Ignacio • God created war so that Americans would learn geography
Auteur
Message
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mar 6 Mai - 23:40
Ignacio Valdez
I don't think I could love you so much if you had nothing to complain of and nothing to regret.
let me introduce myself.
NOM(S) : Valdez. PRÉNOM(S) : Ignacio Javier Christian... Je vous passe la suite. Ce serait long, et de toute façon largement inutile. Mes parents n'ont simplement jamais réussi à se mettre d'accord. AGE : 41 y.o. LIEU DE NAISSANCE : Queens, NYC, New-York, USA. ORIENTATION SEXUELLE : Hetero. SITUATION AMOUREUSE : Oiseau migrateur. SITUATION FINANCIÈRE : Meilleure que la tienne, amigo. MÉTIER/ÉTUDES : Militaire, ex-parachutiste/maître chien (101st Airborne Division); aujourd'hui instructeur. SI MILITAIRE, GRADE : Colonel, depuis peu. GROUPE : teaching war. AVATAR : Pedro Pascal. CRÉDITS : crimical@tumblr.
⊱ this time i'll be bulletproof
Tu vois, Ignacio, c’est le genre de gars… Rho j’en sais rien moi. Et rigole pas toi ! On me demande de te décrire, mec, t’imagines le truc ? Je sais pas, moi. Ignacio c’est le genre de gars que tu connais depuis deux minutes mais à qui tu vas tout raconter sans hésiter. Que tu as tué ton ex, que tu as vendu pères et mères, que tu es amoureux de la femme du général, bref tout ce que tu as toujours pensé que tu raconterais à personne, même pas ton chien. Mais lui tu lui dis tout. Alors qu’au fond le mec tu l’as jamais vu, mais tu t’en fous, tu sais pas, tu vois sa tête d’ours en peluche et tu lui balances toute ta vie en vrac. Bon, évidement, quand monsieur se balade avec ses galons de colonel sur les épaules et son Berger Malinois sur les talons, forcément ça refroidit. Mais même là, t’as limite envie d’aller boire un pot avec lui entre potes alors qu’il vient de te faire subir une matinée entière sous un soleil de plomb, dans le sable et dans une combinaison de robocop en mode four à micro-onde, à te faire attaquer par des chiens de combat en formation. Mais seulement voilà, il a qu’à lâcher une de ses bonnes blagues et t’oublies ta sueur et le demi-kilo de sable que t’as avalé et t’as l’impression que tu es avec un vieux pote. Ignacio c’est aussi le genre de mec qui hésitera pas à te foutre une bonne droite sans prévenir pour te remettre les idées en place. C’est le gars qui va te regarder avec son regard terrible d’hispanique et d’aller courir 20 km au lieu de pleurer sur ton sort comme une madone. Tu vois un peu ? C’est le genre qui sera impitoyable par sympathie. Et toi arrêtes de te marrer, je suis en train de t’encenser là ! Que dire d’autre… Ouais c’est sûr, comme tous les grizzlis monsieur a ses périodes d’hibernation. Du genre tu évites d’approcher parce que tu sais que tu peux te prendre un pain intempestivement pour aucune raison valable. Mais bon, on a tous nos hauts et nos bas hein ? Juste lui, ça va parfois tellement vite que c’est plus des montagnes russes ! Non, au fond, Ignacio ça fait combien que je le connais maintenant ? Quatre ans, peut-être plus. Et pourtant, dès le premier jour t’as l’impression de le connaître depuis toujours. C’est le pote qui sera toujours là pour venir te rechercher au fin fond du trou où t’as été te fourrer, t’aider même si tu avais les lanceros à tes trousses. C’est le gard que tu trahis qu’une fois aussi, parce qu’après c’est fini. Mais ça, la confiance, c’est primordial. Faut pas rire avec ça, et ça je pense que c’est tout le monde, hein ? Alors amigo, t’en dis quoi de ton portrait ? (rires)
⊱ i was meant to be a warrior Parachutiste, ça va. Maître-chien, au XXIe siècle, c'est dur à assumer. On l'a toujours pris pour un fou, et il a essuyé toutes les railleries possibles. Mais avec le temps les gens ont fini par le respecter pour ce qu'il faisait, et pour sa réelle utilité. Concernant le respect, 30 kg de muscles et de nerfs qui montre les crocs, ça aide, c'est sûr. Il a appris ses talents de dresseur de chien de combat auprès d'un spécialiste venu... des Pays-Bas. Ce qui fait qu'en plus de l'anglais et de l'espagnol, il a d'excellentes bases de néerlandais. La seule fois de son existence où il s'est retrouvé suffisamment saoul pour être complètement désinhibé, c'était avec sa soeur. Ils ont commis l'erreur de conduire, ont fini dans un fossé. Elle a passé trois jours à l'hôpital et trois mois dans le plâtre. Depuis, il n'a plus jamais bu une goutte d'alcool. Il y a deux personne sur cette Terre pour lesquelles il pourrait tout : sa soeur et... Non, oubliez ça. Jusqu'à ses dix-huit ans, son éducation l'avait rendu très croyant. Depuis, à part pour des jurons un peu moins fleuris qu'à l'accoutumée, la religion il a donné, merci. Il n'a su que ses parents n'était pas ses parents, mais en réalité son oncle et sa tante, qui l'avaient adopté, qu'à l'âge de 16 ans. Sa tante (qu'il continue considérer comme sa mère) lui a tout expliqué de ses véritables parents. Et sincèrement, il n'en a rien à cirer. Il a toujours eu le vertige, depuis qu'il est petit. Si il a choisi les parachutistes, c'était uniquement pour suivre Wylie. Aujourd'hui, le vertige est parti. Wylie aussi. S'il est un très bon joueur de guitare, comme tout hispanique qui se respecte, il est passionné depuis son enfant par les accordéons. Il en a garde un chez lui, et est excellent joueur. Il garde des séquelles physiques de sa dernière mission, qui a mal fini. De temps à autres, sans avertissement, la douleur lui vrille la hanche droite et le bas du dos. Pour le moment il boite très légèrement, mais les médecins affirment que cela devrait disparaître. On ne s'y attend pas venant que quelqu'un comme lui, mais il est un passionné de littérature classique française et anglaise. Sa plus grande faiblesse... C'est une grande tasse de chocolat chaud maison, avec son nuage de chantilly. Mais chut, c'est son petit secret ;-)
dévoile-nous ta véritable identité soldat.
PSEUDO/PRÉNOM : P'tit Lu/Lucie. FILLE OU MEC ? : Nana. AGE : 20 ans et pas une ride. FRÉQUENCE DE CONNEXION: Très variable. Assez rare pendant la session d'examen, le reste on va dire passage tous les jours, mais rp 3j/7 SCENARIO OU INVENTÉ ? : inventé... Avec un coup de pouce COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : Par cette chèèèère Elia. LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : Et d'eau fraîche. LE CODE DU RÈGLEMENT : shoot me down i won't fall. LE MOT DE LA FIN : COOOOOKIIIIIIIES.
Code:
[b]pedro pascal[/b] ignacio valdez
Dernière édition par Ignacio Valdez le Ven 9 Mai - 13:17, édité 7 fois
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mar 6 Mai - 23:43
⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…
La première fois qu’elle l’a vu, elle ne s’est pas dit, comme dans les grands films sur les grandes destinées de grands personnages : « il a un destin ». Non. C’était juste un gamin comme les autres, paumé dans l’enfer que pouvait parfois être Queens. New-York avalait les gens, dans la Big Apple c’était marche ou crève. Et derrière elle, elle laissait souvent des débris, des gamins qui se perdaient et qu’on récupérait souvent trop tard. Mais pour celui-ci non. Pour celui-ci, il y avait encore un espoir. Elle connaissait le dossier, il avait atterri sur son bureau le matin même. Le père, dont il avait hérité nom et prénom, était un mercenaire notoire qui jouait à chat avec la police. La mère était au fond, comme tant d’autres mères de ce quartier perdu du fin fond de Queens : désemparée. Alors un jour, elle avait déposé le gosse devant les bureaux, et elle avait disparu. La police l’avait cherchée pendant deux semaines, toujours sans résultats.
Alors elle avait hérité du dossier sur son bureau. Sa mission à elle, maintenant, c’était de tenter de lui assurer un avenir correct, en le remettant sur le bon chemin, en tentant de l’envoyer le plus loin possible de ce dans quoi il vivait actuellement. Elle avait choisi ce métier par vocation, mais elle avait vite compris qu’il y avait beaucoup de déceptions pour peu de réussites. Mais quand il y en avait… Quel âge avait-il, ce gamin ? Derrière ce regard fier brillait encore l’innocence de l’enfance. On disait toujours que plus ils étaient petits, plus ils avaient de chances…
Elle ne le savait pas encore, mais une semaine plus tard on allait retrouver la mère, morte. Overdose. Le gamin, trop jeune pour réellement comprendre ce qui se passait, serait placé en foyer un temps. Puis un jour, quelque part sur la base de Redstone, Huntsville, Alabama, Fidelia Nichols, née Valdez Vega, épouse du capitaine Nicholson, allait trouver dans sa boîte aux lettres une enveloppe provenant de New-York. Et dans cette enveloppe, la letrte de l’assistante sociale lui annonçant que son neveu, Ignacio Valdez, l’attendait quelque part dans un foyer de New-York City.
Et ni elle ni le gamin ne savaient que avant la fin de l’année, il aurait rejoint la base militaire de Redstone, où l’attendrait une chambre, des amis, et sa tante et son oncle étonnement ravis de l’accueillir. Non, à ce moment, dans ce petit bureau de l’Aide à l’Enfance, au fin fond d’un quartier de Queens, ni elle ni le gamin ne savaient que somme toute, son enfance serait heureuse, et aussi équilibrée qu’on pourrait l’imaginer dans bon vieux film hollywoodien…
• • •
Elle avait toujours su que les choses finiraient ainsi. Bien qu’elle n’ait jamais osé se l’avouer, une part d’elle n’avait jamais douté qu’il lui reviendrait un jour dans une boîte, comme son père. Son père… Il ne les avait jamais considéré autrement. Il les avait toujours appelé P’pa et M’ma, et avec le temps eux-mêmes avaient fini par le considérer comme leur chair et leur sang. Il était arrivé au bon moment, l’arrachant à sa dérive de mère qui venait de perdre son fils. Il était arrivé, perdu et seul, au milieu du deuil de cet enfant qu’elle venait de perdre. Alors elle avait oublié, elle avait changé, elle avait continué pour lui. Cet enfant, atterri d’on ne sait où dans New-York, lui avait fait plus de bien qu’il ne pourrait jamais l’imaginer. Puis elle avait eu sa fille. Et la vie avait continué, avec leurs chamailleries, leur vie sur la base, cette amitié étrange qu’il avait nouée très tôt avec les enfants des Turner.
Elle retint un soupir. C’était cette amitié qui le rendait fou aujourd’hui. La mort de Wylie et de sa mère avait été un choc pour tous leurs proches à la base, mais Ignacio semblait avoir complètement perdu pied. Il n’avait que dix-huit ans, à peine. Et il venait de perdre son meilleur ami, celui avec qui il avait grandi, celui avec qui il avait tout fait, celui qui le connaissait et qu’il connaissait mieux que quiconque. Alors elle comprenait. Elle comprenait ce vide qui devait l’envahir soudain, cette abysse que rien ne semble pouvoir refermer. Elle comprenait qu’il se perde, s’écroule, s’égare. Elle comprenait sa colère et sa tristesse, pour les avoir vécues, lorsque tout ce qui lui était revenu de son mari, c’était un drapeau. Elle comprenait, mais rien ne semblait vouloir apaiser cette colère dévorante qui brûlait en lui.
Le bruit aigu de la fermeture éclair rompit le silence, et il jeta son sac sur son épaule, entièrement équipé, prêt à repartir. Major, leur vieux berger allemand boiteux, apparut à la porte, reconnaissant sans doute le bruit caractéristique du soldat qui part, et venu saluer une dernière fois son maître. « Ne pars pas. » Ce n’était même pas une supplication. Juste une dernière tentative pour le retenir, mais elle savait que c’était vain. Il ressemblait tellement à son frère que parfois, elle ne pouvait retenir un frisson glacé de lui parcourir l’échine. Peut-être était-ce de son père, son vrai père, qu’il tenait cette violence et cette colère qui, depuis sa jeunesse, avaient toujours couvé en lui, sortant e temps à autre, brimées avec difficulté. Il avait toujours été instable, colérique, passant du rire à la haine en quelques secondes.
Elle croisa son regard, et détailla une dernière fois son visage. Il y avait encore sur ses traits l’ombre de l’enfance, derniers vestiges d’une innocence passée sur l’esquisse trop dure d’un visage d’homme. Il s’approcha d’elle, l’embrassa sur le front –il la surplombait d’une bonne tête depuis un moment– et partit sans un mot. Major le regarda s’éloigner, puis boitilla avec la maladresse que lui avait laissé une mine jusqu’au plancher du porche, où il s’étendit avec délectation. C’était fait. Il était parti. Il repartait Dieu sait où, parachuté dans des zones perdues et en proie à la violence, figure étrange d’homme et du chien qui surprenait toujours. Sa sœur allait lui en vouloir. Et il n’y avait pas qu’elle.
Et, tandis qu’elle le regardait s’éloigner, et que sa main se porta sans y réfléchir au collier orné d’une petite croix en or qui pendait à son cou, entamant un Ave Maria silencieux, l’idée floue qu’il perdait beaucoup plus qu’il ne pouvait l’imaginer en repartant lui flotta un instant dans l’esprit.
Sa silhouette disparut dans les méandres de la base, et dans un soupir las, elle retourna à son rosier en jachère.
• • •
Parfois, je me demande si tu t’en souviens. De ces jours où on ne pensait à rien, où on se cachait, parce que j’en avais 18 et toi 15, et que si on nous était tombé dessus, ça aurait été la cour martiale. Tu te souviens de cette expression ? Parce que moi elles me collent désespérément. Toute cette vie que j’ai laissé derrière, comme le con perdu que j’étais, tout ce que j’ai abandonné derrière moi, tout me colle à la peau. Oh, j’ai bien essayé de m’en défaire, je vois ton sale petit sourire moqueur d’ici. Mais j’ai pas pu. Eh ouais, de nous deux, on a toujours su celui qui avait un cœur en shamallow… Tu vois, rien n’a changé. Et tout a changé en même temps. Voilà que je deviens mélo, maintenant.
Je sais même pas pourquoi j’écris cette lettre que je ne t’enverrai de toute façon pas. Et pourquoi je ne l’enverrai pas ? Simplement parce que j’ai pas le courage. Eh ouais, au fin fond de ce foutu désert, à venir apporter la bonne parole et la paix à l’américaine, je suis même capable de trouver le courage d’écrire ton nom sur une enveloppe. Ça le fait pas trop, je sais. D’ailleurs, au fond, pourquoi je t’écris après toute ces années ? Après être parti dans les cris et les larmes, dans le désaccord le plus total, avec chacune des larmes dans tes yeux qui me vrillait le cœur. Je ne suis même pas certain que je saurais te justifier mon départ aujourd’hui. C’était complètement stupide, et j’y ai perdu beaucoup plus que ce que j’aurais pu gagner à rester. Mais voilà, j’avais dix-huit ans, je venais de voir l’avion qui transportait mon meilleur ami se prendre un missile, et je ne supportais plus la simple idée de voir tous ces regards peinés, toute cette tristesse, toute cette impuissance. Seigneur, ce que c’est pitoyable. Mais c’est désespérément vrai.
Et aujourd’hui on en est où ? Plus de vingt après, je n’ai pas oublié une miette de ce qu’on a vécu. Tous ces souvenirs me collent à la peau. Et bon sang, tu me colles à la peau. Ok, là c’est carrément film guimauve. Je ne vais définitivement pas envoyer cette lettre. Alors quitte à écrire des trucs sans queue ni tête sur du papier, autant tout déballer. Je crois que je vais revenir à Redstone. Je ne sais même pas pourquoi. Enfin, si, je crois que j’ai bien quelques idées, mais en vingt ans, tant d’eau a coulé sous les ponts et…
• • •
Il jeta un œil autour de lui, légèrement abasourdi de se retrouver ici, à Redstone, après toutes ces années. A vrai dire, le changement avait été tellement brutal qu’il peinait encore à réaliser pleinement. Un instant il racontait sa vie sur un bout de papier, secoué dans un Humvee, le tête de Bear posée sur les genoux ; celle d’après c’était l’enfer. Guet-apens. Attaque surprise. C’était à la fois flou et très clair dans sa tête… et dans sa chair. Un faux mouvement le fit grimacer. Il garderait une gêne et une douleur toute sa vie. Encourageant. Alors comme une bonne vieille bête de somme, on l’avait réformé, et maintenant il allait devoir en faire baver à des bleus. Voilà comment on lui avait défini le job. Il voyait ça peut-être un peu plus positivement, mais ce qui était certain c’est qu’on ne lui avait donné le choix.
Un homme les croisa, le saluant brièvement, et recevant pour toute réponse un début de grognement mauvais du Berger Malinois qui le suivait toujours à la trace. Un regard et un claquement de langue lui rappelèrent sa place, et ils continuèrent leur route. « Vétérans » tous les deux, encore un peu boiteux tous les deux, mais ça finirait par disparaître, ou du moins s’estomper. C’était déjà un miracle que Bear ait survécu, alors il n’allait pas se plaindre.
Il était revenu à Redstone. Ce qui voulait dire qu’il allait forcément la croiser, et retrouver des gens qu’il n’avait plus vus depuis des années, ou alors simplement croisés épisodiquement, le temps d’une permission, d’une pause entre deux de ses « fuites » sur le terrain, fuite de ce qu’il n’avait jamais su assumer.
Eh bien. Voilà qui promettait d’être intéressant.
Dernière édition par Ignacio Valdez le Dim 11 Mai - 13:13, édité 7 fois
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mar 6 Mai - 23:43
Elia et moi, on vous aime Iggy et toi !
Tu sais ça, hein ?
BULLETPROOF
M. “Mercy” Wayland
The Shattered one
✈ messages : 2941
✈ avatar : Keira Knightley
✈ âge : 28 ans
✈ côté coeur : Célibatarde qui n'arrive pas à oublier son unique amour : Aiden le parfait
✈ quartier de résidence : Redstone, aile est, n°7
✈ métier/études : Lieutenant de l'armée de Terre
Mercy à un grand frère de 32 ans, deux frères jumeaux de 24 ans et une petite sœur de 22 ans.
That was the problem with loving people : It made you weak. It made you need them. It made the thought of not having them the worst thing in the world.
✈ pseudo : Luiyna
✈ dc : Sara Howe
Tirelire : 53
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mar 6 Mai - 23:45
Welcome
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 0:57
Bienvenue parmi nous
BULLETPROOF
Cedric H. Dartmore
✈ messages : 306
✈ avatar : Tom Hiddleston
✈ âge : 37 ans
✈ côté coeur : Marié à son boulot.
✈ quartier de résidence : Un appartement dans le quartier Harvest, pour pouvoir travailler au calme.
✈ métier/études : Reporter de guerre
« Le silence devient un péché lorsqu'il prend la place qui revient à la protestation ; et, d'un homme, il fait alors un lâche. »
- Abraham Lincoln
✈ pseudo : Marie
Tirelire : 6
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 9:44
OMG quel super choix d'avatar
Bienvenue parmi nous =D
BULLETPROOF
Bulletproof
the king ৩
✈ messages : 3955
✈ avatar : army.
✈ quartier de résidence : everywhere.
✈ métier/études : maître de cérémonie.
Tirelire : 17
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 9:46
AAAAAAAH JE T'ATTENDAIS TOI
sache que je vous shippe déjà, elia et toi. eliacio for the win.
bienvenue parmi nous, beau gosse
BULLETPROOF
Arsène J. Duval
✈ messages : 1528
✈ avatar : Andrew Scott
✈ âge : 28 ans
✈ côté coeur : Teddy. - "Hello, darling. Sorry about that. Sorry about the bony elbows, sorry we lived here, sorry about the scene at the bottom of the stairwell and how I ruined everything by saying it out loud." {R. Siken}
✈ quartier de résidence : redstone
✈ métier/études : infirmier militaire
✈ pseudo : Blackout
✈ dc : Billie l'artiste
Tirelire : 0
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 10:24
Bienvenue sur BP monsieur
Bon courage pour ta fiche \o
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 10:25
UN NOUVEAU SHIP Bienvenue, avec ce beau gosse, et bon courage pour ta fiche
BULLETPROOF
Amelia-R. Westerfield
✈ messages : 4343
✈ avatar : jenna-louise coleman.
✈ âge : 23 yo.
✈ côté coeur : l'autre enfoiré d'ethan dans la tête, tout récemment maman.
✈ quartier de résidence : actuellement, l'hôpital civile de huntsville ; officiellement, quartier madison.
✈ métier/études : attachée de presse à la mairie.
and how odd it is, to be haunted by someone that is still alive. ❞
✈ pseudo : sil.
✈ dc : lua stern.
Tirelire : -193
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 11:32
on parlait de toi sur la cb hier, JE TE VÉNÈRE À FOND PARCE QUE PEDRO, AJFNKFD. en plus avec lena ils sont trop mimi bienvenue parmi nous iggy, amuses-toi bien sur BP
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 12:13
Gniiiiiii un nouveau ship à lover d'amour Bienvenue sur BP et puisse la folie t'atteindre
BULLETPROOF
Annaël J. Archer
✈ messages : 670
✈ avatar : Ian Somerhalder
✈ âge : 34 ans
✈ côté coeur : il l'aime depuis des années, c'est pas près de changer, envers et contre tout et il est enfin avec elle ! Cassie ♥
✈ quartier de résidence : la base Redstone, aile est mais possède un pied à terre dans le quartier Providence
✈ métier/études : pilote de chasse & capitaine
Mais d’où vient le feu qui s'empare
De mon âme a moitié ivre.
Soudain court un simple regard
Je veux vivre au bord du vide.
Je veux vivre au bord du vide.
Pour tomber dans ses yeux, tomber
M’abandonner au désir qui s’embrase.
Danser dans ses yeux, danser
Je veux tanguer aux accents de l’extase.
✈ pseudo : Larme d'Etoile
✈ dc : pas de troubles mentaux pour le moment
Tirelire : 86
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 13:13
J'aime bien ton pseudo Bienvenue sur BP et bon courage pour ta fiche
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 13:33
Bienvenue parmi nous
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 16:40
ce choix bienvenue sur bp
BULLETPROOF
A. Gillian Blossom
✈ messages : 902
✈ avatar : michelle williams
✈ âge : 28 ans
✈ côté coeur : done with this sh*t (c'est trop compliqué les garçons)
✈ quartier de résidence : harvest (n°4)
✈ métier/études : psychologue suppléante à Redstone (qui est revenue à Huntsville après une rupture mais qui comptait repartir et finalement... attendez c'était quoi la question ?)
Tirelire : 1
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 23:10
THE PRINCE OF DORNE
Bienvenue parmi nous avec ce choix de fou
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Mer 7 Mai - 23:18
MUAHAHHA, JE KIFFE TROP TON TITRE. tu me plais déjà toi bienvenue ici
BULLETPROOF
Matthew Channing
✈ I will follow you into the dark.
✈ messages : 3119
✈ avatar : Tom Hardy
✈ âge : 36 ans
✈ côté coeur : Père célibataire
✈ métier/études : flic
I won't give up on us
Even if the skies get rough
✈ pseudo : NYN
✈ dc : Addison
Tirelire : 46
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Jeu 8 Mai - 12:40
Bienvenue
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Jeu 8 Mai - 18:33
Bienvenüe, ton titre est génial
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Jeu 8 Mai - 19:09
OWAI, un nouveau ship
Bienvenue à toi sur BP, bon courage pour la suite de ta fiche & have fun
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Ven 9 Mai - 2:42
Merci tout le mooooooooonde
*distribue des cookies à tout le monde*
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Ven 9 Mai - 11:02
Ton titre il gère la fougère
Bienvenue sur Bp et bon courage pour ta fiche
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Ven 9 Mai - 11:18
MARTELL
Bienvenue sur le forum Ignacio
BULLETPROOF
Invité
Invité
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Ven 9 Mai - 12:32
Ouh voilà un perso qui détonne déjà !!! Bienvenue !!
BULLETPROOF
Bulletproof
the king ৩
✈ messages : 3955
✈ avatar : army.
✈ quartier de résidence : everywhere.
✈ métier/études : maître de cérémonie.
Tirelire : 17
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography Ven 9 Mai - 13:37
ok c'est bon, ignacio + elia = la nouvelle histoire que je vais suivre assidûment.
bienvenue parmi nous, colonel valdez
Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :
Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.
Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles ajouter ton quartier de résidence dans ton profil pour ne pas qu'il dorme à la rue, et que tu fasses une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.
Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.
Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.
Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !
BULLETPROOF
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Ignacio • God created war so that Americans would learn geography
Ignacio • God created war so that Americans would learn geography
Tu vois, Ignacio, c’est le genre de gars… Rho j’en sais rien moi. Et rigole pas toi ! On me demande de te décrire, mec, t’imagines le truc ? Je sais pas, moi. Ignacio c’est le genre de gars que tu connais depuis deux minutes mais à qui tu vas tout raconter sans hésiter. Que tu as tué ton ex, que tu as vendu pères et mères, que tu es amoureux de la femme du général, bref tout ce que tu as toujours pensé que tu raconterais à personne, même pas ton chien. Mais lui tu lui dis tout. Alors qu’au fond le mec tu l’as jamais vu, mais tu t’en fous, tu sais pas, tu vois sa tête d’ours en peluche et tu lui balances toute ta vie en vrac. Bon, évidement, quand monsieur se balade avec ses galons de colonel sur les épaules et son Berger Malinois sur les talons, forcément ça refroidit. Mais même là, t’as limite envie d’aller boire un pot avec lui entre potes alors qu’il vient de te faire subir une matinée entière sous un soleil de plomb, dans le sable et dans une combinaison de robocop en mode four à micro-onde, à te faire attaquer par des chiens de combat en formation. Mais seulement voilà, il a qu’à lâcher une de ses bonnes blagues et t’oublies ta sueur et le demi-kilo de sable que t’as avalé et t’as l’impression que tu es avec un vieux pote. Ignacio c’est aussi le genre de mec qui hésitera pas à te foutre une bonne droite sans prévenir pour te remettre les idées en place. C’est le gars qui va te regarder avec son regard terrible d’hispanique et d’aller courir 20 km au lieu de pleurer sur ton sort comme une madone. Tu vois un peu ? C’est le genre qui sera impitoyable par sympathie. Et toi arrêtes de te marrer, je suis en train de t’encenser là ! Que dire d’autre… Ouais c’est sûr, comme tous les grizzlis monsieur a ses périodes d’hibernation. Du genre tu évites d’approcher parce que tu sais que tu peux te prendre un pain intempestivement pour aucune raison valable. Mais bon, on a tous nos hauts et nos bas hein ? Juste lui, ça va parfois tellement vite que c’est plus des montagnes russes ! Non, au fond, Ignacio ça fait combien que je le connais maintenant ? Quatre ans, peut-être plus. Et pourtant, dès le premier jour t’as l’impression de le connaître depuis toujours. C’est le pote qui sera toujours là pour venir te rechercher au fin fond du trou où t’as été te fourrer, t’aider même si tu avais les lanceros à tes trousses. C’est le gard que tu trahis qu’une fois aussi, parce qu’après c’est fini. Mais ça, la confiance, c’est primordial. Faut pas rire avec ça, et ça je pense que c’est tout le monde, hein ?
COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : Par cette chèèèère Elia. LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : Et d'eau fraîche. LE CODE DU RÈGLEMENT : shoot me down i won't fall. LE MOT DE LA FIN : COOOOOKIIIIIIIES.
La première fois qu’elle l’a vu, elle ne s’est pas dit, comme dans les grands films sur les grandes destinées de grands personnages : « il a un destin ». Non. C’était juste un gamin comme les autres, paumé dans l’enfer que pouvait parfois être Queens. New-York avalait les gens, dans la Big Apple c’était marche ou crève. Et derrière elle, elle laissait souvent des débris, des gamins qui se perdaient et qu’on récupérait souvent trop tard. Mais pour celui-ci non. Pour celui-ci, il y avait encore un espoir. Elle connaissait le dossier, il avait atterri sur son bureau le matin même. Le père, dont il avait hérité nom et prénom, était un mercenaire notoire qui jouait à chat avec la police. La mère était au fond, comme tant d’autres mères de ce quartier perdu du fin fond de Queens : désemparée. Alors un jour, elle avait déposé le gosse devant les bureaux, et elle avait disparu. La police l’avait cherchée pendant deux semaines, toujours sans résultats. 
Elle avait toujours su que les choses finiraient ainsi. Bien qu’elle n’ait jamais osé se l’avouer, une part d’elle n’avait jamais douté qu’il lui reviendrait un jour dans une boîte, comme son père. Son père… Il ne les avait jamais considéré autrement. Il les avait toujours appelé P’pa et M’ma, et avec le temps eux-mêmes avaient fini par le considérer comme leur chair et leur sang. Il était arrivé au bon moment, l’arrachant à sa dérive de mère qui venait de perdre son fils. Il était arrivé, perdu et seul, au milieu du deuil de cet enfant qu’elle venait de perdre. Alors elle avait oublié, elle avait changé, elle avait continué pour lui. Cet enfant, atterri d’on ne sait où dans New-York, lui avait fait plus de bien qu’il ne pourrait jamais l’imaginer. Puis elle avait eu sa fille. Et la vie avait continué, avec leurs chamailleries, leur vie sur la base, cette amitié étrange qu’il avait nouée très tôt avec les enfants des Turner. 
Parfois, je me demande si tu t’en souviens. De ces jours où on ne pensait à rien, où on se cachait, parce que j’en avais 18 et toi 15, et que si on nous était tombé dessus, ça aurait été la cour martiale. Tu te souviens de cette expression ? Parce que moi elles me collent désespérément. Toute cette vie que j’ai laissé derrière, comme le con perdu que j’étais, tout ce que j’ai abandonné derrière moi, tout me colle à la peau. Oh, j’ai bien essayé de m’en défaire, je vois ton sale petit sourire moqueur d’ici. Mais j’ai pas pu. Eh ouais, de nous deux, on a toujours su celui qui avait un cœur en shamallow… Tu vois, rien n’a changé. Et tout a changé en même temps. Voilà que je deviens mélo, maintenant. 
Il jeta un œil autour de lui, légèrement abasourdi de se retrouver ici, à Redstone, après toutes ces années. A vrai dire, le changement avait été tellement brutal qu’il peinait encore à réaliser pleinement. Un instant il racontait sa vie sur un bout de papier, secoué dans un Humvee, le tête de Bear posée sur les genoux ; celle d’après c’était l’enfer. Guet-apens. Attaque surprise. C’était à la fois flou et très clair dans sa tête… et dans sa chair. Un faux mouvement le fit grimacer. Il garderait une gêne et une douleur toute sa vie. Encourageant. Alors comme une bonne vieille bête de somme, on l’avait réformé, et maintenant il allait devoir en faire baver à des bleus. Voilà comment on lui avait défini le job. Il voyait ça peut-être un peu plus positivement, mais ce qui était certain c’est qu’on ne lui avait donné le choix. 
bienvenue ici 
