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 Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.

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MessageSujet: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 16:16



James Stephen Hampton

Être militaire implique de souffrir. Si tu n'es pas prêt à endurer ça, laisse l'ennemi t'abattre.

à partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-Neige.

NOM(S) : Hampton PRÉNOM(S) : James Stephen, dit Jim. AGE : 58 ans LIEU DE NAISSANCE : Knoxville, Tennessee (USA) ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel SITUATION AMOUREUSE : Seul SITUATION FINANCIÈRE : au-dessus de la moyenne MÉTIER/ÉTUDES : Il est toujours Général d'Armée, bien qu'on le plaça en retraite forcée. Il est toujours actif dans la profession militaire en étant consultant parmi les autres Généraux. Autrefois, il fut mercenaire pour l'État américain ainsi qu'instructeur de combat pour la base de Washington. SI MILITAIRE, GRADE : Général d'Armée, Général quatre étoiles GROUPE : Learning War AVATAR : Bruce Willis CRÉDITS :  Tumblr Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. 2739476978 


⊱ this time i'll be a bulletproof
✈️ Jim est caractérisé par sa tête de cochon. Il est incroyablement têtu que c'en est presque dangereux. Il ne cédera pas et si vous croyez être en mesure de le faire craquer ou de le manipuler, c'est que vous ne connaissez pas le Général! Plus jeune, les gens l'appréciait parce qu'il avait ce côté très humain et attentionné, mais depuis qu'il a été mercenaire, il a perdu en grande majorité son "humanité". Il reste quelqu'un de dur, marqué par les années à servir pour son pays. Il possède une intelligence étonnante et une grande connaissance générale qui surprends toujours la première fois. Il est obséder par son métier et en particulier par la performance que cela demande. Il l'a toujours dit, pour lui, être militaire implique de mourir en service. Il déteste être à la retraite et écraserait n'importe quel jeune pour avoir sa place dans l'avion qui conduit en mission.

⊱ i was meant to be a warrior ✈️ Avec les années, il a développé plusieurs superstitions. Lorsqu'il était mercenaire, il refusait de travailler avec des jeunes de moins de vingts-cinq ans. Il n'a d'ailleurs jamais apprécié de travailler avec des soldats très jeunes dans l'Armée.
✈️ Il ne porte jamais de noir, ça lui rappelle trop les enterrements et les deuils, choses qui le répugne par-dessus tout. La mort en tant que telle, il arrive à la supporter, mais se sont les rituels qui l'accompagnent qu'il déteste.
✈️ Il avait l'habitude de faire un jogging matinal à tous les jours avant sa blessure en Irak. Maintenant qu'il ne peut plus le faire, il se contente de marcher à travers la base aux aurores.


dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : Volodymyr FILLE OU MEC ? : Lady AGE : 20 ans FRÉQUENCE DE CONNEXION: 7/7, rarement absente SCENARIO OU INVENTÉ ? : Inventé LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : Oui, biensûr LE MOT DE LA FIN : niark niark niark 

Code:
[b]bruce willis[/b] ✈️ jim hampton


Dernière édition par Jim Hampton le Jeu 4 Juil - 14:20, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 16:17




⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…
Jim Hampton né James Stephen Hampton, mieux connu comme étant le Général Hampton ou encore comme Jimmy lorsqu’il était plus jeune et bas gradé, est un soldat et mercenaire américaine, voici son histoire :

L’ORIGINE

L’odeur de la terre, il n’y a que cela de vrai. Ça vous rappel l’enfance où il n’y avait rien d’autre à faire pour passer le temps et fuir les malheurs que de courir dans les champs, de parcourir les forêts et de se reposer sur le sol couvert de rosée. La terre est la seule chose qui te suit toute ta vie. À moins que tu sois un de ces malades qui veut ressembler à un oiseau. Ça, des gens comme ça, j’en aie connu des tas. Tous morts aujourd’hui. En terre justement. Mais bordel, personne ne pourra leur reprocher d’avoir vécu leur vie à moitié. Et quand je vais finalement crever et qu’on va me mettre en terre à mon tour, j’espère qu’il va y en avoir un qui va le dire : « Le Général, il l’a vécut sa putain de vie ». Si mon âme entend ça, croit moi, elle va se faire un plaisir de monter voir Dieu et de foutre la paix aux jeunots de la base. Ouais, c’est comme ça que ça dois se terminer…

Seulement, je ne suis pas encore mort. C’est pas comme-ci il n’y avait pas eut des occasions. J’ai passé mon temps à avoir la mort au cul et que finalement elle ne m’atteigne pas. Même avant l’Armée. Je suis le plus jeune d’une famille de huit enfants. Tu peux le croire toi! Ma mère est une sainte d’avoir accepté que mon père l’engrosse huit fois. Si j’avais été assez fort dans ce temps-là, je lui aurais moi-même enfoncé une balle entre les deux yeux à cet homme. Mon père était une de ces grandes gueules qu’on déteste tous. Il ne savait rien, mais il se croyait au-dessus de tout et de tous. Une de ses activités préférées consistait à insulter et de rabaisser son prochain. En particulier les noirs. Mes frères aînés ont suivit aveuglément ses traces, moi j’ai été plus malin. Alors qu’il croyait que j’étais de son côté et que je suivais ses idéaux, je tendais la main dans son dos aux noirs de mon quartier. C’était devenu le meilleur des jeux : agir toujours exactement à l’opposé de lui. J’assurais mes arrières évidemment. Il avait la main légère après tout et ne supportait pas qu’on le tourne en ridicule, ce qui rendait la game encore plus attrayante. L’ensemble de mes actes étaient calculés en conséquence.

Même si mon enfance paraît amusante de la façon que je la raconte, c’est parce que tu es ignorant du contexte historique. Je suis né et j’ai grandis en plein durant la Guerre froide. Même mon abruti de père se crispait lorsqu’il entendait les gens en parler. Ma mère surtout, elle avait une sainte peur de tout cela. On pouvait presque en permanence la voir parcouru de frissons. Et c’était ça qui me faisait peur. Ce climat était lourd à la longue. En même temps, il y avait la Guerre du Viêt Nam, celle qui venait chercher nos proches pour ne jamais nous les ramener. Nous avions apprit à nous tenir droit, parce que si ont avaient le malheur d’agir en marginaux, ont se faisaient traiter de communiste. Surtout que mon père s’en était donné à cœur joie pour parler dans ce sens au début du conflit et que la loupe était à présent constamment sur nous à cause de lui. Quelle pire insulte que d’être accusé d’être communiste. On avait presque envie de nous même se tirer une balle lorsqu’on y était associé. Moi, enfant espiègle et rassembleur que j’étais, très humain pour être en opposition à mon père, combien de fois me suis-je fais regarder de travers. Je savais très bien ce qu’ils murmuraient dans mon dos. Ils n’osaient tout simplement pas le dire à haute voix parce que ce mot les terrorisait. Oui, le communisme nous étouffait tous en ce temps là et il a laissé des séquelles dans nos esprits.

Cette époque m’a personnellement très marqué. Sans vouloir devenir un héros, je voulais agir et être grand. Je restai ouvert d’esprit à la vie, comme je l’ai toujours été d’ailleurs et elle m’orienta sans que j’aie vraiment eut à y penser. Il ne m’était jamais venu en tête d’intégrer l’Armée pour servir mon pays. Disons que c’est plutôt lui qui est venu me chercher. J’avais 17 ans, j’étais sur les bancs d’école. C’était les années 70, le mouvement hippie était à la mode. La plupart de mes proches amis s’y étaient convertie. Je n’étais pas naïf au point de les suivre bêtement, mais je me sentais de plus en plus attirer par leurs idéaux, entre-autre celui de liberté. Ayant vécue enchaîné et terrifié toute mon enfance et mon adolescence, comme la tentation d’embrasser la liberté totale était tentante. Presque leur disciple, je me rendis un après-midi pluvieux en direction de la maison de mon meilleur ami. Il devait, en théorie, me présenter à son groupe hippie et j’aurais été un des leurs si j’avais les qualités requissent. J’avais confiance en moi, je savais que je les avais leurs putain de qualités. Comme la pluie redoublait, je ne dû faire autrement que de prendre refuge dans l’édifice le plus proche. Et bien devinez quoi! Il s’agissait d’un bureau de recrutement de l’Armée américaine. Jamais par moi-même je n’aurais eut le courage d’entrer là, si je n’avais pas été poussé à m’y réfugier à cause de l’orage. Le recruteur eut du mal à me convaincre, puisque je restais un gosse intelligent. Il n’avait jamais été aisé de me manipuler. L’Armée m’offrait une autre sorte de liberté, à l’opposé du mouvement hippie. Une liberté qui s’accompagnait également d’importance, de force et de reconnaissance. Cela fit pencher la balance. Je retournai chez moi pour dormir là-dessus et le lendemain, aux premières heures du matin, j’entrais dans ce même bureau de recrutement et je signais le contrat qui me lie encore aujourd’hui à l’Armée des États-Unis d’Amérique.

SA CARRIÈRE MILITAIRE

Comme tous les jeunes tit-cul qui débutent dans la profession, j’étais mauvais. Je n’avais aucune forme physique. J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps quand mon instructeur m’a traité de minable. J’ai souffert le martyr à l’entraînement. J’étais incapable de tenir un fusil et je tremblais comme une feuille, ce qui me rendait dangereux lorsque je tirais. J'ai vomis à chaque fois que je terminais le parcours du combattant. Bref, j’étais pitoyable! Tellement faible et incapable de faire quoique se soit de bien. Mais, ce qui faisait en sorte que je n’étais pas une cause désespérée, c’est que j’étais une sacrée tête de cochon! Je voulais réussir et même si mon corps était incapable de suivre, ma tête poussait tellement que je finissais par réussir là où les autres plus en forme échouaient. Dieu que j’avais de la détermination! Mon instructeur en était bouche-bée. S’il m’avait dit de courir vingt kilomètres sans jamais arrêter, je l’aurais fait. S’il m’avait dit de garder ma respiration durant dix minutes sous l’eau, je serais mort en le faisant, mais au moins j’aurais tenu jusqu’au bout!

Après trois ans, j’avais connu une nette amélioration. Je n’étais plus un maigrichon aux cheveux longs attiré par les gens qui vous abordent par « peace ». Non, j’avais nettement changé. Progressé. En bien. Selon plusieurs, j’étais prêt à être envoyé sur le terrain et on me catapulta quelques jours plus tard sur un champ de bataille. Je fis quelques petites missions par-ci par-là avant d’être envoyé en Afghanistan en 1980 dans le cadre d’un conflit armé qui s’y déroulait à cause de la Guerre froide. J’y restai jusqu’en 1985 avant de revenir quatre mois plus tard pour y demeurer jusqu’à la fin, en 1989. J’avais 34 ans lorsque je fus rappelé par les États-Unis pour y être basé durant un certain temps. J’avais alors le grade de Capitaine.

Je faisais preuve d’une telle compétence que les officiers supérieurs de ma base de l’époque désiraient m’impliquer dans différentes sortes de missions. Généralement, des missions top-secrets. J’obéissais aux ordres qu’on me donnait, il n’y avait que cela qui comptait à mes yeux depuis avoir vécu l’enfer en Afghanistan. Rapidement, on jugea que je ne devais plus faire de terrain de guerre, mais que je devais être recyclé en une sorte de mercenaire. Apparemment, l’État avait besoin de quelqu’un et j’étais le meilleur candidat en lice pour faire le sale boulot. Ils furent plusieurs à m’expliquer, à vouloir me convaincre. Cela impliquait de suspendre mes activités militaires régulières pour faire parti de leur regroupement de soldats d’élite. Il y avait énormément d’avantage, surtout au niveau du salaire et de la couverture qu’on m’offrait. Je finis par accepter leur offre et je n’imposai qu’une condition : Je ne voulais pas abandonner le milieu militaire « légal ». Si je ne pouvais pas garder un pied dans la profession, se sera un refus catégorique. Ils ne voulaient évidemment pas me laisser partir, alors ils acceptèrent ma condition.

J’ignore combien de personnes j’ai tué au nom des États-Unis d’Amérique durant cette nouvelle vie, mais ils respectèrent leur part du contrat. Une fois par semaine, j’étais un instructeur pour les recrues à la base de Washington. Mes talents militaires étaient employés le reste du temps au service de l’État américain. J’aimais me comparer à une sorte de chasseur de prime de terroristes. On m’envoyait constamment à l’étranger. La vie à deux était donc pratiquement impossible. Ce n’est pas comme si je n’avais pas essayé! C’est que les femmes n’aiment pas passer en deuxième.

Au bout de 10 ans de cette vie, c’était devenue trop monotone. Je ne ressentais plus rien lorsque je traquais et exécutais des ennemis. Il fallait que je retourne aux sources. Et pour tous mes bons et loyaux services, ils acceptèrent de me mettre à la retraite de mercenaire. Heureusement, j’avais toujours mon lien avec la base de Washington. Je me présentais en personne un matin et le chef de la base en fut réjouit. Il lui manquait justement un professeur à plein temps pour les situations de combat et malgré mes 44 ans, j’étais plus en forme que l’ensemble des jeunots de cette base réunie. D’ailleurs, cela me valut plusieurs avertissements. On me qualifia de trop exigeant. Lorsqu’on traite un instructeur d’armée de trop exigeant, c’est parce qu’il y a vraiment un problème puisque que c’est LE critère de base pour en être un instructeur! Au fils du temps, j’avais perdu mon humanité. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est cette psychologue que le Général me forçait à voir s’il voulait me garder. Elle me conseilla de prendre un break de la vie militaire. Mais pourquoi? Pourquoi je dois arrêter mon métier sous prétexte que je suis trop bon? On demande aux soldats de rester de marbre devant la mort et bien moi je le suis, cela me faisait même rire mais apparemment, c’est malsain! Alors, après des jours d’obstination, je cédai et je pris deux années de sabbatiques.

SON APOGÉE

Durant ces deux ans, je retrouvai un calme que j’avais perdu. Je ne dirais pas que cela fut une révélation, mais plutôt que ça me donna le temps de réfléchir. Mais je reste convaincu que se fut une grosse perte de temps et un ennui total. Je rencontrai une femme au début de la première année. Notre relation devint sérieuse, mais elle n’arrivait pas à accepter le fait que je désirais retourner à la vie militaire après ma sabbatique. Elle me répétait toujours que j’avais assez donné. Mais pour moi, c’était faux. Je m’étais engagé à cette vie il y a 28 ans, abandonner maintenant n’est pas du tout envisageable. Finalement, elle a préféré vivre sa vie sans moi. C’est probablement mieux pour tout le monde comme ça.

Lorsque je retournai au travail, mon Dieu que se fut agréable! Tout cela m’avait terriblement manqué. L’atmosphère, la famille militaire. Si le paradis existe, c’est bien ici. Et mon retour fut connu de tous. Les petits nouveaux craignaient de m’avoir comme instructeur et se préparaient pour la souffrance. Seulement, j’avais des ambitions plus grandes. Mes années d’expériences militaires contribuèrent à faire en sorte qu’on m’appelle désormais Général. Ce ne fut pas sans sacrifice et maux de tête administratifs, mais je savais ce que je voulais. Le problème s’est que mes supérieurs n'appréciaient avec l’idée. Plusieurs disaient que je n’avais pas assez d’expérience ou encore que je ne possédais pas les qualités requises. Je n’avais rien à prouver à personne. Même si j’étais dans la cinquantaine, je pouvais botter le cul à n’importe quel soldat plus jeune! Comme la majorité me refusait obstinément le grade de Général, je ne pouvais plus rester à la base à attendre qu’ils changent d’avis. Je décidai donc de repartir sur le terrain. Ce n’était que là que je me sentais vraiment à ma place. Personne ne pouvait dire que je n’avais pas ce qu’il faut lorsque je tenais un fusil dans les mains et que je me préparais pour une embuscade. Encore une fois, il y avait des réticences à cause de mon âge. Seulement, mes examens physiques étaient plus que parfait. On m’envoya alors dans une mission en Irak en 2006.

En théorie, je ne devais pas prendre part directement aux opérations de combat. J’étais un des chefs les plus hauts gradés et je ne devais que diriger les attaques, sans même pouvoir tuer. J’acceptais les ordres durant les premières semaines. Les choses devinrent plus compliquées, les effectifs se mirent à diminuer et je décidai que le mieux pour réussir la mission était que je sois sur le terrain avec mes hommes. À partir de ce moment, tout se passa à merveille. Je fis mentir mes supérieurs qui ne voyaient pas en moi des bonnes qualités de leader et j’étais confiant qu’à mon retour je serais Général d’Armée. Il ne pouvait plus rien me refuser à présent! Puis, il y eut l’embuscade ennemie…

Le seul souvenir que j’ai de ce moment, est lorsque je me suis éveillé dans l’hélicoptère qui me conduisait à l’hôpital le plus proche. J’étais couvert de rouge. Il y en avait même dans mes yeux, ce qui m’empêchait de voir autour de moi. Je ne me souviens pas d’une quelconque douleur, comme ils m’avaient apparemment injecté avec de fortes doses de morphine. Un soldat à côté de moi me rassurait en m’appelant Général. La confusion me faisait lui répondre que c’était faux, que je n’étais pas Général. Mais, il s’obstinait à m’appeler par ce rang et ça me fâchait. Comme on arrivait apparemment à l’hôpital, les médecins se jetèrent sur moi et m’examinèrent de partout. Il y en eut un avec sa lumière qui m’aveuglai longtemps pour analyser mon niveau de conscience. Il y avait apparemment un problème avec ma colonne vertébrale. Après ça, je ne me souviens de rien.

LA CHUTE

Lorsque je fus dans un état plus stable, on me transféra aux États-Unis, à la base de Redstone plus précisément. Les meilleurs médecins militaires s’y trouvaient. J’ai toujours refusé de connaître l’étendu de mes blessures. Aussitôt que l’un des médecins se préparait pour un monologue sur mon cas, je l’arrêtais vivement. Je voulais vivre ça dans l’ignorance. La seule chose que je savais, c’est qu’ils avaient réussi à m’éviter l’amputation de ma jambe droite. Est-ce que ça aurait vraiment fait une différence, comme de toute façon je ne la sentais absolument plus depuis l’accident?

Après quatre mois alité, on me transféra en physiothérapie. Je devais être cloué à une chaise roulante, sauf lorsque je faisais leurs exercices stupides pour me permettre de remarcher un jour. Encore une fois je faisais la sourde oreille à leurs discours pessimistes. Je suis un soldat, l’un des meilleures toujours vivants et je vais surmonter cette épreuve! Chaque fois que je tombais puis me relevais, je me remémorais mes débuts militaires où j’étais une loque. À quel point j’étais entêté à réussir en ce temps-là. Ça me motivait à un tel point que je progressais réellement. Un physiothérapeute en particulier m’avait conseillé de ralentir, de prendre mon temps pour ne surtout pas brusqué mon corps. Il n’avait pas idée à qui il s’adressait. Non seulement j’étais à présent un Général d’Armée accomplis, mais j’étais aussi la plus grande tête de mule qu’il ne rencontrera jamais au cours de sa carrière!

Cela prit deux ans pour que je passe de la chaise roulante à la canne. Prenant mon grade très au sérieux, je passais mon temps avec les autres généraux à prendre des décisions pour conclure la Guerre en Irak. On me forçait par contre à demeurer établit à la base de Redstone. Mon état de santé était encore sous surveillance. Après un certain temps, lorsque je réussi à me mouvoir sans une canne, je recommençais à m’entraîner. J’avais perdu des années à rester au lit ou assis alors mes capacités physiques en avaient été diminuées. Je m’entraînais au gym avec les jeunes soldats dans la vingtaine et ils semblaient toujours stupéfait de voir à quel point je restais en forme. Pour un vieux croûton, c’était pas mal du tout! Il restait toujours se boitillement qui m’empêche de courir. D’ailleurs, il ne partira jamais entièrement selon les médecins.

Puis vint ce fameux jour. Celui où j’eus le désir de retourner sur le terrain. On me refusait catégoriquement toutes mes demandes pour une mission. Mes supérieurs n’eurent d’autres choix que de me mettre en retraite forcée pour que je reste tranquillement à la base. On m’accordait par contre la conservation de mon rang de Général d’Armée, mais seulement à titre de consultant. Je ne devais plus jamais retourner dans l’action, c’était les ordres. Je ne l’ai toujours pas accepté. Souvent, je dis à la blague aux plus jeunes que le Général Hampton va retourner au combat. Une partie de moi en est convaincu, l’autre en est enragée. J’ai toujours pensé mourir au combat et c'est presque arrivé en Irak. Alors que là, mourir à la base, seul et sans un fusil dans les mains…

J’ignore si un jour je vais parvenir à me faire à l’idée…



Dernière édition par Jim Hampton le Mer 3 Juil - 18:29, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 16:24

Bienvenue sur BP I love you 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 16:28

Merci beaucoup à toi Very Happy 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 16:29

BRUUUUUUUCE. Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. 2145037518 Ce choix de fou !
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche. I love you
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 16:57

Bruce ! C'est un choix original, mais tellement adapté. Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. 2145037518 (Le Cinquième Élément, aka la perfection.) BIENVENUE sur bp, et bon courage pour ta fiche !
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 16:59

Super choix de vava et de personnage, j'adore ce que tu as proposé d'en faire et j'aimerais beaucoup u n lien avec l'un de mes persos Wink
Bienvenue en tout cas Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. 2145037518 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 17:04

Merci vous trois! Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. 1839924927 
Mais avec plaisir Reese! I love you 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 17:05

T'as même pas idée à quel point tu me vends du rêve avec Bruce *-*
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 17:22

C'est vrai que pour le forum, Bruce est parfait rhaaaa omfg Bienvenuuuue a toi lick lick 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 18:01

Bruce Willis rhaaaa omfg omagad mais quel excellent choix ! amen god/godess 
Bienvenue parmi nous & bon courage pour la suite bril bril les zieux I love you 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 18:30

Merci vous deux free hugs everyone! 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 18:57

bienvenue I love you 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 19:19

Merci Bonnie! lick lick 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 19:57

Bienvenue Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. 2145037518

ça fait plaisir de voir Bruce bril bril les zieux 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 20:10

Merci, ça fait plaisir d'être apprécié Very Happy 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyMer 3 Juil - 23:48

bruce willis, ça c'est du choix original bril bril les zieux
c'est toi qui a posté dans la partie invités? j'ai eu la flemme de vraiment lire, je suis en vacances donc je suis sur mon téléphone mais j'ai cru voir vaguement qu'on parlait de moi Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. 1826528627 n'hésite pas a me mpotter si tu as une idée de lien, j'essayerai de te répondre au plus vite What a Face 
bienvenue alors! I love you
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyJeu 4 Juil - 0:00

Oui, c'est moi l'invité insécure qui m'est finalement lancé pour ce perso!
J'en prends bonne note et je me disais que notre lien ne pourrais être autrement qu'une collaboration, mais on s'en reparle Very Happy 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyJeu 4 Juil - 12:07

Bruce, yeah. rhaaaa omfg 
Bienvenue sur BP ! I love you
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyJeu 4 Juil - 14:16

Merci Ethan Very Happy 
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Cillian R. Hartwood
Cillian R. Hartwood
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Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. 11896035_10207872670357691_3337258071826116419_n
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyJeu 4 Juil - 17:14

Bienvenue !
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyJeu 4 Juil - 17:16

Merci. J'adore ta célébrité amen god/godess 
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyVen 5 Juil - 10:42


Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

✈ Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

✈ Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles faire une demande de logement pour ne pas qu'il dorme à la rue et, une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.

✈ Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

✈ Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !

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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. EmptyLun 8 Juil - 11:45

Bruce Powaaa!

Avec un peu de retard bienvenue et bravo à toi pour avoir fait un tel perso!!
Il nous faut aussi un lien mon général :)
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MessageSujet: Re: Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein.   Jim | If you catch him, just give me four seconds with Saddam Hussein. Empty

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