Sujet: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Sam 14 Fév - 23:31
Catania Skye-Dawn Freedman
" Your heart is so beautiful and someday someone is going to love that heart like it deserves to be loved. "
(Colleen Hoover)
let me introduce myself.
NOM(S) : Son nom d'épouse est Freedman mais elle est née Henderson. PRÉNOM(S) : Catania est son premier prénom inscrit sur sa carte d'identité et tous ses papiers mais depuis son plus jeune âge, on l'appelle par son deuxième prénom: Skye-Dawn. De plus, le plus souvent, on l'appelle simplement Skye et ça lui convient très bien. AGE : trente-quatre ans. LIEU DE NAISSANCE : Birmingham (Alabama, USA). ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. SITUATION AMOUREUSE : veuve, le cœur en mille morceaux... SITUATION FINANCIÈRE : assez pour vivre, s'offrir quelques petits plaisirs et donner un peu aux plus nécessiteux. MÉTIER/ÉTUDES : Infirmière libérale mais actuellement dans l'incapacité totale d'exercer ce métier qu'elle aime tant. Elle a donc trouvé une place en tant que serveuse dans un bar histoire de gagner sa vie. GROUPE : living war. AVATAR : Sarah Drew. CRÉDITS : gifs de dailyaprilkepner & claire-helps (tumblr).
⊱ this time i'll be bulletproof
Prendre soin des autres ; il semblerait que ce soit quelque chose qui a toujours été dans les gènes de Skye. Dès son plus jeune âge déjà, elle recueillait les animaux blessés pour les soigner puis leur redonnait leur liberté. C’est donc tout naturellement que plus grande, la jeune fille s’est tournée vers la profession d’infirmière. D’ailleurs, si elle n’était pas devenue infirmière, elle aurait sûrement choisi le métier de vétérinaire. Son métier est la parfaite illustration du caractère de la jeune femme. Empathique et bienveillante, elle est toujours là pour les gens quand ils ont besoin d’aide ou besoin de parler. Dévouée, attentionnée et consciencieuse, elle n’a jamais hésité à faire des heures supplémentaires quand le bien-être de ses patients le nécessitait. Sans arrêt le sourire aux lèvres, elle semble toujours de bonne humeur aux yeux du monde et n’aime pas montrer quand quelque chose ne va pas. Altruiste et généreuse, faire attention aux besoins des autres est une seconde nature chez elle et, s’il y a bien quelque chose qu’elle ne supporte pas, c’est de voir les inégalités entre classes sociales. Malheureusement, contre cela, elle ne peut pas faire grand-chose seule… Pour terminer, il est important de mentionner que Skye est quelqu’un de fidèle, douce, honnête et loyale et elle attend souvent que les autres le soient aussi. Malheureusement, sur ce point-là, elle a déjà été de nombreuses fois déçue…
Parlons maintenant un peu de ses défauts car malheureusement, personne n’est parfait et puis, ce serait bien ennuyant d’avoir à faire à quelqu’un de parfait… Le premier défaut de Skye est sans aucun doute le fait qu’elle soit très rancunière. Elle a énormément de mal à pardonner aux personnes qui ont fait à elle ou à ses proches du mal. Outre cela, elle est également très nerveuse, anxieuse et pessimiste notamment dans son métier. Faire une erreur est sa plus grande hantise et cela crée chez elle un tic de vérification. Il lui arrive même quelques fois de vérifier jusqu’à dix fois une préparation ou son matériel… Elle ne laisse jamais place à l’imprévu et a tendance à perdre ses moyens dans ce genre de situations. Heureusement, quand ça arrive, l’adrénaline de l’urgence/ du danger lui permet d’y faire face tant bien que mal… Enfin, c’est quelqu’un qui a une très grande sensibilité ce qui peut être un défaut comme une qualité selon les moments chez elle ; elle est également très susceptible et a son caractère quand on la cherche un peu trop, elle n’est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds sans rien dire.
Tout cela résume bien le caractère de Skye. Cependant, depuis six mois et la mort de son bien-aimé mari, tout a changé. La jeune femme a perdu son éternel sourire et sa joie de vivre. Tout ce qu’elle fait paraît lui coûter et elle semble souvent être ailleurs. L’envie ne lui manque pas de s’enfermer chez elle mais elle ne veut pas que les gens lui posent trop de questions car c’est quelque chose qu’elle déteste alors elle se force à sortir, à voir ses amis pour ne pas qu’ils s’inquiètent. Cependant, cela n’empêche pas ces derniers d’être inquiets quand ils la voient si renfermée alors que d’habitude elle est très sociable. Ils se retrouvent désarmés et impuissants face à elle et ne savent pas de quelle manière l’aider. Aborder le sujet de son mari est impossible et finit toujours pas créer un conflit : Skye se renferme encore plus qu’elle ne l’est déjà, devient inaccessible et s’en va sans demander son reste et en claquant la porte. Il faut dire que la jeune femme a toujours eu du mal à parler de ses propres problèmes avec les autres…
⊱ i was meant to be a warrior Skye est arrivée à Huntsville pour rejoindre Paul, son meilleur ami (et futur mari) entré à l’armée. Au départ, ils avaient prévu de quitter Birmingham ensemble mais la déclaration de la maladie d’Alzheimer chez la mère de Skye l’a fait rester plusieurs années de plus dans sa ville natale. Elle est donc arrivée à l’âge de vingt-neuf ans à Huntsville soit en 2009 alors que Paul y était installé depuis 2002. La jeune femme a eu une hernie discale à l’âge de dix-neuf ans causée par un mouvement brusque lors du transfert d’un patient pendant un stage lors de sa première année d’études. Depuis, elle est obligée de faire très attention à son dos et a souvent des douleurs à ce niveau lorsqu’elle s’installe dans de mauvaises positions. Elle va d’ailleurs souvent chez le médecin à cause de ça ce qui l’énerve au plus haut point. Prendre soin de sa mère, atteinte de la maladie d’Alzheimer a été quelque chose de très éprouvant pour Skye. Ayant toujours rêvé d’avoir des enfants, cette période l’a fait beaucoup réfléchir et a bousculé certaines de ses convictions et envies ; elle avait peur de devenir un jour un poids pour ses enfants… Elle refusait de leur faire subir ça. Les retrouvailles avec Paul et leur mariage l’ont fait changer d’avis : elle voulait un bébé, avec lui et ce dernier aussi voulait un enfant avec elle. Ils avaient alors commencé à compter les cycles pour avoir le plus de chances possible mais Paul avait été envoyé en mission et il y était mort laissant derrière lui une Skye inconsolable… Depuis six mois, Skye n’a plus mis les pieds dans la chambre conjugale. Elle dort tous les soirs dans le canapé et a refait un semblant de garde-robe histoire d’avoir de quoi se mettre car tous ses vêtements se trouvent dans la chambre qu’elle partageait avec Paul et elle est bien incapable d’y mettre les pieds Depuis six mois, Skye va chez le psychologue. Celui-ci l’assure des progrès qu’elle fait mais elle a plutôt l’impression de faire du sur place. La douleur lui vrille toujours le cœur et elle a l’impression qu’elle ne s’en remettra jamais. Le jour de son mariage, en septembre 2010 restera sans aucun doute le plus beau jour de sa vie. En ce moment, elle est complètement perdue ; elle ne sait pas si elle veut rester à Huntsville ou non, elle a juste besoin de réfléchir de manière rationnelle ce dont elle est bien incapable pour le moment. De toute façon, elle n’a pas vraiment autre part où aller et puis cette ville est sans aucun doute la ville où elle a les plus beaux souvenirs… Son voyage de noces se résume en un week-end à Paris car Paul et elle-même étaient pris par des obligations professionnelles, ne pouvant pas prendre plus de congés. Cependant, ce fut un week-end magique et Skye ne changerait cela pour rien au monde. Depuis six mois, elle est en arrêt maladie, bien incapable d’exercer en tant qu’infirmière libérale. En effet, la plupart de ses patients sont des soldats en rééducation et elle ne peut s’empêcher, bien malgré elle, de leur en vouloir d’être vivants alors que l’homme de sa vie est mort. Elle se déteste de penser ça et ne se reconnaît plus. Elle a elle-même demandé cet arrêt de travail. A la place, elle a trouvé un emploi de serveuse dans un bar pour continuer à exercer une activité car elle sait bien qu’autrement, elle resterait à se morfondre chez elle. Pourtant, ce métier est loin de la motiver à se lever chaque matin et elle espère pouvoir bientôt retrouver ses patients et son métier adoré. La dernière fois qu’elle a vu son mari avant son départ en mission, cela s’est terminé sur une dispute idiote et Skye vit dans la hantise de savoir que peut-être, Paul est mort en lui en voulant. Cette idée a tendance à l’obséder. A la fin de son adolescence, elle a eu des problèmes avec l’alcool. Aujourd’hui elle est sevrée mais sait qu’une seule goutte pourrait la faire re sombrer. D’ailleurs, depuis la mort de Paul, l’envie ne lui manque pas de boire, boire et encore boire mais elle tente tant bien que mal de se battre contre cette idée même quand elle l’obsède car elle sait que de là-haut, sa mère serait furieuse si elle la voyait faire ça. Elle a un chat qui se nomme Precious ; c’est son petit bébé et c’est un peu grâce à lui qu’elle est arrivée à garder un brin d’espoir suite au décès de Paul. Elle a toujours envie de devenir mère mais elle n’envisage pour l’instant pas avoir un enfant de quelqu’un d’autre que Paul. Ses cheveux roux sont une de ses fiertés pourtant, ils furent à l’origine de bien des moqueries durant son adolescence. Aujourd’hui, elle en prend le plus grand soin. Elle déteste la foule, cela a tendance à lui donner des crises d’angoisse. N’est vraiment pas douée pour faire les créneaux en voiture du coup, la plupart du temps elle préfère se déplacer à pieds ou en vélo. Va à la piscine au moins une fois par semaine et pratique également l’équitation. N’a jamais été une grosse mangeuse.
dévoile-nous ta véritable identité soldat.
PSEUDO/PRÉNOM : sweet.heart FILLE OU MEC ? : fille. AGE : c'est impoli de demander son âge à une demoiselle . FRÉQUENCE DE CONNEXION: 4 ou 5j/7 en général; un peu moins en période de partiels/ révisions mais vous serez prévenus. SCENARIO OU INVENTÉ ? : inventé. COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : ça fait un bon bout de temps que je le connais J'ai été inscrite ici trois fois mais j'ai du partir pour des raisons personnelles ou pour un manque de temps... Mais cette fois j'espère bien ne pas vous quitter de si tôt... (pour les anciens qui se souviendront j'ai d'abord joué Deborah Roseberry avec Rose Leslie puis Amethyste Oswald avec Holliday Grainger et plus récemment Lila-Joyce Hastings avec KaDee Strickland...)LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : et plus que ça encore c'est fou comme les membres et le forum m'ont manqué même si je gardais toujours un œil dessus . LE CODE DU RÈGLEMENT : shoot me down but i won't fall. LE MOT DE LA FIN : happy valentine's day !
Code:
[b]sarah drew[/b] c. skye-dawn freedman
Dernière édition par C. Skye-Dawn Freedman le Dim 15 Fév - 21:44, édité 8 fois
BULLETPROOF
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Sam 14 Fév - 23:31
⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…
" The events of your life are all crammed together one minute right after the other without any time lapses or blank pages or chapter breaks because no matter what happens life just keeps going and moving forward and words keep flowing and truths keep spewing whether you like it or not and life never lets you pause and just catch your fucking breath " (Colleen Hoover)
" There are infinite numbers between 0 and 1. There's .1 and .12 and .112 and an infinite collection of others. Of course, there is a bigger infinite set of numbers between 0 and 2, or between 0 and a million. Some infinities are bigger than other infinities " (John Green)
C’était un jour d’été en 1980. Le jour de ma naissance. Il paraît que j’étais un bébé déjà très éveillé et que j’étais la plus belle des petites filles. Je ne dis pas ça pour me vanter. Je retranscris simplement les confidences de ma mère mais vous savez bien comme les parents trouvent toujours leurs enfants parfaits… Au fond, je devais bien être comme tous les autres bébés… Je suis fille unique, née d’une mère célibataire qui me donna le nom de Catania Skye-Dawn Henderson. Mais comme vous vous en doutez, je ne suis pas née dans les roses, je vais donc vous raconter l’histoire particulière de ma conception que me raconta ma maman bien des années après ce jour de ma naissance. Caitlyn Henderson, ma mère a toujours eu le désir profond d’avoir des enfants. Elle croyait également au prince charmant et a attendu pendant de longues années de faire sa rencontre. Malheureusement, le prince sur son cheval blanc n’est jamais arrivé… Ma mère est arrivée à la quarantaine se rendant compte qu’elle était peut être faite pour vivre seule… Mais il était hors de question pour elle de renoncer à son désir d’avoir un enfant. Elle a donc enchaîné les conquêtes espérant que la nature ferait bien les choses et c’est comme ça que je suis née. Ni ma mère, ni moi ne connaissons l’identité de mon père. Je pourrais blâmer ma mère pour cela mais ce n’est pas le cas car après tout, autrement je n’existerai même pas. Par contre, je me questionne souvent sur comment ma mère a bien pu faire pour enchaîner les relations ainsi sans sentiments pour ces hommes. Pour ma part, j’en serai bien incapable.
J’ai grandi en étant une petite fille choyée et surprotégée, peut-être trop. Jusqu’à l’âge de onze ans, j’ai suivi l’école à la maison, ma mère voulant à tout prix me protéger des vices de l’extérieur. Petite fille, ma mère était tout pour moi et j’étais tout pour elle. Nous vivions en quelque sorte dans un cocon, un cocon d’amour inconditionnel. Mon entrée au collège allait commencer à fissurer ce cocon pour le meilleur et pour le pire également. Je garde de très mauvais souvenirs de cette période. Non pas à cause d’un problème de difficultés scolaires mais plutôt à cause de la relation avec les autres. Les autres enfants ont souvent été cruels à mon égard pour trois raisons principalement. La première était ma couleur de cheveux d’ailleurs, je n’ai jamais vraiment compris pourquoi l’on blâmait ainsi les roux. La deuxième était la jalousie. Il faut dire que j’ai toujours eu de très bons résultats scolairement, ma mère avait bien travaillé avec moi les années précédentes. Selon mes professeurs, j’avais un esprit très vif et une grande curiosité intellectuelle. En effet, j’aimais apprendre et les livres sont rapidement devenus mes meilleurs amis. La troisième raison était ma gaucherie dans les relations sociales. J’étais parfois maladroite dans ma façon d’aborder les autres et surtout, j’étais loin de suivre les diktats de la mode juste pour les suivre et être comptée parmi les élèves « populaires ». Ainsi, je me retrouvais isolée sans le vouloir et cette situation me rendait triste. Le soir, en cachette, je pleurais mais jamais oh jamais je n’ai pleuré devant mes camarades de classe ni devant ma mère. J’avais un peu une part de caractère masculin dans ma tête sur le fait qu’il était hors de question pour moi de montrer ma faiblesse. Ainsi, j’aurais pu sombrer dans la hantise scolaire mais c’était sans compter sur Paul Freedman, un voisin. Il avait deux ans de plus que moi. La première fois qu’il est venu me parler c’était dans le bus du retour. J’ai été sur mes gardes pendant un long moment, persuadée qu’il devait avoir passé un de ces paris débiles avec ses copains pour venir me draguer puis me jeter comme une vieille chaussette. J’ai dû me montrer dure avec lui mais il est resté, n’exigeant absolument rien de moi. Il m’a raconté des ragots sur les personnes qui me rendaient triste. Je n’ai jamais su si ces ragots étaient la vérité ou pas et à vrai dire je m’en fichais totalement ; la seule chose que je sais c’est que Paul a gagné ma confiance, qu’il est devenu mon meilleur ami et qu’on ne s’est plus jamais vraiment quittés. Il était un peu l’ange gardien sur ma route… Il l’est toujours resté… Il l’est encore, j’en suis certaine. Notre amitié s’est cependant construite en cachette. En effet, nous avons appris quelques temps plus tard que nos parents respectifs se détestaient depuis plusieurs années, j’ai cru comprendre que ma mère avait jadis essayé de draguer le père de Paul mais je ne suis sûre de rien… Ce dont je suis sûre cependant c’est que les parents de Paul n’ont jamais accepté notre mariage. Ils n’étaient même pas présents le grand jour. Cela a d’ailleurs été une grande source d’anxiété pour moi. J’étais persuadée que Paul allait changer d’avis, qu’il ne voudrait plus se marier avec moi si ses parents n’étaient pas là. Après tout, c’est dans la tradition que les parents donnent leur bénédiction au mariage de leurs enfants. Mais Paul m’aimait plus que tout et il était bien décidé à m’épouser envers et contre tout… Pardon, je m’égare. Où en étions-nous déjà ? Ah oui… Passons maintenant à mon adolescence qui fut loin d’être calme. Grâce à Paul et à ses conseils avisés, je m’étais faite à la vie en société. Je m’étais fait un petit groupe d’amis que je pensais être des amis pour la vie…
L’année de mes seize ans est également une année que j’aimerais oublier… Une année riche de regrets. La rébellion. Comme beaucoup d’adolescents, je n’y passai pas à côté. Les fêtes, les notes qui baissent, la liberté ou du moins ce que je pensais être la liberté du haut de mes seize ans… J’ai envoyé à la figure de ma mère je ne sais pas combien d’insultes que j’aimerai ne jamais avoir dites. Et surtout, j’ai sombré dans l’alcool. J’enchaînais fêtes après fêtes, paris débiles après paris débiles. Je ne me rendais pas compte que mon groupe d’amis était devenu nocif. Je refusais d’ouvrir les yeux car j’avais l’impression d’être enfin reconnue à l’intérieur d’un groupe. A quel prix ? Même Paul, je ne l’écoutais plus. Et puis un soir j’eu un coma éthylique après avoir bu je ne sais combien de verres d’alcool fort et j’atterris à l’hôpital. Je me rendis compte que j’aurai pu y laisser la vie. Cette nuit, je ne l’oublierai jamais… Pire que ça, je découvris que j’étais devenue dépendante à l’alcool. J’ouvris les yeux petit à petit sur ces excès, ces erreurs et je coupais les ponts avec ce groupe qui m’avait déjà fait assez de mal avec mon consentement, bien sûr. Encore une fois, Paul fut là, à mes côtés lors de mes combats contre l’alcool et petit à petit une alchimie, une attirance naquit entre nous. Cependant, ni l’un ni l’autre n’osions franchir la ligne rouge de peur que cela ne gâche notre amitié. Or cette amitié était l’une des choses la plus importante pour l’un comme pour l’autre. La dernière chose à dire sur cette période de ma vie est qu’avec une grande dose de motivation et beaucoup d’acharnement et de combativité pour remonter la pente, je réussis à obtenir mon diplôme d’études secondaires sans avoir d’années de retard….
" I'm in love with you, and I know that love is just a shout into the void, and that oblivion is inevitable, and that we're all doomed and that there will come a day when all our labor has been returned to dust, and I know the sun will swallow the only earth we'll ever have, and I am in love with you. " (John Green)
" When I touch you, I’m touching you because I want to make you happy. When I kiss you, I’m kissing you because you have the most incredible mouth I’ve ever seen and you know I can’t not kiss it. And when I make love to you—I’m doing exactly that. I’m making love to you because I’m in love with you. "(Colleen Hoover)
Mon entrée en formation pour devenir infirmière fut une véritable fierté pour moi. J’avais la sensation de me réaliser comme je le voulais vraiment au fond de moi, enfin. Les études ne furent pas de tout repos, loin de là ; j’eu d’ailleurs à faire à une hernie discale pendant ma première année lors d’un stage qui m’obligea à m’arrêter plusieurs semaines. Mais la passion était là et avec la passion, on arrive à tout. J’obtins mon diplôme en 2001, à l’âge de vingt-et-un ans. Cette même année, j’appris que Paul souhaitait intégrer l’armée américaine. A cette époque, il était pompier. Au début, je cru que c’était une blague mais ça n’en était pas une. Il souhaitait aller s’entraîner sur la base de Redstone à Huntsville. Je savais ce que signifiait ce choix, les risques qui en découlaient mais qui étais-je pour l’empêcher de faire ce qu’il souhaitait ? Je n’en avais absolument pas le droit… Mais de toute façon, il était impossible que la mort nous sépare, je ne l’acceptais pas, je ne voulais pas l’envisager. Une attraction était toujours présente entre nous mais ni l’un ni l’autre n’avions encore eu le courage de sauter le pas. Nous avions peur de nous brûler les ailes. Quand il m’annonça son projet, je su directement qu’il était hors de question que je reste à Birmingham s’il partait ; je partirais avec lui… Je fis donc une recherche d’emploi sur Huntsville et obtint un CDD dans une maison de retraite. Tout se goupillait facilement… C’était sans compter une annonce qui allait bousculer ma vie et ma façon de voir les choses à tout jamais : ma mère alors à peine âgée de soixante-quatre ans était atteinte de la maladie d’Alzheimer. Mon cœur se retrouva alors tiraillé entre cette envie folle que j’avais de voler de mes propres ailes et le devoir que j’avais de rester auprès de ma mère. Je savais de part mes études que le pronostic n’était pas très bon et que ma mère n’en avait plus pour beaucoup d’années. Elle avait tout donné pour moi, pendant tant d’années… Je lui devais bien le même traitement… Je savais que si je ne restais pas à Birmingham, je serais culpabilisée ma vie entière. C’est ainsi que je fus séparée de Paul pendant près de sept ans… Bien sûr nous continuions à nous appeler, à nous écrire, à nous voir une ou deux fois par an (l’un comme l’autre ayant un emploi du temps surchargé) mais ce n’était plus pareil… Il me manqua à un point que je ne saurai décrire ici…
Pendant ces sept ans, j’eus quelques amourettes mais jamais rien de bien sérieux. Je pense que Paul en fit de même de son côté et à vrai dire qui l’en blâmerai ? Après tout, il ne s’était jamais rien passé entre nous… Nous étions juste amis… Ou plutôt meilleurs amis fusionnels. Je crois que c’est au cours de ces sept ans que mon cœur s’est rendu compte que je ressentais des sentiments bien plus forts à son égard mais je n’ai jamais osé m’en confier. A vrai dire, j’avais bien trop la trouille ; la trouille que lui aussi ait des sentiments similaires et que mon cœur ne puisse plus vivre loin de lui une seconde de plus. Or, je me devais de rester auprès de ma mère. Je devais écouter ma raison et non mon cœur et pour tout dire, je ne regrette pas ce choix que j’ai fait alors que j’avais vingt-deux ans. A cette époque, j’avais trouvé un emploi dans un service de réanimation. Le métier d’infirmière me passionnait toujours autant mais je commençais à me languir de la partie relationnelle de la profession. En effet, en réanimation, j’étais servie au niveau technique mais beaucoup moins au niveau du relationnel avec les patients… C’est pourquoi, en 2004, je demandais de changer de service, demande qui fut acceptée. J’intégrais alors un service de cardiologie. J’y resterai jusqu’à mon arrivée à Huntsville en 2009.
Parlons maintenant de la partie phare de ces années de ma vie : la démence de ma mère. Je resterai auprès d’elle jusqu’à sa mort ; il était hors de question pour moi de lui faire intégrer un établissement spécialisé. Je me sentais assez forte pour l’aider… Pendant sept ans, je m’oubliais un peu au profit de ma chère mère. J’étais retournée m’installer chez elle alors que depuis le début de mes études, je louais un petit studio. Chaque matin, je me réveillais, la peur au ventre de savoir si elle allait encore se souvenir de moi ; chaque soir, je m’endormais, anxieuse de savoir comment j’allais retrouver ma mère le lendemain. Je ne savais pas à quelle vitesse allait évoluer la maladie et ça me rendait folle. J’aurai voulu savoir à l’avance quand elle allait perdre telle ou telle capacité mais malheureusement, ce n’est pas ça la vie. La vie ne peut pas être planifiée… La vie est faite d’imprévus. Mais s’il y avait bien une chose que je savais, c’est que le diagnostic d’Alzheimer était irrémédiable ; alors, dès le début, j’avais voulu dire toute la vérité à ma mère ; réparer tous les mensonges, tous les non-dits… Je lui avais dit pour notre amitié avec Paul, je lui avais dit mes bêtises d’adolescente… Je me devais d’être honnête avec elle… Je lui avais également demandé très tôt de prendre rendez-vous avec un notaire pour rédiger son testament et je lui avais dit que je ne comptais pas faire ma vie à Birmingham. Ne croyez pas là que je souhaitais sa mort pour être débarrassée d’elle, loin de là ; je l’aimais, plus que tout mais je n’avais pas envie d’avoir à me battre avec les histoires d’héritage après sa mort. De plus, je ne voulais pas lui cacher des choses ; je savais qu’elle détestait le mensonge. Je lui ai donc tout dit, la manière dont allait évoluer la maladie, son espérance de (sur-)vie. Je crois qu’elle a été horrifiée en entendant cela mais je lui ai promis de rester à ses côtés alors, elle a décidé de profiter de chaque moment de lucidité que la vie lui offrait jusqu’à ce qu’elle ne se souvienne plus de rien, même pas de son nom… Ça a été les moments les plus durs pour moi. Devoir répéter, chaque jour, puis plusieurs fois par jour qui j’étais, qui elle était, comment faire ci ou ça… Ça m’éreintait… Et puis un soir, dans un dernier éclair de lucidité, ma mère m’a dit qu’elle voulait que je me concentre sur une chose : être heureuse parce que je le méritais. Je n’ai pas su déceler que c’était là le dernier moment que nous passions ensemble. Mais c’était magnifique. Nous avons passé la soirée, main dans la main presque sans dire aucun mot… Ma mère est partie dans la nuit, dans son sommeil ; elle avait soixante-et-onze ans. Nous étions en mai, sept ans après le diagnostic de la maladie.
Quatre mois plus tard, j’arrivais à Huntsville pour enfin retrouver Paul. J’avais réglé toutes les affaires qui me retenait à Birmingham et j’avais décidé, grâce à mes économies et une partie de l’argent de ma mère de m’installer en tant qu’infirmière libérale. Je croisais les doigts pour obtenir la confiance des habitants…
" The sky is always beautiful. Even when it's dark or rainy or cloudy,it's still beautiful to look at....it'll be there no matter what...and I know it'll always be beautiful. " (Colleen Hoover)
" If my love were an ocean, there would be no more land. If my love were a desert, you would see only sand. If my love were a star-late at night, only light. And if my love could grow wings, I'd be soaring in flight. " (Jay Asher)
A mon arrivée à Huntsville, je trouvais un petit studio en location. Malheureusement, je n’y restais pas longtemps car je me rendis vite compte que j’avais besoin de plus de place pour pouvoir réserver une place aux documents et dossiers liés à mon travail. J’emménageais alors dans un plus grand appartement. J’y vécu pendant quatre ans. Que dire sur mes retrouvailles avec Paul ? Si je devais les résumer en un seul mot, je dirais : MAGIQUE. Je crois que nous avons retrouvé tout naturellement une belle complicité, comme si nous ne nous étions jamais réellement quittés. Paul me confia, plus tard qu’il avait tout de suite vu que j’avais gagné énormément en maturité ; il avait quitté une jeune fille tout juste sortie de l’adolescence et il avait retrouvé une vraie femme. Mais j’étais toujours la même Skye au fond de moi… De mon côté, je l’avais également trouvé changé ; tout d’abord, il était plus musclé, résultats de mois d’entrainement sans aucun doute mais, j’avais surtout remarqué qu’il semblait plus réfléchi, agissant moins sur coup de tête qu’auparavant… Mais pour moi, il était toujours Paul, mon meilleur ami, lui à qui je pouvais absolument tout dire… Encore une fois, il eut le rôle de l’ange gardien avec moi, apaisant la peine que mon cœur avait suite à la mort de ma mère. Et les plus beaux pansements dont mon cœur pouvait rêver étaient les baisers de Paul.
Je n’ai pas envie de partager ici le moment où Paul et moi nous sommes avoués notre amour. Je peux juste vous dire que ça a eu lieu seulement quelques semaines après mon arrivée à Huntsville. L’alchimie entre nous est revenue presque immédiatement et je crois que dorénavant, ni l’un ni l’autre n’avions envie de nous donner de limites. Nous étions fous, fous d’amour l’un pour l’autre et nous voulions tenter le coup. Nous voulions surtout ne jamais avoir de regrets. La vie est bien trop courte… Je me rappellerai sans doute à tout jamais de la phrase qu’a prononcé Paul juste avant que ses lèvres ne se posent pour la première fois sur les miennes : « On a déjà perdu assez de temps.. » Notre amitié fusionnelle ne disparut pas pour autant, loin de là… Mais contrairement à ce que j’aurais pu penser, notre histoire d’amour ne fut pas passionnelle. Nous avançâmes pas à pas, construisîmes brique après brique en réfléchissant comme les bons adultes que nous étions dorénavant. Nous ne voulions pas que notre histoire tourne au carnage… Il continuait à vivre à la base, moi à occuper mon appartement. Nous nous voyions presque tous les jours mais nous n’avions pas une relation étouffante l’un envers l’autre. Aux yeux du monde, nous étions simplement meilleurs amis mais dans le secret de nos cœurs nous étions passés à bien plus que ça. Peu avant Noël 2010, il me demandait en mariage et j’acceptais, folle de bonheur. Ni l’un ni l’autre ne voulions d’un grand mariage, nous voulions simplement nous marier dans la simplicité, avec nos proches amis. Le plus important n’était pas le nombre d’invités, le plus important était l’amour que nous avions à nous offrir l’un à l’autre. Le mariage eut lieu en septembre 2010, il n’y avait pas plus qu’une cinquantaine de personnes mais ce jour restera le plus beau jour de ma vie. En mai de l’année suivante, nous réussîmes à nous libérer pour nous offrir deux jours de voyage de noces à Paris. J’avais toujours rêvé de visiter Paris, Paul avait fait de mon rêve une réalité…
Les départs en mission de Paul étaient une vraie déchirure pour moi. J’avais sans cesse peur qu’il revienne blessé ou pire, mort. J’avais bon nombre de patients qui étaient des militaires en rééducation et c’était peut-être égoïste mais je refusais que Paul vive la même chose. Je crois que je ne l’aurais pas accepté, pas aussi peu de temps après notre union. Le mariage passé, il nous restait les étapes de la vie en commun et du bébé à franchir et j’avais une envie folle de franchir ces étapes avec lui, même si j’avais été mitigée quelques temps sur l’idée du bébé. En effet, j’avais peur d’être plus tard une charge pour mes enfants… Pourtant, Paul m’avait vite fait changer d’avis ou plutôt avait apaisé mes craintes. En 2013, nous aménagions donc ensemble dans une petite maison dans le quartier Providence, maison que j’habite toujours aujourd’hui. Paul venait tout juste de rentrer d’une mission de six mois… Il m’avait confié ne pas avoir envie de repartir de sitôt, qu’auparavant, il voulait profiter de la vie avec moi, fonder une famille. Mais l’année suivante il m’apprit qu’il allait repartir en mission… Je me suis disputée avec lui pendant de long mois lui disant qu’il ne pouvait pas alors que nous étions en plein projet pour avoir enfin notre premier bébé, la chair de notre chair, le sang de notre sang. Mais malgré tout l’amour qu’il me portait, il ne pouvait pas envisager de quitter l’armée, après tout, c’était devenu sa famille… Il adorait son métier, il s’y donnait à 100%. Tout ce qu’il faisait, il le faisait à 100%. Alors il est parti, quand même. Juste avant son départ, on s’est disputés, une nouvelle fois. Je lui en voulais, je m’en voulais et j’avais peur. Peur de découvrir que j’étais enceinte alors qu’il n’était pas là, je me sentais incapable de vivre une grossesse sans lui à mes côtés… Deux mois plus tard, en août 2014, j’appris sa mort. Mort au combat, mort en héros. Il reçut les hommages de la nation, cela n’apaisa en rien ma peine… Je ne sais même plus combien de jours je suis restée enfermée chez moi, chez nous, à pleurer quand j’ai appris la nouvelle. Je me rappelle juste m’être obligée à me lever, à m’habiller, à faire bonne figure quand son corps a été rapatrié. Une nouvelle fois, ses parents ne m’ont pas adressé un seul bonjour, ça me faisait mal mais je n’avais pas les forces de me battre. Alors j’ai laissé couler, comme anesthésiée…
Six mois plus tard…
La peine est toujours là, lancinante mais j’essaie de me relever pour Paul, pour maman. Etre heureuse… En suis-je encore capable ? Je n’en sais rien. Je suis déjà incapable d’exercer mon métier, ce métier dans lequel je m’accomplissais, c’est devenu trop dur pour moi surtout dans cette ville où la majorité des personnes que je soigne sont des soldats ou de la famille de soldats. Alors à la place, je suis serveuse dans un bar, j’essaie de sourire aux clients, tant bien que mal même si le cœur n’y est presque jamais, j’essaie de faire bonne figure auprès de mes amis pour ne pas qu’ils s’inquiètent. Oh et puis, je vois un psy mais je n’en vois pas vraiment les effets… J’ai toujours cette hantise au fond de moi de me dire que Paul est peut-être mort en m’en voulant… L’ange gardien qui était toujours là lors de mes épreuves est parti et je ne sais pas si j’arriverai à surmonter cette épreuve sans lui mais promis, je vais essayer… Car la vie est trop courte pour la gâcher… Mais le chagrin du cœur est parfois plus fort que la raison… Et souvent, j’ai l’impression que c’est peine perdue, que le chagrin gagnera…
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Dernière édition par C. Skye-Dawn Freedman le Lun 16 Fév - 17:59, édité 12 fois
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Sam 14 Fév - 23:34
OH NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON C'EST TOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOI . Tu es de retour, c'est trop ouf et trop trop trop trop trop coool . Je suis trop contente de te revoir sur le forum parce que clairement Lyla étai trop cool et que toi aussi . Ca fait super plaisir de te revoir sur BP . En plus un nouveau perso avec Sara Drew c'est un peu la vie . Même si le dernier épisode de GA m'a donné envie de pleurer pendant des heures . J'ai hâte de voir tout ce que tu as prévu pour ce nouveau perso qui je suis sûre va être génial
Re bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Sam 14 Fév - 23:49
@ANDREW : merci ! maintenant que j'ai réussi à prendre un petit rythme de croisière dans les études je ne pouvais pas ne pas revenir, le forum me manquait trop et même si je n'ai pas retrouvé d'ordinateur fixe, je ferai avec mon ordinateur portable qui a l'air de bien tenir le coup J’essaierai quand même de ne pas lui en demander trop et de le chouchouter histoire qu'il tienne au moins jusqu'à la fin des études dans deux ans et demi pour que je puisse ensuite investir par moi-même *bref j'arrête de raconter ma vie * Ça fait plaisir d'être de retour par ici J'espère que Skye vous plaira ; j'ai déjà les grandes lignes de l'histoire en tête mais vous en saurez plus que demain car là mon cerveau ne vaut plus grand chose
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Sam 14 Fév - 23:54
Aaaaaaaaaaaaah je me rappelle de toi J'aime ta quote dans ton profil déjà et ton pseudo il envoie du lourd
Bref rebienvenue chez toi et bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Sam 14 Fév - 23:57
C. Skye-Dawn Freedman a écrit:
@ANDREW : merci ! maintenant que j'ai réussi à prendre un petit rythme de croisière dans les études je ne pouvais pas ne pas revenir, le forum me manquait trop et même si je n'ai pas retrouvé d'ordinateur fixe, je ferai avec mon ordinateur portable qui a l'air de bien tenir le coup J’essaierai quand même de ne pas lui en demander trop et de le chouchouter histoire qu'il tienne au moins jusqu'à la fin des études dans deux ans et demi pour que je puisse ensuite investir par moi-même *bref j'arrête de raconter ma vie * Ça fait plaisir d'être de retour par ici J'espère que Skye vous plaira ; j'ai déjà les grandes lignes de l'histoire en tête mais vous en saurez plus que demain car là mon cerveau ne vaut plus grand chose
C'est trop cool . Et évidemment je viendrai te quémander un lien parce que c'est super que tu sois revenue vraiment . J'espère que ton ordi tiendra le choc en tout cas . On va le bichonner
J'ai hâte de lire tout ça et j'espère que le Jackson de Skye n'est pas mort ou je vais pleurer
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Dim 15 Fév - 1:08
Re-bienvenue alors ! :-)
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Dim 15 Fév - 10:21
LILA Moi aussi je me souviens de toi Rebienvenue sur BP ! EN PLUS APRIL QUOI Et puis Jackson un peu partout, j'approuve complètement Hâte d'en savoir plus Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésites pas
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Dim 15 Fév - 11:00
Re-bienvenue, bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Dim 15 Fév - 14:09
Et bien reuh !!! Et bonne chance pour ta fiche ton personnage a l'air trop trop trop cool ♥
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Dim 15 Fév - 15:03
@SARA: merci ! Amber est juste magnifique sur ton avatar @ANDREW: avec plaisir pour le lien @DANIEL: merci @CASSANDRA: merci beaucoup @PANDORA: merci @GENESIS: Scarlett merci beaucoup
bon allez je ne fais pas durer le suspens plus longtemps je me mets à ma fiche maintenant
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Dim 15 Fév - 17:35
LILA C'est cool que tu sois revenu parmi nous Et puis Sara Drew est un super choix Faut d'ailleurs que je regarde les deux derniers épisodes de GA mais avec ce que dis Drew, j'ai peur Bref, osef
J'ai hâte d'en savoir plus, même si je sens l'histoire trop triste avec le début de ta fiche et le dernier gif dans l'histoire Rebienvenue en tout cas
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Dim 15 Fév - 21:54
@CALEB: merci moi je suis pas du tooout à jour dans GA je suis à jour dans aucune série en fait...
ma fiche avance pas à pas doucement mais sûrement
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Dim 15 Fév - 22:25
OH MON DIEU TOI rebienvenue parmi nous
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Lun 16 Fév - 16:08
@WOODY: merci !!!
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Lun 16 Fév - 18:13
bienvenue iciiii toi
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Lun 16 Fév - 18:39
Re-bienvenue parmi nous, et bon courage pour ta fiche!
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Lun 16 Fév - 18:55
@ROHAN et @ALFRISTON: merci à vous deux
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Lun 16 Fév - 22:01
Re-bienvenue, si j'ai bien tout compris ! Ton pseudo est magique
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Lun 16 Fév - 22:06
Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :
✈ Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.
✈ Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles ajouter ton quartier de résidence dans ton profil ainsi que ton métier.
✈ Maintenant que ton personnage n'est plus à la rue, à toi de créer ton petit réseau d'amis et d'ennemis; alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. Tu peux également rejoindre la roue du rp ici.
✈ Si ton personnage a besoin d'un camarade, d'un amoureux ou d'un tout autre lien essentiel à son évolution, n'hésite pas non plus à créer ton propre scénario; BP offre aussi un système de boîte à liens vers lequel on t'invite à te tourner. Il est tout aussi important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.
✈ Enfin, histoire de compléter ton intégration totale au sein de la vie de BULLETPROOF, tu peux toujours t'inscrire dans la partie parrainages afin de devenir le petit protégé d'un des dinosaures anciens du forum.
✈ Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré! Mais, il reste une étape importante: le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais-toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.
Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Lun 16 Fév - 22:12
Damn it. Après le dernier épisode de Grey's Anatomy, tu n'as juste pas le droit de débarquer avec la jolie Sara Mais bienvenue quand même, et rendez-vous sûrement dans ta fiche de liens
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN Lun 16 Fév - 22:34
@EDEN: merci. Marine est juste splendide ! @JESSAMINE: merci ! @LUKAS: merci et ça sera avec plaisir pour le lien surtout avec le beau Chris
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Sujet: Re: when the sorrow submerges you # SKYE-DAWN
Prendre soin des autres ; il semblerait que ce soit quelque chose qui a toujours été dans les gènes de Skye. Dès son plus jeune âge déjà, elle recueillait les animaux blessés pour les soigner puis leur redonnait leur liberté. C’est donc tout naturellement que plus grande, la jeune fille s’est tournée vers la profession d’infirmière. D’ailleurs, si elle n’était pas devenue infirmière, elle aurait sûrement choisi le métier de vétérinaire. Son métier est la parfaite illustration du caractère de la jeune femme. Empathique et bienveillante, elle est toujours là pour les gens quand ils ont besoin d’aide ou besoin de parler. Dévouée, attentionnée et consciencieuse, elle n’a jamais hésité à faire des heures supplémentaires quand le bien-être de ses patients le nécessitait. Sans arrêt le sourire aux lèvres, elle semble toujours de bonne humeur aux yeux du monde et n’aime pas montrer quand quelque chose ne va pas. Altruiste et généreuse, faire attention aux besoins des autres est une seconde nature chez elle et, s’il y a bien quelque chose qu’elle ne supporte pas, c’est de voir les inégalités entre classes sociales. Malheureusement, contre cela, elle ne peut pas faire grand-chose seule… Pour terminer, il est important de mentionner que Skye est quelqu’un de fidèle, douce, honnête et loyale et elle attend souvent que les autres le soient aussi. Malheureusement, sur ce point-là, elle a déjà été de nombreuses fois déçue…
. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 4 ou 5j/7 en général; un peu moins en période de partiels/ révisions mais vous serez prévenus. 
SCENARIO OU INVENTÉ ? : inventé. COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : ça fait un bon bout de temps que je le connais 
J'ai été inscrite ici trois fois mais j'ai du partir pour des raisons personnelles ou pour un manque de temps... Mais cette fois j'espère bien ne pas vous quitter de si tôt... 
(pour les anciens qui se souviendront j'ai d'abord joué Deborah Roseberry avec Rose Leslie puis Amethyste Oswald avec Holliday Grainger et plus récemment Lila-Joyce Hastings avec KaDee Strickland...) LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : et plus que ça encore 
c'est fou comme les membres et le forum m'ont manqué même si je gardais toujours un œil dessus 
. LE CODE DU RÈGLEMENT : shoot me down but i won't fall. LE MOT DE LA FIN : 
happy valentine's day ! 
. Tu es de retour, c'est trop ouf et trop trop trop trop trop coool 
. J'ai hâte de voir tout ce que tu as prévu pour ce nouveau perso qui je suis sûre va être génial 
J’essaierai quand même de ne pas lui en demander trop et de le chouchouter histoire qu'il tienne au moins jusqu'à la fin des études dans deux ans et demi pour que je puisse ensuite investir par moi-même 
. On va le bichonner 
merci beaucoup 
doucement mais sûrement 
Mais bienvenue quand même, et rendez-vous sûrement dans ta fiche de liens