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 Lydia Gonzales-Martin

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BULLETPROOF
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Lydia Gonzales-Martin  Empty
MessageSujet: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyLun 29 Sep - 22:23



Lydia Gonzales-Martin

Whenever you go, go with all your heart.

let me introduce myself.

NOM(S) : Gonzales-Martin PRÉNOM(S) : Lydia AGE : 23 ans LIEU DE NAISSANCE : Campillo de Llerena, Espagne ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle SITUATION AMOUREUSE : Célibataire SITUATION FINANCIÈRE : Galère MÉTIER/ÉTUDES : Etudes abandonnées - En recherche d'emploi SI MILITAIRE, GRADE : non GROUPE : Living war AVATAR : Dianna Agron CRÉDITS : dylannahunts (tumblr)


⊱ this time i'll be bulletproof
I feel pretty, oh so pretty, I feel pretty and witty and bright...

On lui dit souvent qu'elle est belle. Elle remercie modestement, sachant pertinemment que toutes ces personnes ont raisons. On lui dit tout autant qu'elle est intelligente. Elle le pense également, et ses nombreuses notes ou trophées le prouvent. Bien dans sa peau, bien dans sa tête... voilà le genre de fille qu'est Lydia. On pourrait la considérer comme la fille parfaite mais c'est avant le résultat d'une longue et coûteuse éducation que ses parents lui ont prodiguée.

Effectivement, contrairement à la majorité, elle n'a jamais connu la difficulté. Avait-elle des besoins en math ? Soit, on engagerait un professeur en supplément. Avait-elle besoin d'une activité pour s'épanouir ? Soit, on l'y inscrivait aussitôt et avant tout dans ces activités dîtes pour enfants de "riches". Avait-elle besoin de voyager pour élargir son esprit ? Soit, on l'envoyait en France auprès de sa famille maternelle découvrir leur mentalité, leur coutume et leur plat. Avait-elle besoin d'une éducation bien plus spirituelle ? Soit, on l'envoyait à la messe chaque semaine.

Elle était devenue cette petite fille parfaite que beaucoup aimait. Une fille parfaite qui aimait user de ses sourires ou charmes pour arriver à ses fins innocentes. Une fille parfaite qui voulait à tout prix être la meilleure dans chaque domaine parce qu'elle appréciait de briller et d'être toujours celle qui sortait du lot.

Sortir du lot, expérimenter de nouvelles choses, deux choses dont elle n'a pas peur. Se surpasser et être la meilleure, deux choses qu'elle s'impose. Enfin, et plus important, elle aime appliquer cet adage "Wherever you go, go it with all your heart". Quoi qu'elle fasse, où qu'elle aille, elle le fait toujours avec une grande passion et une grande assurance.

On dirait là une muraille de chine brillante et pourtant elle en a des faiblesses. Des milliers même, qui font qu'elle est belle et bien très fragile. Par exemple, cette inébranlable volonté d'être toujours la meilleure peut rapidement devenir une obsession et lui faire oublier la réalité des choses comme son entourage. Si réussite, elle est joyeuse. Si échec, elle a un mal fou à l'accepter et semble se poser les questions existentielles. Ensuite, elle n'a jamais vraiment expérimenté de grandes difficultés. Elle a constamment vécu dans son monde doré et facile et les rares problèmes qu'elle a eu, soit c'est Mateo qui se chargeait de les régler - lorsqu'ils étaient ensemble à l'école encore - soit c'est son grand frère.

Trouvera-t-elle les mêmes facilités dans sa nouvelle ville ? Pourra-t-elle encore compter sur Mateo pour chacun de ses soucis ? Pourra-t-elle accepter les échecs et continuer à avancer ? Pourra-t-elle se charger sereinement de son enfant sans l'argent de ses parents, et avec un environnement si nouveau et si opposé à son existence d'antan ? En conclusion, une princesse pourra-t-elle descendre de son piédestal et s'adapter aux conditions du peuple ?

On peut savoir ce que l'on veut mais peut-on constamment en assumer les conséquences ? Voilà la vraie question à se poser.

⊱ i was meant to be a warrior

En raison de sa double nationalité - son père est espagnol et sa mère est française - la demoiselle parle couramment espagnol et français, et maîtrise plus ou moins l'anglais. Elle n'avait étudié cette dernière langue qu'à l'école, pensant naïvement qu'elle poserait rarement un pied dans un pays anglophone - si ce n'est pour les voyages -. Ainsi, elle peut ne pas trouver tous ses mots et a un fort accent espagnol.

Adieu aux belles robes et luxueux sac à main. Effectivement, comment porter ces vêtements et accessoires élégants en étant mère ? L'enfant vomit à tout va et surtout, le sac doit comporter dorénavant plus qu'un rouge à lèvre et une carte de crédit. Par exemple, elle ne peut plus sortir sans quelques couches, un biberon, des rations de repas pour l'enfant, des lingettes et ainsi de suite.

Par contre, elle n'abandonne pas pour autant de bien s'habiller ou de bien paraître. Certes, elle n'est plus abonnée aux marques de luxe et se rabat aux magasins du coin de rue, mais elle continue à vouloir s'habiller avec une certaine élégance. Et de même pour sa fille. En fait cette dernière est très pomponnée, beaucoup trop même. Lydia ne peut s'empêcher d'acheter toutes les belles et mignonnes choses à sa fille Mila, limitant ses dépenses personnelles pour sa propre garde robe et compagnie. Elle aime savoir sa fille belle et mignonne. Etre mère, c'est aussi "sacrifier" une partie de soi.

Lydia tient rarement en place et se tait rarement. Elle aime parler, elle aime bouger. De ce point de vue là, elle déborde d'énergie et a encore du mal à rester des jours entiers à la maison parce que l'enfant est malade ou parce que l'enfant dort et qu'elle ne peut le laisser seule.

Elle ne sait pas cuisiner malgré que ses deux origines soient reconnues mondialement pour leur cuisine. Elle ne sait pas faire le ménage non plus. Elle est débutante dans ces arts ménagers ... et elle n'est clairement pas douée, malgré tous ses efforts et sa bonne volonté !  Les plats brûlent, les toiles d'araignées persistent et tant d'autres choses. Un problème à résoudre rapidement avant que l'enfant ne commence à marcher.  

Cependant, la dame excelle dans des domaines plus artistiques ou sportifs. Elle sait très bien jouer au piano - appris par son grand père paternel - et elle aime plus que tout patiner - passion qu'elle a découverte lors de son séjour en France auprès de sa famille maternelle -.

Terminons par la gestion de ses biens. Elle apprend lentement mais sûrement en travers de dépenses inutiles, coûts inattendus comme les impôts ou encore les mois compliqués. Si elle avait été seule, elle n'aurait pas été très attentive. Mais elle n'est pas seule et elle a une bouche supplémentaire à nourrir, donc, naturellement, elle commence à se montrer très économe et rigoureuse pour les dépenses quotidiennes, limitant les extrats - exagérant un tantinet pour sa fille -. Ainsi, il n'est pas étonnant de la voir avec un calepin et un stylo, à noter toutes ses dépenses sur un petit banc dans un parc puis passer une demi-heure à refaire plusieurs comptes dans son esprit.  


dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : hahahaha gardons Lydia ^^ FILLE OU MEC ? :Fille AGE : 21 ans FRÉQUENCE DE CONNEXION:  tout dépendra des rps et de ma motivationSCENARIO OU INVENTÉ ? : scénario COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : via les pages pubs facebook LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : contexte original ! LE CODE DU RÈGLEMENT : Shoot me down but I won't fall LE MOT DE LA FIN : *-* J'espère m'amuser

Code:
[b]nom de la célébrité[/b] ✈ dianna agron


Dernière édition par Lydia Gonzales-Martin le Mar 30 Sep - 16:25, édité 8 fois
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BULLETPROOF
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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyLun 29 Sep - 22:24




⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…
- Un garçon ? Etes-vous sûr que ce n'est pas une fille docteur ? demanda la future mère au médecin.

L'homme était surpris par la question et, mal à l'aise, il confirma clairement le sexe de l'enfant à naître. C'était un garçon avec tous les attributs propres à son sexe, voilà tout. Il n'y avait aucune erreur possible. La future mère affichait une mine déconfite et déçue. Mine qui fit rire le mari qui était là également.

- Voyons Anne. Nous avons le temps de faire encore des enfants, conclut Fabien en éclatant de rire. Tu auras ta précieuse fille. Ne boude donc pas, et remercions dieu pour ce grand cadeau.

Anne n'était guère satisfaite. Elle aurait voulu avoir une petite fille afin de l'habiller merveilleusement ou encore passer des heures entières à la coiffer. Elle voulait une princesse, une splendide poupée de porcelaine qu'elle montrerait à tout le monde, qu'elle afficherait comme sa précieuse fille à elle et à personne d'autre. De plus, elle avait grandi dans un environnement fait de filles - soit deux petites sœurs - et donc, elle voulait reproduire ce modèle de trois petites filles prenant la tête des parents comme les attendrissant au jour le jour. "Malheureusement", c'était un garçon. Elle se contenta d'hausser les épaules et d'accepter telle quelle la réalité.

- Je voulais lui confectionner des robes qu'elle ne tâcherait pas. Un garçon ... Mon dieu, cela respire bien plus la virilité et la classe que l'élégance et le charme propre aux femmes, critiqua Anne sur le chemin du retour. Et puis s'il passe ses journées à déchirer mes tenues fabriquées, je risque de ne pas aimer.

Anne était la Française pure et dure, celle qui a grandi dans la ville lumière, celle qui a rêvé tissu et soie toute son enfance et celle qui est devenue styliste. A priori, elle n'aurait pas quitté sa délicieuse France mais elle est tombée follement amoureuse d'un industriel espagnol. Elle l'a suivi sans une once d'hésitation, sans une once de peur ... La passion, voilà ce qui l'animait au quotidien, une passion qu'elle transmettra plus tard à sa propre fille.

- Voyons ma chérie ... n'exagère pas. Ce n'est pas la fin du monde. Et arrête donc de critiquer les créations de dieu.

Contrairement à Anna pour qui la religion ne signifiait pas grand chose, Fabien y tenait terriblement. Chaque semaine, il se rendait à la messe et y trainait sa femme. Cette dernière suivait à contrecœur mais suivait. Elle voyait à quel point ce genre de petites choses rendait son mari heureux, alors elle acceptait de faire quelques "sacrifices".

Ainsi se résumait l'existence de la famille Gonzales-Martin. Une mère styliste qui ne jurait que par la mode et débordant de passion et d'énergie et un père des plus croyants et des plus travailleurs qui a su agrandir sa petite fabrique de textile à un rang national puis européen.


***


- Tu t'appelles Mateo alors ? Je m'appelle Lydia Gonzales-Martin. Martin comme "Martain" et pas "Martine". C'est un nom français, ma mère est française, c'est pour ça, s'introduit Lydia avec un sourire charmant à son nouveau compagnon de jeu.

Anne avait finalement eu sa petite fille de ses rêves. Comme dans ses rêves, l'enfant avait de beaux cheveux blonds, une belle peau blanche, des lèvres pulpeuses et des yeux oscillants entre le vert-marron. Elle semblait avoir hérité principalement de sa mère, n'ayant reçu de son père que la capacité de "bien bronzer" sans ressembler à une écrevisse comme sa mère.

Elle était mignonne, elle était belle, elle était "envoutante". Cependant, sa mère ajoutait sans cesse des artifices pour donner cet effet. Tantôt la petite était habillée de soie, tantôt de robes des plus adorables, tantôt coiffée avec soin et goût. Enfin, on surveillait son alimentation et on "imposait" des sports ou activités culturelles pour l'épanouir et maintenir sa forme. Oui, Lydia n'était que le résultat de l'acharnement de sa mère et des moyens financiers mis à disposition par son père.

Ce dernier complétait l'éducation de sa fille en lui prodiguant amour et religion. C'est lui qui l'emmène chaque semaine à la messe avec le grand frère, qui lui fait réciter ses prières chaque soir ou encore qui lui fait des lectures sur la vie de différents saints. Devrait-elle être "touchée" ? Difficile quand à côté sa mère lui faisait miroiter de belles robes et de beaux accessoires. M'enfin, finalement, elle a commencé à aimer à cette messe non pas pour écouter le discours du curé mais pour aller rencontrer son nouveau compagnon de jeu, Mateo.

Pendant que les parents écoutaient la messe - ou la donner -, les enfants s'esquivaient pour courir et jouer tantôt à cache-cache tantôt à loup, ou encore explorer les environs. Dès cet âge, les rôles se dessinaient. Lydia était plus calme et, coquetterie oblige, moins aventureuse. Elle était l'enclume, celle qui retenait Mateo d'aller trop loin. Cependant, il lui arrivait de céder et de le suivre ... mais à chaque fois cela finissait "mal". Non pas pour elle mais pour Mateo. En effet, les "bêtises" entraînaient des "ennuis" et le petit garçon faisait tout pour protéger sa compagne de jeu, cela pouvait être encaissé une chute à sa place, prendre les coups de vilains petits garçons le temps que Lydia fuit et tant d'autre petite chose.

Lydia était la princesse, Mateo était le "preux" chevalier.  


***


- Pardon ?
- Désolé Lydia ... mais je n'arrive pas. Je veux dire ... tu es toujours ... "parfaite". Il faut l'être tout autant, toujours être le meilleur, toujours être celui qui brille sur le devant de la scène ... enfin, j'arrive pas à suivre ce rythme. Tu es géniale ... peut-être trop géniale? Dès que t'as un truc en tête, tu oublies tout. Et puis j'en ai marre de te partager avec Mateo. C'est toujours "lui" avant toute chose. Sincèrement, je crois pas aux histories d'amitié entre mec et nana. Bref, je veux pas être cocu donc voilà.

Et il la laissa là, la bouche en forme de "O" et les sourcils arquaient et les yeux emplis d'incompréhension. Il venait de briser plusieurs mois de relations par ces mots-là ? Il venait de mettre fin à sa première relation amoureuse de cette façon-là ? Elle était dégoutée et ne savait même pas si elle devait en rire ou en pleurer ou en être ragé.

Elle ne comprenait pas. Elle n'avait jamais demandé à ce qu'il soit bon dans ses domaines, qu'il soit excellent dans tout ce qu'il entreprenait ... voilà une attitude qu'elle s'imposait à elle mais non aux autres. Enfin, elle comprenait encore moins l'histoire de Mateo. Pourquoi diable tout le monde pensait à des choses tordues ? Pour elle, comme pour lui, la relation était limpide et claire : chacun connaissait les défauts et qualités de l'autre, et l'un comme l'autre savait qu'ils n'étaient pas faits pour finir ensemble.

Cerise sur le gâteau, ce soir-là ses parents et son ainé étaient de visite dans la maison familiale. Ces derniers vivaient maintenant à la Capitale en raison des affaires fleurissantes du père ... tous les trois y vivaient, laissant Lydia dans le village natal avec les grands parents paternels. En effet, Lydia n'avait pas voulu abandonner ce lieu, et voulait continuer à s'amuser avec ses amis et surtout Mateo. Les parents avaient finalement accepté, sachant pertinemment que s'ils forçaient Lydia, soit cette dernière fuguerait soit elle refuserait de travailler. De ce point de vue, elle était à l'image d'Anne, ne faisant les choses qu'avec passion et rarement à moitié. Si elle voulait quelque chose, elle ferait tout pour l'obtenir au détriment de son entourage.

- Alors ma princesse, comment s'est passé ta semaine ? demanda son père le sourire aux lèvres.
- Bien, mentit la fille. Je suis juste un peu malade.

A chaque fois qu'elle voyait son père, elle se sentait un tantinet mal. Il imaginait sa fille encore calme et célibataire ... chose qui n'était plus trop le cas. Elle se sentait juste mal à l'idée qu'elle lui mentait et lui cachait des choses, c'était tout. Seule sa mère était vraiment au courant.

D'ailleurs cette dernière consola sa fille cette nuit-ci, disant et assumant que son ex était un idiot fini et qu'elle méritait bien mieux. Elles finirent par rire et par faire une soirée fille-mère. La tristesse durait rarement chez Lydia : elle avait ses amis et sa famille, que demander de plus ? Et puis, elle était jeune et avait toute sa vie devant elle.


***


Elle reçut un petit sms sur son portable. Une de ses amies s'extasiait outrageusement sur Mateo et sur la beauté et la virilité de ce dernier. Lydia arquait les sourcils, se demandant la raison de ce soudain enjouement. Elle reçut un tout autre sms de même teneur d'une autre fille et ainsi de suite. Elle ne comprenait pas ... et puis elle eut une réponse. Un sms où on lui donnait un lien vers un site web. Elle y entra et ce qu'elle vit eut le don de la sortir de ses gonds. Se fichant d'avoir cours ou non, se fichant tout autant que Mateo en ait ou pas - à condition qu'il s'y rendait évidemment - elle lui "ordonnait" littéralement de la rejoindre rapidement, où qu'il soit.

A peine le brun avait-il pointé le bout de son nez, elle le gifla.

- MATEO ! T'ES CON OU QUOI ? PUREE ... T'ES ... RAAAH !
finit-elle par râler, incapable de trouver les bons mots pour montrer à quel point elle était en colère et déçue de l'attitude de son ami.

Elle savait à quel point le jeune homme était "insouciant" et peu soucieux de la gente féminine, mais elle ne l'avait pas imaginé aussi cruel et stupide. Comment avait-il pu balancer sur le web ses ébats avec une jeune fille, pour qui c'était clairement la première fois ? C'était ignoble, c'était traître, c'était monstrueux.

- Bon sang ... sais-tu l'importance de telles actes pour une fille ? Ce que tu viens de faire est hideux, dégueulasse ... enfin, je trouve même pas mes mots devant ce que t'as fait. Et tout ça pour un pari?

Elle continua ainsi une bonne heure à lui dire à quel point il avait été horrible et à quel point il venait de détruire l'existence de cette pauvre fille. Mateo pouvait clairement s'en souvenir car jusqu'à ce jour, Lydia n'avait pas haussé le ton envers quiconque et n'avait jamais levé la main. Elle avait toujours usé d'une voix douce et de paroles sarcastiques si on l'embêtait de trop.

Crier ne sied pas à une jeune fille de bonne famille disait souvent sa mère, et encore moins se "battre" comme un vulgaire passant des rues.

Cependant, elle ne lui en voulut pas longtemps. Elle savait qu'il allait bientôt quitter le lycée et rejoindre l'armée. Elle ne voulait pas le quitter en froid, et se dire que s'il mourait sur le terrain, elle n'aurait plus l'occasion de s'excuser. Elle ne voulait pas du tout qu'il soit militaire si vous lui demandez son avis mais comme elle, quand il voulait quelque chose, il l'accomplissait.

Depuis ce jour, et même lorsque Mateo eut quitté le lycée, dès que quelqu'un faisait référence à cette histoire sextape, elle lui fermait le claper et si quelqu'un osait visionner cette immondice, elle claquait sans aménité le portable au sol, le réduisant en mille miette. Oh, elle se fit pas mal d'ennemis mais elle se fichait. Jusqu'à maintenant personne n'avait osé chercher des noises tantôt parce que Mateo la protéger, tantôt parce que certains parents bossaient dans l'entreprise de son père, tantôt parce que son nouveau copain était un type assez populaire et respecté. La dame savait s'entourer ... mais semblait avoir un don pour mal choisir ses petits copains.


***


- Exceptionnelle dans la vie de tous les jours mais pas tant que ça au lit mec. Taina est bien meilleure hahaha. Bref, j'ai réussi mon pari, je veux mon fric.

Lydia s'arrêta un peu plus loin, écoutant les paroles de celui qui était son petit ami.

Voilà quelques années qu'elle avait rejoint la fac de médecine et, sans surprise, elle réussit à  passer les différents tests et évaluations sans trop d'efforts car son père avait réussi à s'entourer de quelques médecins qui venaient aidé la petite dame ou qui l'invitaient même dans le cabinet pour assister à deux trois petits examens de patients. Elle brillait, encore une fois, et elle s'était entourée de plusieurs personnes, encore une fois. Et elle avait choisi un garçon et, encore une fois, le mauvais.

Elle finit par apparaître, l'air de rien, le sourire aux lèvres et puis ... claqua violemment les bouquins qu'elle avait en main sur la joue du garçon. Ce dernier se retrouva au sol, la main sur la mâchoire, gémissant.

- Pauvre mec.

Et elle partit, pleurant définitivement. N'avait-elle pas offert son cœur à ce type, des heures de son existence et même sa première fois ? Tout cela pour un ... pari ? Pari, un mot qui lui rappelait l'histoire de Mateo et Zaé, et elle se sentit encore plus mal pour la dernière et davantage en colère pour le premier. Si Mateo avait été là ... elle l'aurait giflé une seconde fois, et seulement après pleurer en disant qu'elle ne sortait qu'avec des idiots.

D'ailleurs le brun annonça son arrivée. Elle tenta de cacher son dégoût pour l'ex, et le suivit tant bien que mal dans ses virées aux quatre coins d'Espagne comme d'ailleurs. Elle finit à Ibiza et, contrairement à d'habitude, elle n'hésitait pas à boire une quantité incroyable d'alcool. Elle finit dans les bras de son meilleur ami et autant dire, le réveil fut rude dans tous les sens du terme. Rude en raison de la quantité d'alcool ingurgité, rude en raison de la prise de conscience, rude en raison de la découverte de son meilleur ami à ses côtés.

Cependant, d'un commun accord, ils acceptèrent "d'oublier" cette histoire et de continuer comme avant. Elle crut naïvement que cela n'allait être qu'un "rude" souvenir.

Le plus rude était à venir.



***


- Enceinte ?
- Oui, félicitation mademoiselle Gonzales-Martin
, cependant devant l'air confit de la jeune fille, la gynécologue se reprit et continua d'une voix plus grave. Si vous souhaitez avorter, il vous faut vous y prendre très vite. Votre corps ne s'en portera que mieux.
- Bien
, répondit-elle d'une petite voix.

Elle ne sut pas vraiment comment elle a réussi à se rendre jusqu'à son studio, et encore moins comment elle a trouvé le chemin de son lit pour s'y engouffrer longuement, pleurer, paniquer et appeler à l'aide un être mystérieux et invisible. Pour la première fois de sa vie, Lydia ne savait pas quoi faire, ne savait pas ce qu'elle voulait et ne savait pas quelle ruse user pour s'en sortir ? Des sourires suffiront-ils ? Ses connaissances déjoueront-ils les farces du destin ? Non. Rien. Elle ne pouvait pas trouver un milieu entre garder ou avorter. C'était soit l'un, soit l'autre.

Elle prit son portable et composa le numéro de Mateo. Mais hormis le répondeur, elle n'eut aucune réponse. Elle se souvint alors qu'il était en mission quelque part. Folle de rage, elle balança son portable contre un mur. Son ainé qui souhaitait rendre une visite à sa sœurette arriva à ce moment.

- Petite princesse, t'es là ? Appela-t-il, les mains chargeaient de course.

Il savait que sa sœur ne savait pas cuisiner et n'avait pas le temps de cuisiner et il savait parfaitement que la petite dame aimait manger de bons petits plats. Effectivement, comme beaucoup des jeunes, elle avait voulu son petit studio mais elle était bordélique et ne savait pas cuisiner, son ainé le savait, et son ainé eut pitié de sa petite sœur chérie. Il se chargeait donc de venir assez souvent, lui faire des plats, les partager avec puis repartir.

Il fit un tour dans la chambre et la vit dans son pitoyable état.

- Sœurette ... il se passe quoi ? demanda-t-il en s'approchant doucement. Oh merde ... conclut-il en voyant une petite photo étrange dépasser du sac de sa sœurette.

C'était l'échographie.

- C'est qui le père ? JE TE PARLE LYDIA ! MAIS REPOND BORDEL !

Après être resté un certain temps à ses côtés, attendant qu'elle se calme, il apprit toute l'histoire. Il maudit l'ex, il maudit Mateo, il maudit le monde mais pas sœurette. Cette dernière, malgré toutes ses erreurs ou insouciances, il ne pouvait lui en vouloir.  

- Faut que t'avortes, conclut-il.


***

Elle avait fui l'hôpital. Son frère était sur ses talons, lui ordonnant de revenir. Elle refusait.

- Tu ne comprends pas ! Tu  ne comprends pas ! répéta-t-elle.
- C'est toi qui comprend rien ! Si tu gardes ce gosse, tu crois que papa va être content hein ? Dois-je te rappeler qu'il te croit encore pure et chaste et qu'il attend que sa princesse chérie se marie et a des enfants après, et non l'inverse ? Il va juste te jeter à  la rue sans le sous, et tu es incapable de t'en sortir toute seule Lydia. Bordel ... c'est mieux pour toi et pour lui d'avorter. Mateo ? Il est militaire, il est sur le terrain, tu crois qu'il a le temps de s'occuper d'un bambin ? Tu penses qu'il va en assumer la responsabilité ? Parlons de l'école tiens ... tu penses pouvoir continuer les études avec un ventre plus gros, et puis les responsabilités et le temps qu'exige un gosse ?
- TU NE COMPRENDS PAS !
- MAis je ne comprends pas quoi BORDEL !
- D'être une mère.


Il se tut aussitôt. Elle ne pouvait pas avorter, surtout depuis ce rêve étrange qu'elle avait eu. Une petite fille qui était venue vers elle en l'appelant maman, et puis lui poser la question la plus glauque de son existence "maman, saignes-tu ?". Cette nuit-là, elle avait cru à une fausse couche et elle s'était sentie très mal, terriblement mal ... assez mal pour comprendre qu'elle y tenait à cette vie.

Par contre comment l'expliquer à ses parents ? Elle tenta de trouver un discours approprié et prit son temps mais quand le ventre commençait à adopter cette forme particulière, il n'y avait plus le choix si ce n'est la vérité. Son père fut évidemment sous le choc, un choc terrible même. Il ne pouvait pas demander d'avorter, étant donné qu'il était assez religieux, mais il se refusait de voir sa fille plus longtemps, celle qui avait trahi toute sa confiance et pas mal de ses rêves et de ses efforts.

- Va-t-en. VA-T-EN !
- Papa ... s'il te plaît.


Pour toute réponse, elle reçut une belle gifle, la première de toute son existence. Elle comprit qu'elle devait partir et se rendit dans son village natal. La maison n'était plus habitée par ses grands parents, chacun ayant décédé récemment, et donc n'était plus guère entretenue. Elle se souviendrait toujours de toute la poussière, des bruits des rongeurs ou encore les insectes non identifiées jusqu'aux couvertures.

Dès ce jour, elle avait officiellement dit adieu aux études et à sa vie d'antan. Son père refusait de la voir, elle n'avait plus aucun moyen financier pour continuer ses lourdes et coûteuses études de médecin et surtout, physiquement, elle n'arriverait guère à maintenir le rythme. Si les premières semaines, tout allait bien, la suite était moins rose. Entre les nausées, les fatigues et les sauts d'humeur, rien n'allait.


***


- Lydia ? Mon dieu, que tu as grandi !

Lydia se figea. Cela faisait quelques semaines qu'elle était là et n'était pas vraiment sortie de la maison familiale, passant ses journées à tenter de nettoyer  et à tenter de se cuisiner quelque chose de potable. Quoique, cela devenait compliqué, surtout qu'elle commençait à avoir des envies spécifiques et qu'elle était un piètre cuistot. Aujourd'hui, c'était la "première" fois qu'elle était sortie soit sortir sans une paire de lunette et de chapeau pour cacher son identité.

- Ah ... Madame Lopez, salua la blonde, la gorge nouée.
- Comment te portes-tu ... mais ... Lydia, tu es enceinte ? Et bien, quelle surprise ! Depuis quand es-tu mariée ?

Pour la famille Moreno-Lopez, il avait toujours été évident que la petite Lydia se mariera et aurait après des enfants. Contrairement à leur fils, la jeune fille avait toujours eu un tempérament plus calme, plus responsable et plus réfléchie. Elle savait par exemple qu'être enceinte avant de se marier n'était pas vraiment conseillé, surtout avec un père comme la sienne.

Elle se trompa lourdement et le vit lorsque Lydia commença à pleurer, incapable de s'arrêter. La mère de Mateo l'emmena sans tarder dans leur demeure et tenta de calmer la blonde, disant qu'il était mauvais pour l'enfant de se mettre dans de tels états.

- Mateo ...
- Oh Mateo, il est encore en mission. J'espère qu'il va bien.
- Nan ... Le père, c'est ... Mateo. C'est ... On ne ... voulait ... pas.


La mère restait sans voix et mit un certain temps à accepter la réalité. Jamais, o grand dieu jamais, elle n'aurait imaginé ces deux-là ensemble. Leurs caractères, leur vie, leurs pensées ... rien ne justifiait la situation actuelle. Sauf peut-être l'alcool et le désespoir suite à une rupture.

Le père de Mateo fut mis au courant de la situation ainsi que de la réaction de Fabien. Il pouvait que critiquer l'insouciance des jeunes ou encore l'attitude du père mais le mal était fait. Il fallait maintenant en vivre avec les conséquences.

- Tu vas vivre avec nous quelques temps Lydia. Une femme enceinte ne peut pas vivre dans une maison aussi grande que la vôtre, et je pense que tu ne sais pas plus quoi faire. Sans parler que ton père t'a coupé les vivres ... tu as fait une erreur. Ou plutôt vous avez fait une erreur mais l'enfant n'a pas à en pâtir. Il doit naître dans les meilleurs conditions, et grandir tout aussi bien, conclut-il.

Ainsi, c'était fini de sa solitude. On l'accompagnait, on tentait de lui apprendre l'art ménager et surtout on tentait de lui redonner le sourire.


***


Son sourire ne revint qu'à la naissance de sa fille Mila. Lorsqu'elle prit l'enfant dans ses bras, tous ces longs mois de questionnement, de regret ou encore de peur avaient disparu pour ne laisser place qu'à un grand sentiment de félicité. Elle était heureuse, elle était fière. Sa joie atteint le summum quand elle vit sa famille venir lui rendre visite, et finalement lui pardonner. On disait que n'importe quel bébé apportait la joie mais une petite fille était un tout autre sentiment.

Par contre Anne profita que son époux soit occupé avec Mila pour s'approcher de Lydia et lui susurrer à l'oreille de ne pas parler de Mateo, au risque de gâcher tous ces bons moments. Lydia acquiesça, peu désireuse de faire fuir son paternel qu'elle n'avait plus vu de longs mois. Cependant, si elle acceptait de se taire les premiers temps, profitant à nouveau du confort familial, chouchoutant sa fille et la présentant un peu à tout le monde, son désir d'annoncer la grande nouvelle à Mateo restait au fond de son cœur.

Elle attendait avec impatiente qu'il revienne d'une mission ... mais, au lieu du traditionnel message de son meilleur ami, elle reçut une toute autre nouvelle : il aurait explosé dans une mine, sur une mine... bref, qu'importe, en somme il était sûrement mort.

Elle était folle de chagrin. D'une, elle venait de perdre son meilleur ami. De deux, elle venait de perdre le père de son enfant. Elle était peinée pour elle et davantage pour Mila. Sans réfléchir, elle fit ses bagages et s'envola tout droit en France, rejoindre sa famille maternelle. Là, elle passa sa semaine à tantôt pleurer, à tantôt patiner,  à tantôt profiter de cette famille ... lorsqu'elle se sentit bien mieux, quoique toujours peinée et en deuil de Mateo, elle revint en Espagne.

Lorsqu'on lui annonça que le brun n'était pas mort mais vivant, avec une jambe en moins certes, elle fut heureuse. Et déçue. Déçue de ne pas avoir été là et lui présenter sa fille, ou plutôt leur fille, Mila. A nouveau elle fit ses bagages et se prépara à se rendre à Redstone. Cependant, son père ne l'entendait pas de cette oreille.

- Tu restes ici Lydia.
- Papa, Mila a un père et il faut que je le lui dise. Je ne peux pas la laisser sans père.
- Je refuse qu'un homme comme lui soit le père de Mila. Il ne mérite rien, ce n'est qu'un bon à rien.
- Tu ne le connais pas !
- Je le connais assez pour dire que son père en a honte !
- Exagères pas.
- Si tu le rejoins, je te renie Lydia. Plus de vivre, plus de maison, juste toi et tes propres moyens. Et le jour où tu me supplieras de t'accepter à nouveau, en dehors de Mila, je ne reconnaitrai personne.
- J'ai toujours eu besoin de toi. Et Mila aura aussi besoin d'un père. Je suis désolée, conclut-elle la gorge nouée devant cette dure séparatio
n.

Elle prit le premier billet d'avion et s'y rendit. Elle pleura à nouveau lors du trajet mais se consola en se disant qu'elle n'était pas seule, qu'elle avait sa fille, que Mateo l'aiderait et surtout qu'elle devait le faire, que c'est ce que son cœur lui dictait.


***


Ainsi, son père la rejeta totalement, coupant définitivement tout lien et contact, arrêtant de réapprovisionner le compte et interdisant à toute sa petite famille de l'aider. Il se sentait trahi plus que tout et surtout il refusait d'admettre que Mateo soit le père, jeune homme qu'il n'appréciait guère.

La mère ou encore l'aîné n'étaient pas heureux du tout de ces décisions mais que pouvaient-ils y faire ? Ils tentent d'amadouer le caractère rude du paternel.

Lydia aurait pu chercher de l'aide auprès de la famille de Mateo mais à ses yeux, ils l'ont déjà beaucoup aidé en l'accompagnant durant sa grossesse et en convainquant son père de lui pardonner une première fois. Quant à sa famille du côté maternel, elle n'était guère très impliquée et il n'y avait pas de membres auxquels elle tenait particulièrement.

Autant dire, lorsqu'elle arriva dans ce nouveau pays dont elle parlait que plus ou moins la langue, elle n'avait que de petites économies, sa fille et ses bagages et rien d'autre. Elle se donna du courage en se disant qu'elle avait sa famille et ses amis, soit Mila et  Mateo, soit que demander de plus ? Cependant la réalité la rattrapa bien vite.

Il leur fallait un toit, de la nourriture ... les motels n'étaient guère un bon lieu de vie et si Mila tétait encore au sein, elle grandissait et risquait un jour ou l'autre de demander une vraie alimentation. Il fallait travailler mais quel emploi occuper avec peu, voir aucune expérience, et un enfant en bas âge entre les mains ? Comment chercher du travail alors que jusqu'à maintenant elle n'avait jamais eu besoin de travailler ni de s'en préoccuper, persuader de trouver un emploi dans la santé soit en ouvrant son cabinet soit en travaillant à l'hôpital ?

Il lui fallait peut-être un travail qui lui permette d'avoir une nounou en parallèle. Est-ce possible ça ?

Elle pourrait demander à Mateo mais elle ne voulait pas. Elle n'aimait pas mendier ce genre de chose, et surtout elle n'avait pas voulu paraître aussi mal en point financièrement parlant. En fait, tout est allé de travers mais elle ne voulait pas lui montrer. Il fallait déjà qu'il accepte l'idée d'être père, ce qui sera déjà un bon début.




Dernière édition par Lydia Gonzales-Martin le Mar 30 Sep - 20:32, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyLun 29 Sep - 22:49

Oh le scénario de Mateo I love you je pense que toi et moi on va avoir un lien intéressant green face bienvenue parmi nouuuus. Je suis ravie que tu tentes, ca va être fun Lydia Gonzales-Martin  1826528627
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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyLun 29 Sep - 23:39

les pages de pub facebook, ça doit être moi héhéhéhéhé en tous cas, trop bienvenue sur bp rhaaaa omfg courage pour ta fiche et surtout, amuse toi bien Lydia Gonzales-Martin  1553171811
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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyMar 30 Sep - 5:34

Tiens tiens la bff de Mateo Razz

Bienvenue et bonne chance pour te fiche!
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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyMar 30 Sep - 7:04

wtf you should be dancin green face héhéhéhéhé bril bril les zieux omagad let\'s make babies lick lick free hugs everyone! in da woods Lydia Gonzales-Martin  2104563482 Lydia Gonzales-Martin  781824920 Lydia Gonzales-Martin  4169388857 Lydia Gonzales-Martin  2110073599 Lydia Gonzales-Martin  800512135 Lydia Gonzales-Martin  3087090821 Lydia Gonzales-Martin  654834878 Lydia Gonzales-Martin  3778673971 Lydia Gonzales-Martin  953319541 Lydia Gonzales-Martin  1553171811 Lydia Gonzales-Martin  542276545 Lydia Gonzales-Martin  2169362446 Lydia Gonzales-Martin  1839924927 wtf you should be dancin green face héhéhéhéhé bril bril les zieux omagad let\'s make babies lick lick free hugs everyone! in da woods Lydia Gonzales-Martin  2104563482 Lydia Gonzales-Martin  781824920 Lydia Gonzales-Martin  4169388857 Lydia Gonzales-Martin  2110073599 Lydia Gonzales-Martin  800512135 Lydia Gonzales-Martin  3087090821 Lydia Gonzales-Martin  654834878 Lydia Gonzales-Martin  3778673971 Lydia Gonzales-Martin  953319541 Lydia Gonzales-Martin  1553171811 Lydia Gonzales-Martin  542276545 Lydia Gonzales-Martin  2169362446 Lydia Gonzales-Martin  1839924927 wtf you should be dancin green face héhéhéhéhé bril bril les zieux omagad let\'s make babies lick lick free hugs everyone! in da woods Lydia Gonzales-Martin  2104563482 Lydia Gonzales-Martin  781824920 Lydia Gonzales-Martin  4169388857 Lydia Gonzales-Martin  2110073599 Lydia Gonzales-Martin  800512135 Lydia Gonzales-Martin  3087090821 Lydia Gonzales-Martin  654834878 Lydia Gonzales-Martin  3778673971 Lydia Gonzales-Martin  953319541 Lydia Gonzales-Martin  1553171811 Lydia Gonzales-Martin  542276545 Lydia Gonzales-Martin  2169362446 Lydia Gonzales-Martin  1839924927

Je te l'ai déjà dis mais merciiiiiiiiiiii de tenter mon scénario rhaaaa omfg Il est important pour Mateo et tu verras on va bien s'amuser green face

Et puis j'adore la manière que tu as d'écrire, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ton histoire omagad omagad omagad

Encore bienvenue par ici et n'hésite pas à m'écrire si tu as encore des questions Very Happy
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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyMar 30 Sep - 10:09

Gniagniagnia ! Didi Grongron bril bril les zieux omagad
Excellent choix de scénario et ton pseudo est juste parfait Lydia Gonzales-Martin  1839924927
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche rhaaaa omfg lick lick
J'espère que tu me gardera un lien bien au chaud huhu Lydia Gonzales-Martin  781824920
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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyMar 30 Sep - 14:30

Meghan > No souci o/

Zaé > of course ^^ .

Mateo > je pense avoir fini, je te laisse décider =). J'ai pas encore totalement relu (et j'ai pas la force là avec la maintenance forumactif >< !).

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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyMar 30 Sep - 17:52

officiellement, bienvenue parmi nous lydia mia cara la la la
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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyMar 30 Sep - 17:57

Bienvenue parmi nous Lydia Gonzales-Martin  77809381
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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyMar 30 Sep - 19:51

Pour moi c'est tout simplement parfait Very Happy

Je donne mon accord pour la validation sans aucun problème I love you
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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyMar 30 Sep - 21:47

Salut toi !!! Je te souhaite la bienvenue miss !! Lydia Gonzales-Martin  4109203000 Lydia Gonzales-Martin  781824920 Lydia Gonzales-Martin  781824920
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MessageSujet: Re: Lydia Gonzales-Martin    Lydia Gonzales-Martin  EmptyMer 1 Oct - 10:02

bienvenue sur bp I love you
je ne peux pas te valider maintenant, je suis en cours Lydia Gonzales-Martin  1826528627
je ferais ça en rentrant chez moi cet après-midi (à moins qu'une des filles passe par là I love you )

Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

✈️ Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

✈️ Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles ajouter ton quartier de résidence dans ton profil, et que tu fasses une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.

✈️ Maintenant que ton personnage n'est plus à la rue, à toi de créer ton petit réseau d'amis et d'ennemis; alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA.

✈️ Si ton personnage a besoin d'un camarade, d'un amoureux ou d'un tout autre lien essentiel à son évolution, n'hésite pas non plus à créer ton propre scénario; BP offre aussi un système de boîte à liens vers lequel on t'invite à te tourner. Il est tout aussi important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

✈️ Enfin, histoire de compléter ton intégration totale au sein de la vie de BULLETPROOF, tu peux toujours t'inscrire dans la partie parrainages afin de devenir le petit protégé d'un des dinosaures anciens du forum.

✈️ Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré! Mais, il reste une étape importante: le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais-toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !
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