener la jeune femme, le sergent en manque s’effondra sans vie à côté d’elle…
Tout se passa ensuite très vite. Ayleen avait rapidement réajusté son pantalon et remit sa veste avant de s’éloigner du cadavre du sergent sans rien toucher. En état de choc, elle partit s’asseoir près de William qui la prit dans ses bras. Depuis le temps, l’autre chef de la section était devenu comme son frère. « Ça va aller, c’est fini… Tu as fait ce qu’il fallait, il ne t’a pas laissé d’autres choix. » En attendant l’arrivée des autres, il avait trouvé les bons mots. Quand le reste du groupe rentra et apprit sous le choc ce qui s’était passé, ils décidèrent de garder cette histoire entre eux, du moins pour le moment, à la demande de la jeune femme. La version donnée serait donc pour le moment « Gibbs mort dans l’état de ses services lors d’une opération de secours. ». Deux jours plus tard, les heurts se calmant alentours, ils purent tenter une sortie et se dégager de ce trou à rat. Gagnant un des points de rendez-vous pour rejoindre d’autres militaires, ils rentrèrent tous sains et saufs dans une base de leur camp. Quelques semaines plus tard après cet événement éprouvant, ils retrouvèrent leurs familles aux États-Unis. Peu de temps après, fin 2011 arriva enfin et toutes les troupes se retirèrent du pays pour rentrer. Ayleen refusa de reparler de cette journée, et son groupe adopta le même comportement à sa demande. Après tous, les liens entre eux étaient devenus suffisamment forts, surtout depuis que la jeune femme avait essayé de revenir les chercher tous. Mais l’histoire ne se termina pas sur ce silence…
« Vous avez dû ensuite assister à cette cérémonie qui a tout remis en question. » Ayleen acquiesça et resta quelques secondes silencieuse après avoir évoqué ce terrible incident. « Je ne comprends pas. Pourquoi ne vouloir rien dire sur une telle chose ? » « Je voulais surtout oublier et ne pas salir la réputation d’un homme qui s’est battu courageusement pour… un moment d’égarement. Et puis… J’avais besoin de retrouver ma famille avant tout. Nous rentrions de deux ans loin d’eux. » L’explication était pourtant simple. Partagée entre la honte et la culpabilité de son acte, Ayleen n’avait pas voulu ternir l’image de Gibbs. Personne n’avait besoin de savoir : il en avait déjà payé le prix de sa vie. À son retour, la jeune femme avait renoué avec sa grand-mère et aussi ses parents, soulagés de la voir rentrer. Elle avait alors entretenu une longue conversation avec son père qui avait enfin compris et qui s’était déclaré fier de sa fille. La relation entre eux était à nouveau au beau fixe, cependant, Ayleen avait toujours cet autre poids sur la conscience. Et lorsque vint la cérémonie destinée à les mettre en avant son groupe et elle, et à leur décerner des honneurs, tout bascula à nouveau cette soirée-là. « Le lieutenant William Hall ne partageait pas votre avis. Il a lâché l’affaire lorsque le nom de Gibbs a été cité. » Ayleen acquiesça derechef. William n’avait plus su se contenir, témoin de cette scène macabre. Il considérait que cet espèce de « vaurien » comme il l’appelait ne méritait aucune médaille d’honneur ou de bravoure en vue de ses actes. Il avait alors lâché la bombe, celle qui remettait en question les circonstances de sa mort, sa tentative de viol sur Ayleen, le dénouement de cette altercation… Autant dire un scandale qui secoua l’état-major texan… William n’avait pas prévu toutes les conséquences de sa révélation. Une enquête au sein de l’armée s’ouvrit. En effet, pourquoi tout le groupe avait-il menti pour elle ? Était-ce pour couvrir les actes d’une dispute provoquée ? Ayleen avait-elle des choses à se reprocher ?
Soutenue par sa famille, elle affronta les charges contre elle. Homicide contre un de ses camarades ou légitime défense ? Heureusement, grâce aux multiples témoignages rapportés par ses camarades d’opération, son innocence fut vite reconnue et aucune poursuite ne fut lancée contre elle. Elle reçut les mêmes honneurs que les autres et monta au grade de capitaine pour les deux années « héroïques » menées à l’étranger. William connut le même sort favorable. Néanmoins, afin d’étouffer un peu les retombées de ce scandale, ses officiers décidèrent de la muter vers une autre base, où elle pourrait continuer à exercer sans repartir dans l’immédiat. « Nous avons pavé la route, comme on dit, alors pourquoi ne pas remonter dans nos bagnoles et la parcourir ? » Lui avait dit William le soir de leur départ, en ouvrant la portière de sa voiture pour l’emmener. Ayleen avait esquissé un sourire. Steven Tyler avait prononcé ces mots lorsqu’il s’était remis en selle avec son groupe Aerosmith après avoir traversé l’enfer de la déchéance. Un de ses groupes de musique préférés, une référence pour elle. Les circonstances étaient différentes mais la situation était la même dans le fond. Tout comme Steven, Ayleen venait de gagner sa bataille, une victoire ressentie non sans un certain soulagement. Cette phrase n’était donc pas tombée dans l’oreille d’une sourde. La jeune femme souhaitait tourner la page et prendre un nouveau départ en route pour Redstone. « C’est une proposition qui ne se refuse pas. » La belle capitaine était montée à l’intérieur du véhicule dont le moteur avait vrombi avant de démarrer direction la nouvelle base.
Courant 2012, elle arriva donc à Redstone en tant que nouveau « chef » de l’armurerie et ‘aide’ aux entraînements pour jeunes recrues. Il lui fut également prescrit, pour son bien et afin de ne pas s’enfermer dans le traumatisme, de suivre une fois par mois, une séance avec un psychologue. Ayleen avait un caractère fort, forgé par tout ce qui s’était passé ces dernières années. Elle avait bien changé depuis son départ à l’étranger et avait un caractère de plomb. La jeune capitaine prit goût à ce nouvel environnement, ces nouveaux visages, ce contact avec les jeunes à qui elle voulait transmettre la même passion. Son expérience pouvait également servir de référence aux femmes qui entraient dans l’armée et qui s’inspirait de sa force de caractère. Ayleen prit d’ailleurs à cœur de s’investir dans son rôle : elle n’hésitait pas à tout faire pour éveiller les consciences et s’assurer de la bonne intégration de la gente féminine au sein des rangs de la base… « La séance touche à sa fin. Je suis fier de vous. Quel progrès ! » S’enthousiasma un peu familièrement le psychologue, en la tirant doucement de sa phase de demi-sommeil. En même temps, ils se voyaient une fois par mois depuis bientôt deux ans et, il fallait bien l’admettre, Ayleen était loin d’être sans charme ou déplaisante à regarder. C’était pourtant sa force de caractère qui lui forçait son admiration. À sa place, une autre femme aurait sans doute craqué ou quitté l’armée depuis longtemps. Un événement isolé dans sa carrière ne pouvait pas tout remettre en question selon elle. Elle comptait bien s’en servir pour se battre et éviter que cela n’arrive à une autre. « Cette séance aujourd’hui était… troublante. Merci. » Se contenta-t-elle de répondre sans chercher à se poser trop de questions. Elle essuya les perles d’eau qui avait inconsciemment coulé le long de ses joues lors de ses ‘confessions’ et se leva en serrant la main du spécialiste. « En effet, je vous donne rendez-vous le mois prochain. Je crois que ce sera une des dernières fois. » Sur ces mots, Ayleen quitta la pièce, le cœur plus léger et partit retrouver William pour un verre entre amis et oublier cette histoire une bonnes fois pour toutes.
Dernière édition par Ayleen Jewell le Ven 11 Juil - 0:27, édité 3 fois
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Dim 6 Juil - 19:06
Bienvenue parmi nous . Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Dim 6 Juil - 19:13
bienvenue parmi nous, ayleen
si tu as des questions ou besoin d'aide, n'hésite pas hein
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Dim 6 Juil - 19:58
J'aime le pseudo
Bienvenue à toi sur bp, bon courage pour ta fiche & have fuuuuuun
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A. Gillian Blossom
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Dim 6 Juil - 20:58
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Dim 6 Juil - 21:16
STOP! TOI, MOI, NOUS AURONS UN LIEN QUI DECHIRE TOUT DE LA MORT QUI TUE PARCE QUE NICOOOOOOLLLLLEEEEE Bref, bienvenue à toi, hâte de lire ta fiche !
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Lun 7 Juil - 3:03
Waw, canon bienvenue sur BP courage pour ta fiche et amuses toi bien par ici
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Lun 7 Juil - 7:05
Bienvenue parmi nous ma belle
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Lun 7 Juil - 16:07
Je crois que c'est la première fois que je vois Nicole c'est trop un bon choooooix Bienvenue à toi
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Amelia-R. Westerfield
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Lun 7 Juil - 16:13
nicole, quel choix original bienvenue!
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Arsène J. Duval
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Mar 8 Juil - 10:59
Bienvenue sur Bulletproof et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Mar 8 Juil - 11:46
bienvenue sur bp
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Mar 8 Juil - 20:45
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Mer 9 Juil - 6:25
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Mer 9 Juil - 14:07
HAN le choix de vava : trop canon !!!!!! Je te souhaite la bienvenue miss !!!! (Une capitaine de l'armée comme ma petite Eva )
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Jeu 10 Juil - 1:06
Bienvenuuuuuuuuue **
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Ven 11 Juil - 0:05
Wow merci à tous pour l'accueil ! Vous avez tous des avas canons dans le coin Je pense avoir terminé ma fiche
ps: Sloan, avec plaisir pour un lien
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Sam 12 Juil - 9:47
J'adore le choix du vava Bienvenue
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Sam 12 Juil - 11:02
j'aime bien la manière dont tu as amené l'histoire d'ayleen, avec l'hypnose et tout
bienvenue parmi nous
Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :
Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.
Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles ajouter ton quartier de résidence dans ton profil pour ne pas qu'il dorme à la rue, et que tu fasses une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.
Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.
Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.
Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell Sam 12 Juil - 19:42
Merci à vous deux
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Sujet: Re: Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell
Juré, je n’ai jamais abusé de la vie, elle a toujours été consentante. | Ayleen Jewell
Ayleen n’est pas toujours facile à vivre. Elle a un caractère compliqué et il est souvent difficile de la cerner. Elle dégage une assurance et une aura mystérieuse qui ne laisse personne indifférent, que ce soit en bien ou en mal. La jeune capitaine a une présence et sait se faire remarquer/respecter. Difficile à apprivoiser, surtout depuis ce qui s’est passé, elle ne baisse que rarement sa garde et n’accorde pas sa confiance facilement, même si elle peut facilement devenir une bonne copine, une collègue agréable ou tout simplement une connaissance accommodante, ça ne veut pas dire qu’elle accorde crédit à tout et n’importe quoi. Autrement dit, elle ne s’attache pas facilement. Dotée d’un charme indéniable, Ayleen séduit malgré elle et doit parfois refuser des avances un peu trop poussées, surtout par quelques jeunes recrues parfois trop éméchées, bien qu’elle ne leur en tienne pas rigueur. La jeune femme a traversé les horreurs de la guerre et n’a donc pas peur de quelques tentatives trop téméraires à son encontre. Forte de son expérience en Irak, elle a effectué un service exemplaire jusqu’à présent si ce n’est cette affaire qui pèse sur son passé et pour laquelle elle n’hésite jamais à essayer d’éveiller les consciences parmi la gente féminine à la base – si nécessaire. Carriériste dans l’âme, Ayleen s’est jusqu’à présent beaucoup concentrée sur l’armée et ne pense pas trop à sa vie personnelle. Loin d’elle l’idée d’une relation sérieuse ou de fonder une famille pour le moment, elle se contente de profiter de temps à autre sans en faire pour autant une habitude. Elle n’en oublie pas pour autant de vivre et de s’amuser. Personnalité drôle, elle n’a aucun problème à sociabiliser ou à se montrer amicale. Ayleen présente toutefois quelques défauts qu’elle a réussi à gommer partiellement avec le temps : son impatience et son impulsivité. Plus posée au fil des ans, elle est arrivée à Redstone bien plus mature et sereine qu’auparavant. Attention tout de même à son caractère joueur et à sa répartie… La jeune femme ne se laisse pas marcher sur les pieds. Douée dans plusieurs domaines également, elle cache ses habilités derrière une modestie sincère. Simple et pas trop prise de tête dans le fond, sa compagnie est généralement agréable quand on apprend à la connaître mieux. De bon conseil, la jeune femme est aussi une personne de confiance.
. Bon courage pour ta fiche 
bienvenue sur BP 
courage pour ta fiche et amuses toi bien par ici 
)
