bye bye, blackbird.

BULLETPROOF InvitéInvité

wallace ernest jernigan

no one here can love and understand me, oh, what hard-luck stories they all hand me

let me introduce myself.

NOM(S) : Jernigan, le poids d'un héritage sur les épaules. PRÉNOM(S) : Wallace dont il s’accommode, Ernest, qu'il évite de mentionner. AGE : Trente-trois ans. C'est tous les jours l'âge ingrat pour Wallace. LIEU DE NAISSANCE : Huntsville. ORIENTATION SEXUELLE : Minettes sans hésiter. SITUATION AMOUREUSE : Auparavant avide de chair, aujourd'hui trop abîmé pour imaginer se montrer nu devant une femme. SITUATION FINANCIÈRE : Très aisée. MÉTIER/ÉTUDES : Tout un tas de diplômes en finance et droit, héritier de Jernigan&Co., entreprise reconnue dans la construction d'avions de chasse. Depuis l'accident, ses parts du gâteau sont en danger. GROUPE : Living War ou Ignoring War ? J'hésite. AVATAR : Michael Baby Pitt. CRÉDITS : @tumblr.

⊱ this time i'll be bulletproof

Wallace, ce con. Cette ordure. Ce mec que tu aimerais poignarder, le matin, quand tu te réveilles et qu'il s'est barré. Le type derrière son armure Armani qui te joue la comédie, qui te chuchotes à l'oreille des mots doux et des mensonges délicieux. Le gamin à qui on a oublié d'apprendre à aimer, le môme qu'on a élevé, dressé, entraîné, comme le fils du roi, comme l'héritier. L'adolescence un peu rebelle, pour faire semblant, sans trace d'acné, cependant. Le goût de l'hypocrisie qui lui vient rapidement, le goût des choses fausses, mais faciles, le goût des billets qui lui tombent dans la main. Gâté, mais d'un mauvais biberon, ce n'est pas tant qu'il ait grandi tordu, mais plus qu'il ait grandi trop droit.

Écrasé dans son fauteuil, il allume une cigarette. Nonchalant, il essaie à peine de se tenir droit ; il s'écoule lentement le long du dossier. Trente-deux ans qu'on lui dit de lever le menton. Il insulte son père, deux, trois fois. Seule la cendre qui s'échoue sur le sol lui répond, un silence.
Il aime l'odeur de la nicotine sur ses doigts après avoir fumé. Les effluves s'éternisent sous son nez, et un instant il croit s'attarder sur le parfum d'une femme nue. Tel le chasseur il les traque, tel le pêcheur il les attrape, tel le connard il les efface. Une bouffée de cancer pour mettre les conquêtes au passé. Assujetti à un trône à roulettes, il n'est plus que le roi d'une maison vide.
Certaines nuits, lorsque son esprit se calme et divague doucement, il se glisse hors de la maison, sur la terrasse, et ferme les yeux, baignant son âme d'un parfum de pelouse mouillée. Cet instant qu'il oubliera une fois le soleil levé, lorsqu'il sera reparti dans son palais d'acier, derrière sa carapace d'homme brisé.
Parfois, il se surprend à effleurer le grand piano. Ses doigts s'agitent, il les retient. Jouer c'est vivre. Wallace ne se sent pas vivant. C'est dans un corps mort qu'il est piégé.
Tiraillé entre deux hommes, perdu dans le désordre des questions existentielles qu'il ne s'est jamais posé, son père étant trop désireux d'y répondre à sa place. Faudrait-il se laisser aller aux soirs de pluie, au soulagement d'être soutenu, à la douceur de l'accalmie, aux prunelles de Reeves ? Ou serait-il préférable d'être fort, d'être fier, d'être capable de sacrifier son existence pour un nom sur un coffre de banque ?
Dans le monde étrange où vit Wallace Jernigan, il est malheureusement plus facile de chialer dans son coin que de se laisser aller à une main qui se tend.

⊱ i was meant to be a warrior Il lit énormément, et de tout.

Depuis l'accident, il n'a plus le droit de fumer et se sent comme un ado lorsqu'il allume une clope en secret.

Comme il ne peut plus faire de sport, il a décidé de ne plus manger pour ne pas grossir. Il n'a pas faim de toute façon.

Il a gardé un scarabée mort dans une boite d'allumettes avec lui, depuis tout gamin, sans vouloir en parler à qui que ce soit.

Il a un petit frère et une petite sœur. Sa sœur a coupé les ponts avec sa famille dès ses dix-huit ans, son frère le remplace aujourd'hui comme second à la tête de Jernigan&Co.

Il joue du piano comme un dieu, mais n'a l'impression de s'amuser que lorsqu'il est seul.

Il a beaucoup composé mais personne n'a jamais rien entendu.

Quand il avait des jambes en état de fonctionnement, il était plutôt bon au lit, quoiqu'un peu mécanique. Il a toujours été question de performance plus que de plaisir.

Il est entré au collège à New York, en internat et n'était jamais revenu à Huntsville jusqu'à aujourd'hui.

Il s'est souvent dit qu'il avait pitié de sa mère mais ne s'en est jamais senti proche ; son modèle a toujours été son père.

Son père a quitté le Pays de Galles à dix-neuf ans pour aller faire fortune aux Etats Unis. Il a réussi.

Il sait que ses parents ont divorcé quand le dernier Jernigan a quitté la maison, mais ne sait pas ce que sa mère est devenue.

Le manoir est la première acquisition de son père, lorsqu'il a fait fortune en Alabama.

Jernigan&Co. est basée à New York mais ses usines sont en Alabama.

Wallace n'est jamais tombé amoureux, si ce n'est de sa prof de sciences en primaire.

Il a eu une mauvaise phase en arrivant à New York, mais ça lui est rapidement passé lorsqu'il est rentré dans les rangs du pensionnat.

Il trouve ça con, mais le chien qu'il avait à New York lui manque beaucoup.

dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : blomkvist. FILLE OU MEC ? : Super Nana. AGE : Bientôt vingt ans, la cata. FRÉQUENCE DE CONNEXION: Quotidiennement. SCENARIO OU INVENTÉ ? : Inventé. COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : J'étais inscrite à l'ouverture, et je reviens de temps en temps. J'espère que cette fois-ci sera la bonne. LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : OUI. LE CODE DU RÈGLEMENT : shoot me down, but i won't faaaall. SOUHAITEZ-VOUS ETRE PARRAINÉ ?: Non merci. I love you

SOUHAITEZ-VOUS REJOINDRE LA ROUE DU RP : Pas dans l'immédiat. LE MOT DE LA FIN : J'arrive avec ma presque chère et tendre, Marla, ne lui sautez dessus qu'avec modération. héhéhéhéhé

Code:: [b]michael pitt[/b] wallace jernigan

BULLETPROOF InvitéInvité

⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…

La poule à côté de lui glousse à chaque virage et ses cheveux lui rentrent dans la bouche. Il fait semblant de s’en amuser, mais son pied s’écrase sur l’accélérateur, furieusement ; ce n’est pas assez.
Ils ont bu, et elle s’en fout ; elle ne réalise pas. L’ivresse de l’alcool et de la vitesse, le souvenir de son corps nu contre le sien, ses vingt ans contre le siège passager ; elle s’envole.
Alors qu’elle a déjà fermé les yeux et que la peur remplace doucement l’euphorie, il attend encore la béatitude. Et son pied sur la pédale, plus fort, encore.
Chaque jour c’est plus difficile. Les clopes, l’alcool, les nanas, les jolies caisses, ça ne lui arrache plus de frisson. Il lui en faut toujours davantage.
Dans le sang du soleil levant, il s’abandonne, et tel Icare, il s’y brûle les ailes.

Huit heures trente, un lundi.
L’Audi étincelante de lumière s’écrase contre un chêne. Le corps de la blonde s’abat dans l’airbag passager. La carcasse usée d’un Wallace en chiffon traverse le pare-brise.
Crac crac. Une vertèbre.
On lui coupe les ailes.

Trois petits Jernigan dans la grande maison de Harvest.

Wallace sait qu’il sera le premier à partir. Il ne se sent pas encore poulain d’élevage, mais connait parfaitement la chanson : bientôt, on l’enlèvera à Huntsville et on lui demandera de déployer ses grandes ailes peignées devant le gratin newyorkais. Objet de publicité, il est à son père un atout financier, une assurance vie sur deux pieds. Les deux autres, les plus petits, caprices d’une mère au foyer délaissée, sont là au cas où.
Wallace est le plus grand. Wallace héritera.

L’école publique préserve son innocence, un temps. Tout gamin, il tombe amoureux de sa prof de sciences et lui apporte des insectes, coincés sous les verres de cantine. Puis la sortie au zoo, les corbeaux autour de la base, les poissons d’aquarium dans le salon, les poneys du voisin.
Sur les partitions qu'on l’oblige à travailler, son esprit s’envole. Sa machine à rêves, trop bien huilée d’espoirs d’enfants, tourne vite, et l’emporte loin du manoir, loin de l’ombre des notaires qui l’attendent, à la fin du chemin Jernigan.
Il veut devenir vétérinaire, partir en safari, élever des chevaux sauvages, s’envoler dans un coucou et adopter un hérisson.

A sept ans, tout bien fringué, il accueille son père à Huntsville. Une visite mensuelle à laquelle il semble tenir, mais le rapace en fait une perquisition plus qu'une entrevue. Les gamins, dociles, sont apprêtés comme pour un concours de beauté. Et Wallace, fier comme un coq, empli d’une confiance candide et passionnée, se jette dans le panneau et raconte à son père - son modèle - ses rêves les plus fous.
Deux claques plus tard, on a cassé la machine à rêves. Wallace Jernigan sera chef d’entreprise.

A trente-trois ans, l’enfant prodigue pisse dans une poche et ne peut plus enfiler ses chaussettes.

Après l’accident, on règle ses infractions pour lui ; la minette a survécu, on lui cloue le bec. Rapidement, on étouffe l’affaire, puis on l’étouffe lui. Son père, ses avocats, ses grandes silhouettes noires qui l’étranglent, le noient à Huntsville, dans la grande maison qu’ils ont quitté, un par un, comme ils y sont arrivés.

Exilé sur le sol au milieu des huées, ses ailes de géant l’empêchent de marcher.

Les types en blouse parlent de rémission miracle lorsque, pour la première fois en trois semaines, sa vessie le taquine. Il aura le droit de remonter sur la cuvette des toilettes, ou du moins d’y être porté.
La nouvelle le réveille un peu, il s’extirpe du coma protecteur dans lequel il s’était caché. Persuadé que la paralysie n’est que passagère, il s’imagine déjà reparti, au volant d’une nouvelle bagnole, avec la rousse de la réception au bras.
Gentiment, on lui expliquera qu’il n’y aucun signe d’activité neurologique dans ses jambes.
Il se laisse crever.

Les médecins s’enchaînent et se lassent, on vient moins souvent.
Et dans un dernier élan d’espoir, de stupidité, il attrape un couteau et se taillade une cuisse, chialant de voir les gouttes écarlates rouler sur ses mollets sans les sentir. Son cœur hurle, lui sort par la gorge ; il s’égosille d’une douleur qui ne perçoit pas. Il s’en va.
Wallace quitte son corps inerte et puant, c’est agréable de se laisser porter dans les vagues de l’évanouissement.

Wallace l’économiste rate l’artère fémorale. Wallace le gamin a peur de crever. Wallace Jernigan est un peu con, aussi, d’avoir foutu sa vie en l’air. Alors comme la vie n'en a pas terminé avec le gamin, on lui fout deux trois baffes, et on le ranime. On le remet dans son fauteuil, on lui recoud la jambe, on lui dit que quelqu’un reviendra s’occuper de lui.
La tête acquiesce. L’homme s’en fout.
Enfermé dans sa tête comme Hadès aux enfers, il n’est qu’haine et regrets.

Il est des parfums frais comme des chairs d’enfants, doux comme les hautbois, verts comme les prairies.

Marla.
Il ne l’appelle pas par son prénom. Il ne l’appelle pas tout court. C’est à peine s’il la regarde ; il ne voudrait pas qu’elle le voie. Mais elle ne fait que ça, l’infirmière. Elle le dévisage, l’empoigne avec les yeux, ne lui laisse aucune issue. Ses iris dorés le suivent partout, enjambent même les tasses de thé qu’elle emporte partout avec elle. Elle lui en propose souvent, il s’obstine à refuser ; le thé lui donne envie de pisser, et pour pisser, il faut qu’il lui demande son aide.

Sans trop avoir le choix, il s’est fait à sa présence. Sans même y avoir été invitée, elle fait comme chez elle, et finalement, ça ne le dérange pas tant que ça. Elle farfouille partout, dans les tiroirs, dans sa tête à lui, surtout. C’est comme si, discrètement, elle essayait de récupérer des bribes de souvenirs, là-bas derrière, tout au fond de son ciboulot.
Quand il ne se laisse pas prendre au jeu, il en devient venimeux.

Marla, elle a l’air de s’accrocher. Venir chez Wallace, c’est un peu comme faire un rodéo qui durerait cent ans. Il hurle, la met à la porte. Il s’en veut d’être aussi amer, ça le bouffe. Puis la voix de Jernigan Père qui gueule, dans sa tête, l’empêchant de se laisser aller à un sentiment aussi bas que la culpabilité.
Elle est belle quand elle l'engueule.
Tiraillé. Perdu. Aveugle.

Il n’est plus mort et ça fait mal.

OH MON DIEU OH MON DIEU OH MON DIEU ! Michael Pitt omagad

On le voit jamais sur les forums ! Je t'aime déjà omagad

J'ai hâte de lire son histoire, mais déjà avec ce que tu as écrit ça promet niark niark niark

BULLETPROOF InvitéInvité

Je suis contente de voir que Michael Pitt ne passe pas inaperçu. héhéhéhéhé

En face d'Amber Heard (ET d'un bébé chien fluffy), je m'incline.
Merci en tout cas. zieux qui brillent

BULLETPROOF InvitéInvité

La presque chère et tendre. J'adore. héhéhéhéhé

Et j'vois que tu es rasé de près sur ton avatar, on s'demande grâce à qui. Rolling Eyes

Si je comprends bien, on doit te souhaiter une re-bienvenue ? :)

Donc, re-bienvenue !

BULLETPROOF InvitéInvité

Citation :: elle n'a d'yeux que pour les éclopés, les malmenés, les oiseaux tombés du nid.

Wallace le moineau écrasé contre une vitre. zieux qui brillent

Je t'aime bien, toi.

Octavia, c'est méga chouette de voir Abigail sur un forum (et je crois savoir que tu es là depuis longtemps avec Cillian, non ?)
Merci. I love you

Elle est si rare et c'était mon "envie" du moment :)

Yeap ! Depuis le début aussi :)

Wallace Jernigan a écrit:: Je suis contente de voir que Michael Pitt ne passe pas inaperçu. En face d'Amber Heard (ET d'un bébé chien fluffy), je m'incline.
Merci en tout cas.

Nan mais ce chien omagad

tout le monde s'incline devant son adorabilité (oui j'invente des mots) Merci pour les compliments bye bye, blackbird. 1553171811

BULLETPROOF InvitéInvité

Bienvenue

BULLETPROOF InvitéInvité

Merci.

BULLETPROOF InvitéInvité

AAAAH BOARDWALK EMPIRE ! C'est toute ma vie xD

Je ne peux qu'adhérer à ce choix de vava de fou !! rhaaaa omfg

Bienvenue par ici ! bril bril les zieux

Bienvenue parmi nous. bye bye, blackbird. 2145037518

rebienvenue bye bye, blackbird. 2145037518

avec ce choix d'avatar de .. fou. bye bye, blackbird. 3266668385

je sens que je vais suivre avec intérêt le duo Wallace/Marla. mia cara la la la

PITT MON DIEU QUE JE L'AIME bril bril les zieux

Et puis toi aussi je t'aime pour le choix d'avatar, de noms, de tout. Ton personnage promet du lourd amen god/godess

Bienvenue parmi nous I love you

BULLETPROOF InvitéInvité

J'ai pas vu Boardwalk Empire encore, mais c'est sur ma liste. héhéhéhéhé

Vous êtes tous adorables, je m'attendais vraiment pas à ce que Pitt soit connu et c'est chouette. Je vous aime, to the moon and back. omagad

Merci.

BULLETPROOF InvitéInvité

rebienvenue bye bye, blackbird. 2145037518

BULLETPROOF InvitéInvité

Merci.

Sarah Drew est un excellent choix, cette fille est géniale. zieux qui brillent

Quelle plume omagad

Bienvenue parmi nous ! rhaaaa omfg

J'ai hâte de lire vos rp bril bril les zieux

Je te mets dans les Ignoring War bye bye, blackbird. 2145037518

Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles ajouter ton quartier de résidence dans ton profil ainsi que ton métier.

Maintenant que ton personnage n'est plus à la rue, à toi de créer ton petit réseau d'amis et d'ennemis; alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. Tu peux également rejoindre la roue du rp ici.

Si ton personnage a besoin d'un camarade, d'un amoureux ou d'un tout autre lien essentiel à son évolution, n'hésite pas non plus à créer ton propre scénario; BP offre aussi un système de boîte à liens vers lequel on t'invite à te tourner. Il est tout aussi important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

Enfin, histoire de compléter ton intégration totale au sein de la vie de BULLETPROOF, tu peux toujours t'inscrire dans la partie parrainages afin de devenir le petit protégé d'un des ~~dinosaures~~ anciens du forum.

Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré! Mais, il reste une étape importante: le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais-toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !

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» blackbird ✈ Jace

bye bye, blackbird.

bye bye, blackbird.

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