Sujet: (M) Martin Freeman ✈ Libre Sam 26 Jan - 15:32
Jeremy Hemingway
à partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-Neige.
NOM : Hemingway. C’est tout à fait négociable, mais un nom à consonance anglaise. PRÉNOM(S) : Jeremy. Bien que ça soit pour l’histoire et le scénario. Ça pourrait être tout aussi bien Noah, Ezra, Lennon etc… AGE : Entre 31 et 35 ans. LIEU DE NAISSANCE : En Angleterre. ORIENTATION SEXUELLE : Homosexuel ou bisexuel. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire. Fraichement séparé ou coureur de jupons, comme vous le préférez. SITUATION FINANCIÈRE : Au choix. GROUPE : Living War. AVATAR: Martin fuckingcute Freeman the only one bitch.
deviens toi-même.
• Le père de Jeremy était un brillant médecin, et plus précisément un médecin militaire en chef. Son fils n'a pas seulement hérité de ses dons médicaux, son paternel était également son idole. • Aujourd'hui il est profondément pacifiste, contre toute forme d'armée quelle qu'elle soit. Cela va même plus loin du fait qu'il a une idéologie pacifiste, il garde une certaine rancoeur contre les militaires. (À vous de décider ce qu'il s'est passé. Son père tuer à la guerre, ou gravement blessé le traumatisant ou le paralysant, ou bien Jeremy a été bien trop bizuté, humilité, à cause du fait qu'il était homosexuel etc…) • Il est devenu un brillant et plutôt réputé journaliste en Angleterre. Il a une certaine notoriété là-bas, et son patron lui a demandé d'aller à Redstone pour écrire un gros et important article sur cette base militaire. Il s'est d'abord révolté, furieux que l'on puisse lui demander cela malgré ses principes, mais il y est allé quand même. • Il est ici depuis quelques mois maintenant. • Il n'aurait jamais pensé qu'il y ferait une rencontre qui allait chambouler sa vie.
Au niveau du caractère, je voyais quelqu'un de plutôt bon vivant, sociable même presque populaire. Souriant, c'est un véritable petit rayon de soleil, le genre de personnes tellement heureuses qu'elles attirent. C'est vrai qu'il a un petit côté insouciant, mais en vérité il a vécu des choses pas faciles qu'il préfère taire, presque refouler. Je le voyais aussi un peu fier, quelque peu mauvais perdant, perfectionniste et aimant beaucoup son travail. Quelqu'un d'ouvert d'esprit en général, sauf sur quelques sujets tel que la guerre par exemple.
we salute the rank, not the man
Zephyr-Harold T. Sinclair, aka Richard Armitage.
Le chef de la base devait forcément n'être qu'un con. Qu'un militaire à la noix de plus qui pensait que la guerre était une manière de se battre pour défendre les droits humains, que c'était un mal pour un bien. Oui, Jeremy partait à cette rencontre, à cette interview avec énormément de préjugés. Après tout, les militaires n'étaient pas réputés pour être intelligent, mais alors lui en plus dirigeait tout un tas d'automates. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il découvrit le vrai visage du fameux chef. En plus de ne pas être un petit con, c'était un homme tout à fait respectable et très chaleureux. Néanmoins, cela le dérangea quelque peu, comme si rien que son existence même venait contredire ses idées déjà toutes faites. Alors il ne put pas s'en empêcher, fanfaronner et accuser l'armée alors qu'il n'était là que pour une simple interview. Cela se termina de cette manière. Harold ne disant strictement rien, se contentant de l'écouter et d'arborer un petit sourire ironique. Et puis il ne revit pas pendant deux ou trois mois. Cependant, ce qui était fort étrange c'était qu'il ne cessait de penser à l'homme, ce dernier le fascinant beaucoup trop. Et puis il le recroisa finalement chez un épicier. Quelle rencontre fort étrange...
L'idée est plutôt simple. Jeremy est un journaliste pacifiste, dénonçant les méfaits de la guerre et ayant plein de préjugés sur l'armée. Sa rencontre avec Harold, qu'il appelle Zephyr depuis leur deuxième échange, chamboule un peu ses idées. Peu à peu, il va apprendre à le connaître, et sa vision sur l'armée va se transformer peu à peu. Je ne dis pas forcément qu'il va être pour, mais il va voir les choses sous un autre angle. Au niveau humain, Jeremy est complètement fasciné par cet homme. Et réciproquement, Harold trouve le blondinet fort séduisant...
extrait de ma fiche:
37 ans ✈ Redstone, Alabama, États-Unis.
« Bonjour. Je cherche le chef de la base… » Entouré de quelques recrues, Harold se retourna, fit un petit tour sur lui-même, quand il entendit une voix derrière lui, lui adressant apparemment la parole. Rapidement, pour ne pas avoir l’air trop mal poli, il observa l’inconnu en un petit coup d’œil. Nouveau dans la région, anglais d’après son accent et sa tenue, gêné et même quelque peu frustré, pour ne pas dire en colère. Pacifiste… Journaliste, le plus probablement. Ce… blondinet était étrange. Il l’intriguait. Il semblait fuyant, avec son regard qui ne voulait pas se poser une bonne fois pour toute et voguait d’une manière assez flottante sur les environs, et d’un coup il brisait cette sensation en présentant un regard dur et intelligent qu’il plongeait inflexiblement dans celui du militaire. « Oui, bien sûr. Enchanté. » Avec un sourire un peu ironique, celui qu’il avait l’habitude d’arborait quand il était jeune, légèrement insolent et qui signifiait qu’il s’amusait de la situation. Bien qu’aujourd’hui il fut plus taquin qu’autre chose. Il lui tendit une main chaleureuse, que celui-ci ne prit pas de suite ne comprenant pas de suite. « Je suis le chef de la base. », expliqua-t-il en s’empêchant de sourire un peu plus, pour pas que l’autre fut trop perdu ou vexé. « Oh. » Discrètement hésitant, il lui serra la main, d’une poigne plus douce que ferme. « Jeremy Hemingway, journaliste. Enchanté. »
« Ce n’est que pure hypocrisie de faire la guerre pour la paix ! » Il le savait. Profondément pacifiste et fixé sur ses propres idées, il ne comprenait pas son point de vue. Ou non, plutôt, il n’essayait pas et ne voulait pas comprendre. Typique. Si cela énervait au plus haut point certains militaires, ce qui au final ne faisait que renforcer l’opinion de ces pacifistes aussi ridicules que les militaires violents et aimant la guerre, cela, au contraire, faisait rire Harold. Oui, ce n’était pas commun, mais il appréciait voir l’autre se débattre tout seul, tellement remonté qu’il s’embourbait, s’embrouillait tout seul, comme un grand, avec ses propres arguments qui en devenaient paradoxaux. Ils s’étaient tous deux installés dans son bureau, ce Jeremy lui ayant demandé d’une politesse forcée une interview. Interview qui avait bien sûr tourné à un débat, qui n’en était pas vraiment un parce que ce dernier comptait bien rester sur ses positions sans rien entendre. Il avait presque l’impression d’être Iron Man, ou Tony Stark, accusé par cette journaliste à la con et qui finissait par coucher avec lui. Qui finissait par coucher avec lui… Okay, cela était très bizarre. « Hé oh ! Vous m’écoutez ? » « Mmmh ? Oui, excusez-moi. »
✈ quelques mois plus tard.
Les gens s’étonnent parfois du fait que les militaires puissent être des personnes totalement normales. Humaines. Non. Bien sûr que non. Comment un être dont le métier est de tuer peut-il être humain ? Foutaises. Harold regardait un peu trop intensément les boîtes de haricots blancs, ne semblant pas du tout inspiré, presque même désespéré, et bien trop concentré pour quelqu’un qui faisait simplement ses courses. « Monsieur Sinclair ? » Il mit un peu de temps à reconnaître la voix, mais une fois qu’il aperçut la source de celle-ci, aucune place pour le doute ne fut permis. Un homme qu’il n’avait vu qu’une fois dans sa vie, mais quelle rencontre il y a quelques mois de cela, et qu’il l’avait tellement intrigué qu’il avait hanté ses pensées pendant quelques semaines encore après. « Monsieur Hemingway… » « Vous faîtes vos courses ? » Bien malgré lui, et loin de lui la pensée de vexer son interlocuteur, il explosa de rire. « Cela ne se voit-il donc pas ? » « Mais… vous faîtes des courses ? Je veux dire… en général ? » Alors là, il ne put vraiment pas s’empêcher de rire. Oh oui, le fou rire qui le prit à ce moment là. La remarque naïve de ce jeune journaliste, son air du mec qui ne comprend rien à la situation et qui le rendait très mignon et en même temps absurde. « Oui, j’ai également un fils. Mais je suis en pleine réflexion car je suis incapable de cuisiner et je lui ai promis de faire un plat correct pour ce soir. »
Et voilà maintenant qu’ils s’affairaient dans la cuisine de l’appartement de l’anglais, ce dernier apprenant à son ainé comment faire une bolognaise digne de ce nom et qui soit mangeable. Je pense que vous vous imaginez très bien l’état dans lequel Harold se retrouva, couvert, d’une manière assez adorable, de sauce tomate. Le plus jeune, arrêtant de s’agiter se tourna doucement vers lui, presque au ralenti, et admira la vue plus que comique devant lui, avant d’exploser de rire. Chacun son tour de se foutre de la gueule de l’autre. Il avait vraiment du mal à croire que l’homme qui se tenait en face lui était militaire depuis seize ans et actuel chef de la base. Cela lui semblait quelque peu irréel. « On fait une pause et je vous propose également une bière, Sinclair ? » « Appelez-moi Harold et ça sera avec plaisir. » « D’accord, Zephyr. » Ce dernier lui adressa un sourire taquin, presque osé, en l’appelant par la première partie de son prénom, dont il savait pertinemment que sn interlocuteur n’appréciait pas, selon lui et sa biographie. D’ailleurs il se retint de grogner et alla plutôt s’essuyer la figure avant d’aller s’installer dans le salon.
« Ce fut un plaisir, Zephyr. » « Harold. Moi de même. Peut-être que la prochaine fois on pourra faire les choses correctement et allait se boire un café… ou une bière, dans un café. », répliqua-t-il du tact au tac avec un petit clin d’œil qui s’était échappé plus ou moins tout seul. Ce dernier esquissa un sourire l’ombre d’un dixième de seconde avant de reprendre un visage professionnel. « Ça serait avec joie, Zephyr. » Il ricana subtilement. Il n’avait donc pas l’intention de lâcher cet affreux prénom. Il referma la porte derrière lui après une dernière poignée de mains, avec un sourire plutôt satisfait sur son visage. Une dernière poignée de mains, mais il était sûr que ce n’était pas la dernière fois dont il entendait parler et voyait cet étrange jeune homme. Étonnamment, cette pensée le réjouit.
BULLETPROOF
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Sujet: Re: (M) Martin Freeman ✈ Libre Sam 26 Jan - 16:56
Bonsoir à toi petit lama. Oui, à partir de maintenant nous sommes toujours le soir et tu es un lama. Amen. Déjà je te remercie grandement de passer par ici, car cela veut dire que tu es au moins un minimum intéressé par mon scénario. Bah oui, soyons logique. Sinon tu es un être bien étrange. Et j'adore ça. Bref. Voici quelques informations complèmentaires.
AVATAR Quasiment presque difficilement - oui, cela fait beaucoup de nuances - négociable. La raison est toute simple : ARMITAGE + FREEMAN = . Et si vous vous intéressez à mon scénario, vous ne pouvez pas ne pas aimer. Enfin bref, si vous n'adhérez pas, malgré tout - non je vous renierai pas - vous pouvez toujours me faire les yeux doux et me proposer quelqu'un d'autre à la place. (David Tennant, John Barrowman, Tom Hiddleston, Jude Law, Ben Whishaw, Aidan Turner, Bradley James et j'en passe…) Mais, vous l'aurez compris, privilégiez Freeman, s'iou plait.
PSEUDO Négociable, libre, au choix, selon vous souhaits etc… J'avoue que Hemingway ça pète comme nom de famille, et Jeremy, bien que banal, lui va bien. Néanmoins, je les ai mis tous deux pour donner des idées et pour le besoin du scénario. Sinon, c'est à votre imagination !
HISTOIRE & CARACTÈRE Et bien j'avoue que j'ai donné beaucoup de grandes lignes de son histoire, ne laissant pas tant de choses que ça libre. Enfin, si, un peu, quand même. Non ? Donc voilà. L'essentiel c'est que vous ayez compris de ce que je voulais, et si vous l'avez fait, et bien libre à vous de modeler tout cela à votre guise. Pour le caractère, ça va de même. J'ai donné pas mal de traits de caractère, mais au final ce n'est que mon idée du personnage, et je veux vraiment que vous vous l'appropriez.
LIEN Bien sûr que c'est non négociable. Haha. Vu que c'est l'essence même d'un scénario. Où ils en sont dans leur relation ? Je pense qu'on peut s'arrêter aux deux premières rencontres, histoire qu'on ne soit pas déjà trop loin dans leur histoire (mauvais jeu de mots involontaire). Ils en sont donc encore à un stade où ils ne connaissent presque rien de l'autre, où la fascination pour l'autre prend le plus de place et rythme leurs ébats (on dirait je parle de sexe). Ensuite, ils vont apprendre à se connaître, à s'apprécier réellement, un jeu de flirt, du chat et de la souris… Cela va également ouvrir l'esprit de Jeremy sur l'armée. Pour ce qui est de l'issu… Qui vivra verra !
Je crois que j'ai fait le tour. Alors s'il vous plait, prenez mon scénario. Je vous offrirai plein de boîtes de chocolats ferreros rochers, j'érigerai une statue en votre honneur dans le hall de mon lycée (qui était très beau, soit dit en passant) et je vous dédicacerai un poème en prose. Bien sûr je vous aimerai sans fin.