Abel Edwards.

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abel edwards

take me home !

à partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-Neige.

NOM : Edwards. PRÉNOMS : Abel. AGE : 38 ans. LIEU DE NAISSANCE : Los Angeles. Etats Unis. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle. SITUATION AMOUREUSE : En couple avec Reese Warner. Qui a dit qu'elle devait être au courant ? SITUATION FINANCIÈRE : Modeste pour ne pas dire pauvre. MÉTIER/ÉTUDES : Ecrivain. Aucun best seller à son actif, uniquement quelques chroniques incendiaires. Il est plus sans emploi qu'écrivain ... mais c'est parce qu'il a perdu sa Muse. GROUPE : Ignoring war. AVATAR : Michael Fassbender. CRÉDITS : écrire ici.

⊱ this time i'll be a bulletproof

✈ Il arrive parfois que la vie choisisse certains d'entre nous pour les tester, leur en faire baver. Parfois, la vie s'acharne sur certains d'entre nous. Abel fait partie de ces personnes choisies par la vie et il a décidé de l'emmerder royalement, la vie. Il n'est pas conseillé de rouler vite, de fumer trop, de boire plus que de raison, de chercher la bagarre dans les endroits les plus glauques. Soit. La vie le déconseille. Il le fera avec un malin plaisir. Il ne sent vivant que lorsqu'il lèche les limites de la Raison. Il ne se sent vivant que lorsque tout semble prêt à s'écrouler ... Fou ? Peut-être un peu. Narcissique et orgueilleux, derrière ces grands airs il cache un enfant brisé par son père. Il cache un homme bloqué dans son passé, dans cette violence croissante. En réalité, Abel se déteste. Il déteste chaque parcelle de son corps qui lui rappelle son père, ces soirées, ces sourires, ces paroles. Il déteste ses airs de ressemblance avec son paternel d'autant plus qu'avec l'âge, il se met de plus en plus à lui ressembler. Torturé et mélancolique, il tait et cache ses blessures. Il les panse à coups de paquets de cigarettes et à grandes rasades d'alcool : futile thérapie.
Néanmoins, si vous creusez sous cette carapace vous découvrez un homme bon, intelligent, incroyablement humain. Trop humain peut-être. Abel considère ce trop plein d'humanité comme une faiblesse. Trop de faiblesse. Seuls les connards sans nom parviennent à vivre, à survivre dans cet Enfer qu'est la Vie, n'est-ce-pas ? Alors, Abel s'efforce à agir ainsi. Homme violent, machiste, manipulateur. Il s'amuse des Autres, jouant avec eux comme un grand metteur en scène. Ils ne sont que des pantins avec qui il s'amuse.

⊱ i was meant to be a warrior fume à peu près un paquet de cigarettes par jour ✈ s'amuse souvent avec son briquet, le briquet de son père. C'est la seule chose qu'il ait gardé de lui ✈ tient plutôt bien l'alcool ✈ a des tendances paranoïaques et schizophrènes, rien que ça ✈ a balancé les cendres de son père à la poubelle après la crémation ✈ possède une arme à feu ✈ fume de temps en temps de la Marijuana, pour se détendre dit-il ✈ il fait des mots fléchés pour se détendre ✈ ne parle jamais de son enfance et encore moins de son père ✈ enchaine les conquêtes mais celles-ci fuient très rapidement devant ses manières ✈ aime sa solitude ✈ ... mais aimerait pouvoir la retrouver ✈ a un sérieux problèmes avec l'Autorité, toute forme d'autorité ✈ possède et conduit une moto ✈ violent, il n'hésitera pas à lever la main sur une femme qui mérite une claque : après tout, elles réclament l'égalité des sexes ✈ ne dort presque jamais la nuit, hanté par ses cauchemars ✈ déteste les hôpitaux, les médecins, les psychologues ✈ ponctue ses phrases de jurons ✈ mais ne se considère pas comme vulgaire ✈ vit dans un bordel sans nom ✈ horrible cuisinier ✈ fainéant ✈ ne supporte pas qu'on lui donne des ordres ✈ passionné de littérature ✈ a une plume acerbe et vulgaire ... la raison pour laquelle il ne sort jamais de best-seller.

dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : Julie. FILLE OU MEC ? : fille AGE : vingt deux ans FRÉQUENCE DE CONNEXION: 4 jours sur 7. SCENARIO OU INVENTÉ ? : scénario LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : oui, je ne suis pas comme Abel. J'aime d'amour. LE MOT DE LA FIN : To be continued

Code:: [b]michael fassbender[/b] ✈ abel edwards

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⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…

Scène 1 « Maman. Maman. » Le petit garçon de huit ans se tient devant sa mère qui est en train de préparer les pancakes. Ses frères s’agitent dans la cuisine alors qu’il s’accroche toujours au tablier de sa mère. Grande, brune, douce, elle le comprendra. Elle pourra le sauver même si son père lui rappelle qu’il n’y a rien de mal, qu’ils ne font que s’aimer comme un papa aime son fils, que maman ne comprendrait pas, que c’est leur petit secret. Elle pourra l’aider parce que lui, il n’aime pas trop la manière dont son papa l’aime depuis … trop longtemps. « Je crois que Papa, il m’aime trop. » dit-il d’une voix enrouée, timide. La mère se contente de sourire en déposant un tendre baiser sur son front et en lui disant d’aller s’asseoir pour manger. Bien sur que son père l’aime. Il l’aime comme il aime ses deux autres fils. Ils forment une famille aimante, une famille banale. Une famille sans souci. Le sourire de sa mère le réconforte. C’est donc normal cet Amour ? « Mange tes pancakes avant qu’ils ne refroidissent. » Abel obéit sans mot dire. Si sa mère ne dit rien, c’est que c’est normal. C’est qu’il n’y a rien de mal … son papa l’aime, c’est tout.

Scène 2 La nuit est tombée sur la petite maison. Abel est allongé dans son lit. Sa chambre, elle ressemble à l’espace. Il a été choisir le papier peint lors de ses sept ans avec son père et son grand frère. Ils ont passé l’après-midi à choisir la décoration. L’espace, Abel il adore ça. Plus tard, il sera astronaute ou quelque chose de ce genre là. Un homme puissant qui pourra emmener son chien bien loin de cette maison, bien loin de son père. Abel est allongé dans son lit. Il prie. Il espère que ce soir, il aura un peu de répit. Il espère qu’il ne viendra pas une fois encore se glisser sous ses draps Star Wars. Oui, il prie pour que son père ne vienne pas. Alors, quand la porte de sa chambre s’ouvre et qu’une ombre se faufile par l’entrebâillement. Il sait que ce soir encore, son père l’aimera … un peu trop. La tête tournée vers le mur, il ferme les yeux et feint de dormir même s’il sait que cela ne l’empêchera pas. D’ailleurs, il vient de se glisser sous ses draps, sous son pyjama. Il sent sa lourde main se glisser sous son pyjama. Il sent sa respiration. Lourde. Semblable à celle d’un monstre. Abel est allongé dans son lit et une fois encore, il va fixer les étoiles en s’imaginant ailleurs. Ailleurs, oui.

Scène 3 Abel a grandi. C’est un joli petit garçon de onze ans. Il a grandi … les visites de son père s’espacent. A croire que son père ne l’aime plus. D’ailleurs c’est ce que se demande Abel. Est-ce que son père l’aime encore ? Est-ce qu’il l’aime toujours trop ? La chambre de l’adolescent a quitté les étoiles. Les murs sont tapissés d’affiches de concert, de motos, de voitures. Une chambre de garçon essayant de grandir plus vite que la normale. Cette nuit-là, lorsque son père vient se glisser sous ses draps. Abel ferme toujours les yeux. Il ne dit rien, comme toujours. Mais lorsqu’il sent son père faiblir, il s’inquiète et ne peut s’empêcher de murmurer : « Papa ? Tu m’aimes plus ? » Il tousse. Il se retire. Il est mou. Il part. Abel remonte son pyjama et ferme les yeux, refrénant une larme qui roule sur sa joue. Son père ne l’aime plus.

Scène 4 Finalement, son père l’aime encore à ses quatorze ans. Moins souvent. Mais cela lui arrive. Il est juste plus violent, plus brutal. Abel sait que ce n’est pas normal, que son père ne l’aime pas, que c’est un pédophile. Néanmoins, il ne dit rien. Il ferme les yeux, serre les poings. Il s’imagine ailleurs. Il ne peut le dire à personne : sa mère en mourait, ses frères le détesteraient de les priver de leur gentil père complice. Alors, il ne dit rien et encaisse. Encaisse Abel. Encaisse Abel ! Il s’imagine le tuer, lui fourrer un calibre dans la bouche et appuyer sur la gâchette. Abel a quatorze ans et déteste sa vie, son père et tout ce qui est de vivant sur cette planète. Il déteste ces adultes aveugles de sa souffrance. Il déteste ses camarades de classe débiles. Alors le soir, au moment du diner, quand il sent le regard de son père le fuir, il n’en peut plus et quitte la table en donnant un coup de pied dans sa chaise. Ses frères rient. Sa mère s’offusque et demande au père de réagir. Le père, lui, se contente de dire : « Je passerai le voir dans sa chambre ce soir pour savoir ce qu’il se passe. C’est l’adolescence. Rien de plus. Bon alors les gars, vous avez vu le match des Yankees hier soir ? »

Scène 5 Lit d’hôpital. Abel a seize ans. Sa mère travaille. Ses frères ainés ne viennent que ce soir. Son père est allongé dans le lit d’hôpital. Il a l’air paisible malgré les machines qui le maintiennent en vie ou qui surveillent son rythme cardiaque. Abel a seize ans et est devant son père. Malade, il a été opéré du cœur. Cet enfoiré en a un finalement. Abel se penche au-dessus du lit de son père et soudain il appuie l’oreiller contre le visage de son père. Il peut le sentir remuer, bouger, se débattre vainement. Ses yeux. Il le regarde. Abel sourit. « Chut Papa. Faut pas que maman entende combien on s’aime. »

Scène 6 Costume noir. Tout le monde est vêtu de noir. Sa mère pleure. Encore et toujours. Abel est assis sur le perron de la maison. Il fume une cigarette, sa première à seize ans. Il l’allume avec le briquet de son père, il lui a pris à l’hôpital. Son bourreau est mort … mais il ne parvient pas à se sentir soulagé pour autant. Non. Et puis, il y a pris goût à ce sentiment de pouvoir. Il se souvient son père s’agiter, remuer, se débattre. Il sourit.

Scène 7 Abel a grandi. Il a vieilli. Il est allongé de cette rousse incandescente. Sa peau de porcelaine. Ses prunelles perdues. Sa crinière rousse. Ses courbes harmonieuses. Elle est allongée à côté de lui, assoupie. Il l’a eu. Elle, celle qu’il épie, qu’il espionne, qu’il convoite, qu’il charme depuis des mois. Elle est sienne. Il la regarde, allongé à ses côtés. Il ne peut s’empêcher de s’apaiser à ses côtés. Il suit les mouvements que fait sa poitrine. Inspire. Expire. Elle est belle. Une beauté à damner. Elle est sienne. Abel roule sur le dos, tend le bras pour attraper une cigarette et la coincer entre ses lèvres. Il l’allume. Il prend une bouffée, recrache la fumée et soudain elle s’éveille. Elle lui prend la cigarette des doigts pour en tirer une bouffée. Il ne dit rien. Elle ne dit rien. Ils se regardent. Abel lui sourit. Il est allongé dans ce lit, à ses côtés et pour une fois, il se sent homme. Il lui reprend la cigarette, la laisse se consumer sur le cendrier et fait de Reese sa proie, une fois encore. Deux corps emmêlés. Deux âmes meurtries. Il est sien comme elle est sienne. Il n’est pas tendre même s’il essaie. Il pense à elle, c’est un bon début. Il se crispe. Il sourit. Il ferme les yeux. Son corps l’aime, il le sent. Ca le prend par les tripes. Alors, il murmure : « Tu es mienne Reese. » Elle ne l’a peut-être pas entendu mais il se sent puissant à prononcer ces quelques mots. Elle est sienne.

Scène 8 Elle est partie. Elle l’a quitté. Elle avait deviné quelques vérités. Curieuse, elle l’avait parfois mené à lever la main, à être violent. Elle était sienne et elle n’est plus. Sa colère explose. Il tape dans tout ce qui se trouve sur son chemin et notamment le miroir. Symbolique. Elle était sienne et elle n’est plus.

Scène 9 Deux ans. Deux ans qu’il n’a pas senti son parfum, qu’il n’a pas gouté sa chair, qu’il ne l’a pas embrassé. Deux ans qu’il se sent comme veuf. Mais les choses vont changer. Il sait où elle est. Il ne sait pas ce qu’elle y fait mais elle est là-bas. Ce n’est pas si loin … et puis qu’est ce qu’il peut faire d’autre ? Elle était sienne, elle n’était plus, elle sera sienne. Elle le comprend. Elle l'a aimé. Elle a aimé ce qu'il est. Elle l'aimera à nouveau. Il lui suffit de la retrouver. Elle est sienne et le sera toujours, il se l'est promis la première fois où il a croisé son chemin.

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HOLY SHIT O_O Je ne pensais pas qu'il serait pris bril bril les zieux

Bienvenue parmi nous, heureuse de te voir pervert look

$let\'s make babies$ J'aime traumatiser mes persos! you should be dancin

Si tu as des questions, ma boîte à mps est grande ouverte, honey Abel Edwards. 337664734

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oh mon dieu, ce scénario avec michael en plus, olala rhaaaa omfg

bienvenue

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fassy, omg rhaaaa omfg

avec ce scénario en plus. omagad

Bienvenue sur BP, bon courage pour ta fiche ! I love you

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Bienvenue sur BP I love you

oh, un écrivain de plus sur bp rhaaaa omfg

trop cool, il nous faudra un lien hein ! surtout avec le nouveau roman de jamie-rose qui sort très bientôt niark niark niark

bienvenue à toi abel bril bril les zieux

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Cette fiche c'est de la perfection à l'état pur! Tu as bien compris comment je voyais le personnage et y a une réelle dualité en lui, une sorte de schizophrénie flippante qui ressort! J'adore, pour moi le rôle est fait pour toi I love you

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FASBENDEEEEEEEER. et le scénario bienvenue

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J'adore le prénom.
Bienvenue !

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FASSY. BIENVENUE sur bp.

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Bienvenue

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j'ai le feu rouge de la rousse Reese, alors je te valide Abel niark niark niark

Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles faire une demande de logement pour ne pas qu'il dorme à la rue et, une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.

Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !

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Bienvenue à toi avec un petit peu de retard rhaaaa omfg

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