Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés
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BULLETPROOF
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Sujet: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Jeu 13 Nov - 18:41
Luwana Thelma Lloyd
C'est tellement facile de sourire plutôt que d'être heureux.
let me introduce myself.
NOM(S) : Lloyd. Elle le porte comme une cicatrice, s'acharnant à se représenter son grand-père. PRÉNOM(S) : Luwana, Thelma. Son prénom de naissance, et celui qu'elle utilise lorsqu'elle ment. AGE : 23 ans. LIEU DE NAISSANCE : Jacksonville. ORIENTATION SEXUELLE : Infinie liberté. SITUATION AMOUREUSE : Ce n'est pas faute d'avoir voulu. SITUATION FINANCIÈRE : Excessivement aisée, mais elle vit avec pas grand chose. MÉTIER/ÉTUDES : Barmaid maladroite mais adorable, le reste du temps elle joue du violon, parfois même à Redstone, ou écrit son livre, ou des articles pour les journaux mondiaux. Ah, et parfois elle décore des maisons pour les autres, et travaille pour avoir son diplôme à distance. SI MILITAIRE, GRADE : - GROUPE : Living War. AVATAR : Ebba Zingmark. CRÉDITS : Kaiji
⊱ this time i'll be bulletproof
Luwana, c’est la rousse qui traine au pub du coin depuis qu’elle a quinze ans. C’est celle qui parle fort, souvent une cigarette à la bouche, celle qui éclate des verres sans faire attention et qui vous jette ensuite un regard menaçant pour ne pas se faire disputer. Chaton qui apprend à marcher, maladroite comme ce n’est pas permit, et pourtant, c'est une barmaid plutôt efficace. Maintenant, elle ne porte plus de talons haut et ne boit presque plus, mais en la voyant vous comprenez qu'elle est passée par là. Il y a son sourire qui pue l'échec parfois, ces sourires qui disent qu'elle se bat contre des démons parfois plus grands qu'elle. C'est encore une petite fille qui vous observe avec de grands yeux et n'ose pas venir parler aux gens, elle reste bien en retrait jusqu'à ce qu'on lui adresse la parole, et quand ça n'arrive pas elle se contente d'ouvrir son carnet et d'écrire, écrire, écrire, elle est toujours entrain d'écrire ou de jouer du violon.
Poisson-chat, elle se glisse dans le monde sans laisser d'impact, silencieuse comme une ombre et aussi légère que l'air. Elle plane souvent, perdue dans son monde bien à elle et aimant à solitude, mais ne croyez pas que ça lui déplait. C'est bon d'être seule, c'est moins dangereux. La demoiselle parle si peu d'elle qu'on l'oublie parfois. Pourtant elle est là, droite, elle défie parfois le monde à la grande surprise de ceux qui la connaissent, et ses décisions peuvent se prendre sur un coup de tête.
⊱ i was meant to be a warrior Elle possède un patrimoine immobiler plutôt correct grâce à son grand père : deux maisons, dont une offerte gracieusement à ses parents, et trois appartements. Son nom de famille est celui de son grand-père, ses parents n'étant pas marié. Luwana a une fâcheuse tendance à se faire avoir par les hommes, on la considère comme naïve, mais elle préfère croire qu'elle veut juste de l'amour. Pendant plusieurs mois, elle est restée avec un homme qui la battait, et du jour au lendemain elle l'a mit à la porte. Personne n'est au courant de cette histoire. Son compte bancaire est rempli à ras-bord et elle ne paye son loyer qu'avec son travail de barmaid. Elle se sert de son pactole pour offrir des cadeaux aux gens qu'elle aime -peu nombreux- ou pour aider dès qu'elle peut. D'ailleurs, elle joue gratuitement du violon et refuse d'être payée pour ses articles et quand elle décore. Une aubaine. La plupart du temps, Luwana ressemble à un chat sauvage ou à une hippie. Depuis des années, elle a arrêté de s'habiller comme une femme fatale et a donné toutes ses belles robes à des associations. Son coeur est assez grand pour tout le monde, mais elle fuit encore les gens. Elle se fiche des guerres, des soldats, et de tout ce qui entoure ce monde. Pourtant, elle va essayer de s'y introduire, quitte à valider un diplôme qui la ferait rentrer, ou à s'engager dans quelques années. Enlevez lui son violon et vous retrouverez la jeune fille qui passait ses heures assises par terre, sans bouger.
dévoile-nous ta véritable identité soldat.
PSEUDO/PRÉNOM : Justine. FILLE OU MEC ? : Fille. AGE : 22 ans. FRÉQUENCE DE CONNEXION: Normalement tous les jours, au pire plusieurs fois par semaine. SCENARIO OU INVENTÉ ? : Un mélange des deux. COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : Hunter . LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : Ouuuui . LE CODE DU RÈGLEMENT : shoot me down but i won't fall LE MOT DE LA FIN : .
Code:
[b]nom de la célébrité[/b] nom du personnage (tout en minuscules)
Dernière édition par Luwana Lloyd le Lun 24 Nov - 21:17, édité 7 fois
BULLETPROOF
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Jeu 13 Nov - 18:42
⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…
« Luwana ! » Encore ton père qui gueule, bon sang, ces derniers temps il n’a que ça à foutre. Crier, toujours crier. Avec les années, tu as fini par considérer ça normal que ton père ou ta mère te hurle dessus à tout bout de champ (le plus souvent sans raison, mais maintenant tu ne te fatigues plus, tes conneries tu les assumes, la claque partira avec ou sans preuves). Qu’est-ce qui se passe encore pour qu’il s’égosille comme ça dans l’escalier hein ? Il essaye de te choper le bras au passage, mais feu follet tu t’échappes de sa prise et fronce les sourcils. « T’as fait à manger ? » Ah, ils sont beaux Garett et Melissa Lloyd. Entre le père qui s’est fait foutre à la porte pour harcèlement sexuel et que n’en branle pas une depuis, et la mère pas bien fine non plus qui préfère dépenser l’argent de son travail dans de l’herbe, la vie est plutôt mouvementée dans le taudis qui vous sert de maison. D’extérieur c’est beau, c’est une des maisons de ton grand-père maternel qui n’a pas eu le courage de le refuser à sa fille unique. Mais l’intérieur est sale, puant, et on t’a collé à la cuisine dès que t’as été assez grande pour poser les casseroles sur le feu. A onze ans, tu pourrais ouvrir un restaurant tellement tu maîtrises, si on oublie les brûlures de four ou de plaques sur tes bras, et celle qui coure le long de ton front, dissimulée par les cheveux. « Alors, t’as fait à bouffer ? Tu fous quoi ? » Même pas le temps de hurler que ta mère te remplace un peu plus loin, le son de sa voix si peu mélodieuse envahissant les 70m² qui vous servent de maison. « HUNTER ! » Et tu bondis, chat sauvage, toutes griffes dehors pour te placer entre ta mère et le gamin sur qui elle commence à hurler. Toi, ça va. Mais qu’elle ne touche pas à Hunter. Tu feules, le menton droit devant ta génitrice « Laisse-le, je vais faire à manger c’est bon ! Hunter, tu viens jouer ? On va voir celui qui trouve le plus d’aliments ! » Tu l’entraînes loin d’elle, continuant de babiller, ça tu sais faire aussi, à l’école tu parles tout le temps, de tout et n’importe quoi, et personne ne te questionne.
« C’est ta faute ! » un poing brutal atterri sur la porte du garage, déformant la tôle à quelques millimètres de ton visage. Ah, ils ont perdu un esclave alors ils ragent, hein, tes pauvres parent ? Tu ris, hystérique, quand il t’attrape par les épaules pour te secouer en hurlant sans s’arrêter. Qu’il crie, qu’il crie, toi tu es ravie que le gamin ait été placé ailleurs. Quand le type du gouvernement est passé, tu as joué la comédie devant ta mère en plaignant Hunter qui subissait trop de travail, et toi aussi par la même occasion. La gifle est partie et l’homme a tout entendu, et t’avais l’espoir qu’il vous fasse partir tous les deux, ensemble, mais seul le petit bonhomme a pu s’en tirer. Les foudres de ton père sont terribles, des tempêtes de mots infâmes qui tournent autour de toi et menacent de s’abattre sur toi. Mais ton bouclier est assez puissant pour résister, et il s’énerve encore plus en entendant ton rire qui s’élève plus haut que sa voix. Ce n’était pas le premier gamin qu’ils emmerdaient, mais ce sera certainement le dernier et ça, grâce à toi. Il te puni, t’enlève tes peluches que tu affectionnes tant, mais ça ne fait rien, l’oiseau est libre et même si on a refermé la cage sur toi, ce n’est rien. Rien, jamais rien, t’es plus forte que ça.
« Papy ! » Le visage barbu du vieil homme s’étire en un sourire quand tu ouvres la porte et lui saute au cou. C’est le papy gallois par excellence, la barbe encore un peu rousse malgré les années, des rides au coin des yeux et qui ne daigne pas vous adresser la parole autrement qu’en gallois s’il ne vous apprécie pas. Un ours bourru qui ne sait pas grogner et que tu adores plus que tout, et il te l’a toujours rendu. Voir sa fille unique devenir une loque l’a rendu fou, et il à quelques doigts de rompre les ponts avec elle lorsque tu es née. Toi, son petit miracle, toi qu’il protège du mieux qu’il peut contre ces fous qui te servent de parents. Combien de fois a-t-il voulu te prendre avec leur pour enfin t’offrir un peu du bonheur que tu méritais ? Mais il n’a jamais pu, alors il se contente de venir plusieurs fois par semaine, de t’inviter souvent et de te couvrir de cadeaux et d’amour que tes parents ne sauraient t’offrir. Mais son visage est grave aujourd’hui, et il tousse en te déposant sur le sol. Oui, bon, à quinze ans tu risques d’être trop lourde pour lui, c’est certain. « Papy ? Faut que t’ailles chez le médecin, tu tousses depuis longtemps ! » Il t’entraîne dans le salon, adressant un vague signe de tête à ta mère, et lui indique de vous suivre. Et l’annonce tombe, il rentre bientôt à l’hôpital et n’en sortira jamais. Tu le jures, ce seront tes dernières larmes, et tu peines à reprendre ta respiration lorsque ta mère élève la voix. « Et pour la maison ? » Tu as toujours été belle en pleurs, et là tes yeux brillent de fureur lorsque ta main claque contre la joue de ta mère. « Ta gueule. » Le silence se fait, pesant. Le calme avant la tempête, et elle hurle, les coups et les insultes pleuvent de ton père, de ta mère, et c’est ton grand-père qui t’arrache de leurs mains vengeresses. Tu es allée trop loin cette fois, et le vieil homme ne peut que t’emmener hors de cette maison que tu ne reverras plus.
Tes seize ans, tu les passes dans une chambre d’hôpital au chevet de ton grand-père. Joyeux anniversaire Luwana. Désormais, tu vis seule dans l’appartement de l’homme, essayant de gommer vos anciens souvenirs pour ne pas t’effondrer jour après jour sur ce tapis que tu foulais quand tu étais petite, sur ce canapé où il te racontait sa jeunesse, où il te contait des histoires à dormir debout. Tes parents refusent de signer les papiers d’émancipation, et eux comme les services sociaux peuvent frapper à ta porte à tout moment pour t’ordonner de rentrer chez toi. C’est beau, un sourire de façade. A l’école, tu ris, tu souris, le week-end tu vois Hunter sans oser t’appuyer enfin sur lui pour quémander du soutient, mais le soir tout est noir. La lumière est rarement allumée, les devoirs jamais faits, et c’est le chat qui daigne te rappeler qu’il est nécessaire de se nourrir. Les coups de tes parents il y a quelques mois ont été violents, et la côte fêlée n’a pas été soignée, toujours un peu douloureuse. Quand la peine devient trop forte, tu fuis dans le pub qui se situe à côté, ils connaissaient tous ton grand-père et s’inquiète pour toi, à te voir descendre verre après verre, accrochée à ton paquet de cigarette comme un noyé à sa bouée. Tu sombres, tu sombres loin, tu t’immerges et incapable de te relever, tu t’étouffes. Au pub, tu es Thelma. Thelma la femme fatale, posée sur des hauts talons qui fait tourner les yeux des hommes, Thelma qui ose tout avec un sourire désarmant, un masque qui te permet de croire pendant quelques instants à une autre vie. Thelma qui finit par se faire engager comme barmaid, alors que tu n’en as pas besoin, il t’a tout légué sans laisser un billet à tes parents. Mais ça t’occupe, et le patron s’assure qu’ainsi tu ne bois pas trop. Ils essayent de te sauver.
Ce sera long. Un an pour commencer à sortir de la brume. Ta mère t’appelle tous les jours avec une voix douce, au début tu y croyais. T’es naïve. Mais les discours finissaient toujours sur l’argent et les maisons de ton grand-père. Maintenant, le téléphone est débranché et tu as changé de numéro de portable. De ton passé, il n’y a plus qu’Hunter. Hunter, à qui tu ne dis pas vraiment tout. C’est toi qui le sort, ce bêta timide qui n’ose pas approcher les filles, peut-être qu’il est gay ? Vous êtes toujours fourrés ensemble et pourtant, ce n’est pas l’idéal. Puis il est mignon lorsqu’il est heureux, il a été accepté dans son école. Toi, t’es contente qu’il réussisse. Tu le veux heureux. C’est le seul que tu n’as pas jeté hors de ta vie, les autres passent, défilent, mais ils ne restent jamais, t’es trop cassée pour eux avec tes mensonges, tes vacillements entre Thelma et Luwana. Les médicaments sur ta table de chevet leurs font peur aussi, aux hommes, ils te font miroiter des belles choses et tu les crois, et puis quand ils voient des antidépresseurs ils fuient la queue entre les jambes, persuadés que tu vas les tuer quand tu comprendras que tu n’es rien. Tu le sais, ça. T’aimerais bien toi, être le premier choix, pas le fantôme du coin qu’on emporte pour une nuit. Lentement, tu t’es remise au violon. Dans les rues, dans les métros, dans les immeubles, tu joues dans des endroits improbables et refuse systématiquement la monnaie qu’ils t’offrent. Non, tu fais ça pour leurs sourires. Te sentir vivante. Le lycée appelle tes parents tous les jours pour leur signifier que tu ne vas pas en cours, ça fait longtemps que tu as abandonné. Pas diplômée, barmaid très maladroite qu’on aime quand même, tu te dissimules dans ton petit monde que tu ne briserais pour rien au monde malgré l’équilibre précaire. Luwana, rends-toi à l’évidence, tu ne pourras pas vivre recluse, sans diplôme, à fumer un paquet par jour et à boire une bouteille de vin jusqu’à la fin de ta vie.
Encore une année, et enfin la lumière se fait. Tu écris. Tu sors, tu fumes toujours mais l’alcool se fait rare, l’appartement est beau. Le déclic ? Tu as dû revoir tes parents. Chez eux, chez votre ancien chez vous, pour les papiers. Tu leurs laisse la maison en échange de leur disparition de ta vie. En quelques secondes, les poings sont sur toi, et tu peux à peine te défendre, seulement t’enfuir au bout de quelques minutes pour atterrir à l’hôpital, la mâchoire ravagée par les coups. L’infirmier qui t’ausculte est adorable, te fait rire, et soudain le monde respire. Des gens gentils en dehors du pub et de Hunter, ça existe ? Vous vous verrez plusieurs fois, simplement en tant qu’amis, t’imagines même le présenter à ton meilleur ami mais quelque chose t’en empêche. Tu les gardes pour toi, tous les deux. Il t’aide, te trouve des maquillages pour dissimuler la marque qui s’étend sur ton visage et qui mettra plusieurs semaines à s’apaiser. La vie est jolie comme ça. Les études ne sont toujours qu’un mirage, mais t’es bien là, à écrire des articles, jouer du violon, servir des verres et commencer à rédiger ton livre. C’est trois ans plus tard que tout se casse la gueule, une fois de plus. Il t’annonce qu’il part. Qu’il s’enrôle. Hunter va te laisser, ici, seule, alors que la plus grosse partie de ta vie tourne autour de lui ? Tu ne peux que courber l’échine si ça fait son bonheur. Mais tu ne peux pas t’empêcher, une dernière fois, d’essayer de le faire rester. C’est le jour de son départ, tu le sais, et tu débarque chez lui. Ça fait longtemps que t’as relégué tes talons et tes robes courtes au fond du placard, maintenant tu ressembles plus à une fille normale qu’à la ravagée que tu es. « Hunter, s’il te plait… » Les gestes se font tout seul, et tu tentes ce que tu n’aurais jamais pu imaginer. Mais il fuit ton baiser, et toute seule au milieu de son appartement tu romps ta promesse, les larmes coulent abondamment, sans pouvoir s’arrêter.
Et toi, l’idiote, tu ne trouves pas mieux à faire que de remuer ciel et terre pour t’installer là-bas, à Huntsville, en espérant renouer avec celui que tu as perdu. Tu abandonnes tout, l’infirmier, les maisons. Tu les vide, les retape, les loue, t’es douée là-dedans. Ils te proposent tous d’acheter les maisons mais tu refuses, et tu t’envoles vers Huntsville sans remords. Un petit appartement mignon, un chat pour remplacer celui qui est mort depuis quelques années, un emploi de barmaid sur les recommandations erronées de ton patron. Et c’est parti pour ce que tu aurais dû démarrer depuis longtemps : une nouvelle vie.
Dernière édition par Luwana Lloyd le Ven 14 Nov - 20:47, édité 2 fois
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Jeu 13 Nov - 18:53
bienvenue sur bp ton avatar est chou ! entre scénar et inventé, j'veux en savoir plus courage pour ta fiche en tous cas
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Jeu 13 Nov - 19:19
bienvenue, je connais pas mais purée qu'elle est belle et trop meugnonne !
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Jeu 13 Nov - 20:21
oh, ça fait longtemps que je n'avais pas vu la jolie Ebba bienvenue sur bp
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Octavia C-F Leicester
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Jeu 13 Nov - 22:29
Ebba est tellement magnifique ! Il m'en avait parlé, le Hunter, que tu viendrais avec la face d'Ebba (enfin qu'une Luwana viendrait). Bon choix d'avatar :)
Bienvenue et bon courage pour ta fiche :)
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Jeu 13 Nov - 22:30
Bienvenue iciiiiii
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Ven 14 Nov - 15:58
Haaanw, une jolie rouquine avec Lloyd en nom de famille, je pensais que ton personnage venait du Pays de Galles, j'avoue En tout cas, bienvenue ici et bon courage pour ta fiche. J'approuve totalement ton choix d'avatar parfait
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Ven 14 Nov - 17:28
Ton avatar est trop cute Bienvenue à toi sur bp, bon courage pour la suite de ta fiche & have fuuuun
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Ven 14 Nov - 20:35
Merci à tous
Raphaëlle ; j'ai récupéré un personnage présenté dans la fiche de Hunter, mais qui n'a pas été encore mis en scénario et pour lequel il m'a laissé carte blanche
Meghan ; le grand-père est gallois, ça compense ?
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Ven 14 Nov - 20:54
JE LE SAVAIS ! JE LE SAVAIIIIIIS ! LES ROUQUINS AU POUVOIR ! Pardon, je m'en vais
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Cedric H. Dartmore
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« Le silence devient un péché lorsqu'il prend la place qui revient à la protestation ; et, d'un homme, il fait alors un lâche. »
- Abraham Lincoln
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Ven 14 Nov - 21:38
Oh, une collègue journaliste Welcome miss, et bonne fiche =P
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Matthew Channing
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Sam 15 Nov - 14:00
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Sam 15 Nov - 14:26
Trop belle! Bienvenue à toi! *-*
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Sam 15 Nov - 15:01
Hiddelston
Merci à vous
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Sajiv Kapoor
निडर no fear
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✈ avatar : manish dayal.
✈ âge : vingt cinq ans.
✈ côté coeur : célibataire.
✈ métier/études : mécanicien.
✈ pseudo : lina.
✈ dc : aucun.
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Sam 15 Nov - 19:03
WOW, quelle belle rouquine Et j'adore ton pseudo aussi. Je valide tous ces choix Hâte d'en voir plus Bienvenuuuuue sur Bulletproof
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Mar 18 Nov - 3:41
J'AI HONTE de ne pas être passé plus tôt pour te déverser mon amour en pleine figure. MAIS L'EST PAS TROP TARD!
MA LUWANA D'AMUUUUR JET'AIME JET'AIME JET'AIME MA FUMEUSEUH! L'oublie pas. Cette fiche est parfaite, parfaite parfaite! Continuuuue je tiens plus! <3
BULLETPROOF
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Mer 19 Nov - 18:36
Bienvenue iciiii! (une autre rousse **)
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Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Jeu 20 Nov - 9:53
Merci à vous Je finis ce soir, j'ai eu une semaine un peu compliquée.
Hunteeeeeer Je t'aime petit fumeur
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Cassandra T. Robinson
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✈ avatar : Lyndsy Beautiful Fonseca
✈ âge : 27 ans
✈ côté coeur : Fiancée à Annaël, l'homme de sa vie.
✈ quartier de résidence : Une petite maison dans le quartier de la providence avec son frère Samuel.
✈ métier/études : Psychologue Militaire
« Je rentrerais sain et sauf et on se mariera comme prévu, on aura des enfants, un petit garçon d'abord avec ton sale caractère et une petite fille qui aura tes yeux. » Annaël & Cassandra ♥
« ohana » signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié.
Koda & Kenai ♡
✈ pseudo : Tender Kangaroo
Tirelire : -53
Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Jeu 20 Nov - 16:34
Bienvenue Luwana Ebba est un excellent choix, elle est trop jolie Si tu as besoin de quelque chose, n'hésite surtout pas !
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Amelia-R. Westerfield
✈ messages : 4343
✈ avatar : jenna-louise coleman.
✈ âge : 23 yo.
✈ côté coeur : l'autre enfoiré d'ethan dans la tête, tout récemment maman.
✈ quartier de résidence : actuellement, l'hôpital civile de huntsville ; officiellement, quartier madison.
✈ métier/études : attachée de presse à la mairie.
and how odd it is, to be haunted by someone that is still alive. ❞
✈ pseudo : sil.
✈ dc : lua stern.
Tirelire : -193
Sujet: Re: Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés Mar 25 Nov - 12:00
ça me rend triste toute ton histoire, elle est trop cool luwana je te valide avec plaisir, et j'en profite pour te souhaiter la bienvenue même si j'étais persuadée de l'avoir déjà fait bon jeu
Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :
Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.
Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles ajouter ton quartier de résidence dans ton profil, et que tu fasses une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.
Maintenant que ton personnage n'est plus à la rue, à toi de créer ton petit réseau d'amis et d'ennemis; alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA.
Si ton personnage a besoin d'un camarade, d'un amoureux ou d'un tout autre lien essentiel à son évolution, n'hésite pas non plus à créer ton propre scénario; BP offre aussi un système de boîte à liens vers lequel on t'invite à te tourner. Il est tout aussi important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.
Enfin, histoire de compléter ton intégration totale au sein de la vie de BULLETPROOF, tu peux toujours t'inscrire dans la partie parrainages afin de devenir le petit protégé d'un des dinosaures anciens du forum.
Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré! Mais, il reste une étape importante: le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais-toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.
Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !
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Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés
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