Peter • Our scars make us know that our past was for real

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Peter Broyles

“Monsters are real, and ghosts are real too. They live inside us, and sometimes, they win.”

let me introduce myself.

NOM(S) : Broyles. Petit, c’était une fierté que de le porter. D’être le fils du Commissaire Broyles. Avec le temps, cette fierté s’est un peu ternie, comme le fait l’image d’un héros dans les yeux d’un petit garçon qui grandit. PRÉNOM(S) : Peter. C’était le nom de son oncle, un oncle qu’il n’a jamais connu. Le frère de sa mère décédé avant même la naissance du jeune homme. Il n’a jamais été un fan de ce prénom, mais il le vit bien. Ça pourrait être pire quand on y pense. AGE : Trente-cinq ans. Dans cinq petites années, le beau brun fera partie de ces gens ayant la quarantaine et il sait déjà que changer de décennies sera difficile pour lui. LIEU DE NAISSANCE :Washington DC cependant, de cette ville, il n’a vu que les murs de l’hôpital dans lequel il est né. Disons qu’il a un peu ruiné les vacances de ses parents avec son arrivé impromptu! ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. L’homosexualité, il n’a rien contre, mais c’est très peu pour lui. SITUATION AMOUREUSE : Fiancé. Non par choix, mais parce qu’il s’y sentait obligé. Avec une femme qu’il n’aime pas vraiment. Ce n’est pas un couple heureux, mais il ferait tout pour la voi sourire. SITUATION FINANCIÈRE : Il ne roule pas sur l’or, mais il ne manque de rien. Ce qui, pour lui, est amplement suffisant. MÉTIER/ÉTUDES :Agent Spécial Peter Broyles, FBI. Ça sonne bien, n'est-ce pas ?SI MILITAIRE, GRADE : Aucun. GROUPE : Ignoring War AVATAR : Joshua Jackson CRÉDITS : Tumblr

⊱ this time i'll be bulletproof

Vous le connaissez ce bon vieux coup du bon flic et du mauvais flic? Ce coup classique que tous les criminels – ou les fans de série télé- connaissent pour l’avoir vu à l’œuvre? Dans cette petite manigance crée pour vous faire parler, Peter serait sans doute le bon flic, celui compatissant et doux, celui qui vous rassure en vous disant que vous n’avez rien fait de mal et qu’il veut juste vous aider. Jusqu’au moment où il vous poignarde dans le dos avec son air froid et indifférent. Avec ce dédain sur ses traits pourtant si harmonieux. En réalité, Peter n’a rien du bon flic qu’il joue avec brio, il est simplement pragmatique, il fait ce qu’il faut pour réparer les injustices causées par la vermine, sans aucune sympathie pour le criminel en tout genre. Il est droit et juste, intransigeant avec les gens qui l’entourent ce qui fait de lui un partenaire difficile et exigent. Le jeune homme n’est pas de ces gens qui pardonnent facilement les erreurs et qui laissent des secondes chances à tout va. Au contraire. La vie ne vous donne pas de seconde chance, elle, alors pourquoi il le ferait, lui?

Il ne faut prendre le Lieutenant pour un de ces hommes qui se prennent trop au sérieux pour autant. Il n’est pas méchant ou insensible, loin de là. Peter est de ces policiers qui sont doués avec les mots. Ceux qui sont souvent désignés pour parler aux familles des victimes parce qu’ils ont cette douceur, cette chaleur humaine nécessaire à ces gens qui ont perdu un proche. Peter dégage quelque chose de rassurant, malgré son air parfois boudeur et sévère. Oreille attentive et patiente, il sait faire preuve de compassion envers son prochain, il se soucie de ces victimes d’injustices. Étant quelqu’un qui a peur de décevoir ses proches, il ne fait néanmoins jamais de promesse à ces victimes, comme il n’en fait jamais à ses proches, à moins d’être certain de pouvoir réaliser cette promesse dans un court laps de temps. Cette peur de décevoir les gens qui l’entourent n’est autre que la répercussion d’une déception qu’il n’a toujours pas accepte. Effectivement, il est difficile d’apprendre que l’homme que l’on adule n’est nul autre qu’un menteur qui ne fait que se servir de son boulot pour créer de nouvelles injustices. C’était promis de ne jamais devenir cet homme, Peter s’est promis à lui-même de ne jamais donner de raison à qui que ce soit de l’admirer comme il admirait son père.

Bien que difficile à vivre, l’Américain n’en reste pas moins quelqu’un de romantique et d’attentionné qui a besoin d’être entouré pour être heureux, qu’importe si cet entourage ne comprend qu’un poigné de personne. En dehors de ce boulot qu’il a du mal à quitter, il est un homme jovial et aimant qui adore rire des bêtises de cette petite fille qui vit sous son toit depuis près de trois ans maintenant. Il a cette touche paternelle, cette facilité désarmante à calmer les situations de crises. Romantique dans l’âme, il croit au grand amour et à l’âme sœur, bien qu’il ne l’avoue pour rien au monde. Peter a d’ailleurs cette habitude de cacher sa sensibilité derrière un sarcasme cinglant qui donne parfois l’impression que rien ne touche. Bien que ce soit faux, le jeune homme aime cette idée de l’être insensible que les gens ont de lui, puisqu’il déteste avoir l’air vulnérable ou faible. Il a également ces tendances colériques, ces moments de dureté qui vous font croire qu’en réalité, il n’en a rien à faire de vous. Détrompez-vous. Plus vous êtes important à ses yeux, plus vous aurez droit à ces colères et ces sarcasmes. S’ils vous font partie de ces gens qu’ils n’apprécient pas, vous n’aurez le droit qu’à une indifférence froide, un mépris glacial, mais jamais à cette colère passionnée.

⊱ i was meant to be a warrior N’étant pas très du matin, Peter ne prononce pas un mot avant d’avoir terminé son premier café de la journée

Il a horreur des Fast Foods en général, son pire ennemi est sans doute le Macdonald depuis qu’il y a travaillé, adolescent

Il considère l’enfant de sa fiancée comme sa propre chair, bien qu’il a conscience que ce n'est pas le cas et c’est la raison principale pourquoi il a accepté de planifier un mariage avec cette femme

Bien qu’il aime Ksenya, il ne cesse de repousser la date du mariage

Sa mère est mort quand il avait six ans d'un cancer du sein. Il ne se souvient pas très bien d'elle.

Il est gaucher et il utilise se fait à son avantage pour laisser la paperasse à son coéquipier, ce qui est plus une plaisanterie qu’une réelle excuse

Bien qu’il ne fume pas, n’arrivant pas à supporter l’odeur de la cigarette, il raffole des cigares cubains

Il a appris très jeune les bases de l’autodéfense et depuis, il pratique divers sports de combat, en particulier la boxe

En rentrant dans la police, la première chose qu’il a fait fut de fouiller les ficher des personnes disparues pour essayer de retrouver sa meilleure amie. Ça n’a malheureusement jamais abouti à quelque chose.

Bien qu’il ne l’avouera jamais, il adule Ellen DeGeneres et le Ellen show est presque une religion pour lui.

Il rêvait de devenir comme son père jusqu’à ce qu’il apprenne que celui-ci falsifier des dossiers pour désinculpé son frère aîné coupable du meurtre de sa femme.

Il ne considère pas la salade comme de la vraie nourriture.

Il a caché sous son lit un petit coffre fermé à clé qui renferme toutes les lettres qu’il a pu écrire à Hermione et qu’il n’a jamais pu envoyer, faute d’avoir une adresse.

Grand sportif, il déprime s’il n’a pas sa dose de sport tous les jours.

C’est un fan d’aviation et il a une panoplie de livres sur le sujet.

Il a un tatouage entre les omoplates, une phrase en grec qui a beaucoup de signification pour lui.

Il est féru de musées, il y passe presque tous ses dimanches, d’ailleurs.

Il est intolérant au lactose

Son groupe favoris est les Beatles depuis des années

Il a eu un problème de jeu il y a quelques années et depuis, se tient loin des partie de poker et des casino

dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : Childish Light FILLE OU MEC ? : Je suis une Lady... mais pas une vraie! AGE : 23 ans FRÉQUENCE DE CONNEXION: Tous les jours, je suis accro! SCENARIO OU INVENTÉ ? : Scénario d'Hermione COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : Par Elya, à la base. LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : Et d'eau fraîche! LE CODE DU RÈGLEMENT : Shoot me down but I won't fall ~~I am Titaniuuuummmm~~ LE MOT DE LA FIN : lick lick

Code:: [b]joshua jackson[/b] peter broyles

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Le froid lui brûlait les joues. Il ne sentait plus ses doigts depuis plusieurs minutes, déjà. Le vent soufflait en bourrasque sans pitié, s’engouffrant dans les vêtements, la neige leur fouettait le visage sans ménagement et pourtant, pas une plainte n’était soufflée. Les yeux plissés, des larmes gelées sur ses joues, le petit garçon essayait d’imprimer le paysage dans sa mémoire. Dans l’espoir futile de pouvoir mettre des images sur sa détresse. La température peu clémente permettait de voir qu’à quelques mètres de là où il se tenait. Quelques pierres tombales recouvertes de neige, un arbre aux branches dénudées pliantes sous le vent violent. Il s’imaginait sans mal le claquement des branches, bien qu’il ne puisse pas les entendre. Comme il ne pouvait entendre les paroles de l’homme de foi devant lui. Il n’y avait, dans les oreilles du gamin, que l’écho encore trop présent du moniteur cardiaque signifiant l’arrêt de l’organe. Il n’entendait que le bourdonnement de paroles réconfortantes et compatissantes. Il ne sentait ni la main de son père sur son épaule ni le vent dans ses cheveux. Il ne sentait que les larmes brûlantes sur ses joues. Comme des lames chauffées à blanc que l’on appliquerait contre sa peau. Il a six ans. Six petites années et déjà, il connaît la perte. Il sait ce que c’est de dire adieu. Six ans. Aujourd’hui même. Et elle n’est pas là pour lui faire son petit déjeuné préféré, pour le reconduire à l’école, pour l’amener à sa cour de karaté. Elle ne viendrait plus chasser les démons sous son lit le soir venu ou tarir les larmes sur ses joues lorsqu’il tomberait de son vélo. Toutes ces choses, Peter n’en mesurait pas encore le poids. On lui avait juste expliqué que maintenant, ce ne serait que lui et son papa. Chose terrifiante, lorsqu’on songeait que l’homme n’avait jamais envisagé s’occuper de son propre fils, trop absorbé par sa carrière. L’homme ne connaissait pas son fils, il ne connaissait de lui que ce que sa femme avait bien voulu lui dire. Il ignorait les habitudes de l’enfant, sa couleur préféré, ce qu’il détestait manger. « Peter. Viens, fiston » La grande main le tira loin de la tombe que l’on mettait en terre. Loin de cette mère tant aimé. Il supplia de rester, mais l’homme n’écouta point. La morte non plus, n’écouta pas, sourde aux pleurs prenant de son enfant.

La cabane dans l’arbre était son refuge préféré. Il y passait des heures sans compter, le nez dans ses bandes dessinées, dessinant des superhéros et des chevaliers dans un calepin, écoutant de vieux disques des Beatles sur ce tourne-disque qui avait appartenu à sa mère. C’était le seul endroit où son père ne venait pas le chercher. Le seul endroit où il pouvait faire ce qu’il voulait sans avoir droit à des reproches. Son père était un homme bon, bien que la clémence lui fasse défaut. Il demandait la perfection à la seule famille qu’il lui restait. Une perfection que Peter n’arrivait pas à atteindre. Des notes jamais suffisantes, des résultats sportifs qu’acceptable, un comportement solitaire et rebelle qui n’était pas pour faire plaisir. Peter ne s’en plaignait pas, cependant. Il se contentait de faire de son mieux sans jamais rouspéter. Quand il le faisait, ce n’était que pour cracher au visage de ce père que les choses étaient bien différente quand sa mère était encore envie, qu’elle, elle le comprenait. Ce fut par un samedi après-midi qu’il la vit pour la première fois. Elle et son visage d’ange. Elle dont les larmes roulaient sur ses joues rougies par ses pleurs. Elle se tenait sous l’arbre, de l’autre côté de la clôture et en fermant la musique, il pouvait entendre les cris provenant de la maison des voisins. « Pourquoi pleurs-tu? » Demanda-t-il suffisamment fort pour qu’elle puisse l’entendre. Ce qui fonctionna, puisque la fillette releva son visage vers lui, sans daigner répondre. « C’est parce que tes parents se disputent? » Peter était de ces enfants trop curieux, qui aiment savoir ce qui se passe autour de lui. Et il devait avouer que les larmes de la petite blonde l’intriguaient. Il la connaissait, puisqu’elle allait à la même école que lui, qu’il rentrait parfois ensemble après les cours, mais jamais ils n’avaient vraiment pris le temps de discuter. Ils papotaient du dernier film de Disney, de leur gâteau préféré, mais ça ne voulait pas dire qu’il la connaissait pour autant. Se mordillant la lèvre, il se penchant un peu plus dans le vide pour mieux la regarder. « Tu veux monter? J’ai des chocolats » ajoute-t-il comme pour la convaincre. Il ne fallut que quelques minutes à la petite blonde pour le rejoindre dans la cabane construite pour lui par son père. « Il faut pas dire à papa que je suis là. » Le garçon inclina doucement la tête sur la gauche devant les propos d’Hermione. Elle semblait terrorisée, comme si elle avait peur de s’attirer des ennuis en jouant avec d’autres enfants. Vraiment, terrorisée. Peter eu un sourire, dévoilant des dents manquantes, et tendit la main devant lui, lui présentant son petit doigt. « Motus et bouche cousu, alors. » La blonde hésita un moment, avant de répondre à son sourire et d’attraper son petit doigt avec le sien. « Merci, Peter »

⊱ Il sourit. De ces sourires qui ne veulent rien dire. De ces sourires sans signification particulière. Un sourire douloureux qui lui tord le cœur, qui l’acère son âme. Ses yeux d’un bleu si pur ne quittaient pas ce visage d’ange, comme s’il avait peur qu’il disparaisse soudainement sans qu’il puisse en imprimer chaque trait dans sa mémoire défaillante. Il a l’impression que son monde est un bout de parchemin qui s’effrite sous une brise violente et qu’il ne peut rien faire pour rattraper les bouts de papier. Ces morceaux de cette relation qui lui glissait entre les doigts sans qu’il puisse protester. Il savait qu’il ne pourrait pas la retenir ici. Il n’en avait pas le droit. Il ne pouvait pas lui demander de rester dans cet enfer qui prenait place de l’autre côté de la rue. Il n’avait pas le droit de lui demander de subir un coup de plus. Il n’avait jamais eu ce droit. Et pourtant, malgré leur relation des plus platoniques, l’adolescent avait l’impression qu’elle venait de lui arracher le cœur avec ses ongles parfaitement manucurés. « Tu pars. Maintenant. » Ce n’était pas une question. C’était une affirmation douloureuse, des mots qu’il s’arracha tant bien que mal, tâchant de contrôler sa voix défaillante, sa voix qui s’étouffait dans sa gorge, étrangler par une tristesse qu’il essayait de maîtriser. Peter avait toujours su qu’elle partirait, qu’elle ne resterait pas éternellement à Jacksonville que dès qu’elle le pourrait, elle quittera ce patelin et n’y mettrait plus jamais le pied. Elle lui avait dit si souvent à travers ses larmes. Il avait toujours cru qu’il partirait avec elle, qu’il la protégerait encore et encore du monde extérieur, mais elle en avait décidé autrement. Il avait été si naïf. Hermione ne voulait pas de lui dans cette nouvelle vie qu’elle désirait se construire. Il n’y avait aucune place pour lui. Elle partirait, l’oublierait et il restera là à essayer de se souvenir de ces nuits qu’il avait passé à la regarder dormir dans son lit, son visage angélique si paisible, son souffle frôlant la peau de son cou alors qu’il embrassait ses cheveux. C’était fini. « Tu as toujours su que je partirais. » Oui. Mais pas maintenant. Pas aujourd’hui. Il pensait avait encore un peu de temps, qu’il avait encore quelques semaines. Qu’elle attendrait d’être majeure. Doucement, il secoue la tête de gauche à droite, passant une main sur sa nuque. Un soupir passa ses lèvres. Il ne savait pas quoi lui répondre. Il ignorait quoi dire, quoi penser. Tout ce qui lui revenait en tête, encore et encore, c’était l’image de cette chambre sans elle. C’était ces soirées jeux vidéo qu’il passerait seul. Il n’y aurait plus aucune petite blonde pour lui faire mordre la poussière à Mario Kart. « Je croyais juste que… je puisse partir avec toi, que l’on pourrait… » Il secoua de nouveau la tête, renonçant à mettre des mots sur ce qu’il ressentait. Elle reprit la parole, prononçant des mots qu’il n’entendait plus. Il se demandait déjà ce que dirait son père lorsqu’il apprendrait que son fils était amoureux de la gamine d’à côté. Il entendait déjà les plaisanteries de ses potes puis les regards désolés lorsqu’ils remarqueraient tous qu’Hermione ne reviendrait pas. Qu’elle faisait désormais partie d’une longue liste de fugueurs. « Laisse. Tu ne comprends vraiment rien ‘Mione. » Sans un mot de plus, sans un regard en arrière, il franchit le pas de la porte pour se diriger vers le salon, fermant cette dites porte dans son dos.

Elle était belle, malgré sa nervosité grandissante. Elle ne cessait de jeter des coups d’œil inquiet à la porte d’entrer, le rendant lui-même nerveux. Il devait se faire violence pour ne pas se retourner et jeter un coup d’œil à la porte. Peter n’était pas nécessaire habituer à ce petit manège qu’on lui avait enseigné. Il ne savait pas être indifférent aux victimes, en faussement compatissant, parce que l’attachement n’était pas le bienvenu. Comment ne pas s’attacher à la petite blonde qui lui faisait face? Hope. Son visage à lui seul matérialisait ce simple mot. Hope. Et pourtant, elle était coincée dans cette situation sans issues. Dans un enfer bel et bien réel qui ne lui laissait pas beaucoup d’espace pour espérer, justement. C’était la raison principale pourquoi il était venu vers elle en premier lui. Pourquoi il s’était ouvert la main avec un tournevis vingt-quatre heures plutôt dans le but qu’elle le soigne. Peter porta sa tasse de café à ses lèvres, les trempant dans le liquide chaud. Ce n’est que lorsqu’il reposa sa tasse qu’il prit la peine de briser le silence entre eux. Il avait cru qu’elle le ferait la première. Visiblement, il s’était trompé. « Vous êtes en sécurité, Miss Romanoff » Sa voix était chaude et douce, se voulant rassurant. Malgré son assurance extérieure, il n’en était pas aussi certain que ça. Certes, il n’était pas le seul agent dans les environs. Le FBI n’était pas assez bête pour laisser un seul agent responsable d’une affaire aussi importante. Et Peter n’avait pas l’intention de laisser Hope filer. Il savait que si cette enquête était un succès, il pourrait envisager grimper l’échelon suivant dans sa carrière. Mais surtout, il voulait voir cette jeune fille loin de cet enfer. « Je vous ai déjà dit que ce ne serait pas gratuit. » L’homme sourit malgré lui. Bien sûr que ce ne serait pas gratuit, il s’en était douté dès la première rencontre, avant même qu’elle n’ouvre la bouche. Pouvait-il attendre autrement d’une femme dont la vie est mise en suspend au profil d’un criminel? Pouvait-il s’attendre à autre chose venant d’une femme qui ne connait que violence et larmes depuis des années? Non. Il ne pouvait pas. Comme il ne pouvait pas nier qu’elle ressemblait un peu à Hermione, dans sa force, dans son envie de survivre. Hermione dont le seul nom suffisait à lui lacéré le cœur malgré les années qui s’étaient écoulées. Il chassa ce nom de son esprit avec amertume avant de reporter son attention sur la jeune femme face à lui. « Que voulez-vous, exactement? » Il l’observait, regardant ses traits comme dans le but de les mémorisés du mieux qu’il le pouvait. Afin de lire sur son visage un doute quelconque, un indice qui le mettrait sur la bonne voie. « J’ai une sœur. » Il hocha doucement la tête, comprenant où elle voulait en venir. Silencieux, attentif, il écouta la jeune femme parler. Donna sa parole qu’il ferait tout pour la sortir de là. Ce que ne savait pas encore Peter, c’était que tout ne serait pas suffisant. Que même en faisant de son mieux, il ne serait pas capable de sortir Hannah de là. Qu’elle était déjà condamnée au moment même où il faisait cette promesse.

« Tu savais. Tout ce temps. Tu savais. » Ce n’était pas une question ni une affirmation. C’était un reproche. Dure et acerbe. L’homme devant lui ne cilla pas. Il se contenta de le regarder avec un air las, comme s’il savait que l’explication serait complexe et difficile. Il avait raison. Le commissaire Broyles savait que le sujet de la petite voisine d’autrefois était un sujet sensible chez son fils. Il savait que Peter ne laisserait pas l’affaire facilement, qu’il refuserait d’entendre, de comprendre, les raisons qu’il avait eu de se taire. L’adolescente était une fugueuse, de ces gamines qui ne peuvent que finir mal, droguées et prostituées dans un taudis. Quant au père, il n’était qu’un homme marquer par la violence de la guerre, un homme traumatisé qui ne savait plus faire la différence entre le bien et le mal. Il avait l’excuse parfaite aux yeux du vieil homme pour ne pas être puni par la loi. Comme il avait sauvé son propre frère de la prison après le meurtre de sa femme. Parce que lui aussi était un vétéran, marqué par la guerre. Il ne connaissait plus les limites entre le bien et le mal. L’homme observa son fils avec indifférence. Il aurait pu être fier de son garçon, si celui-ci pouvait voir les différentes teintes de gris. S’il ne voyait pas autant le monde en blanc et noir. S’il n’était pas aussi émotif et imprévisible. « Qu’est-ce que ça aurait changé, Pete’? Elle n’serait pas restée pour autant. » Ou peut-être que si. Le retraité avait suffisamment connu la jeune Bishop pour comprendre qu’elle était une brave petite fille, une gamine avec le cœur sur la main et qui ne demandait rien d’autre que de retrouver son petit paradis tranquille. Celui qu’elle avait connu avant l’arrivée de son père dans sa vie. « Elle est partie à cause de lui. » Tonna le fils d’un ton sans appel, sans pardon. Pendant des années, il s’en était voulu de n’avoir rien dit à son père à propos de la violence de leur voisin, il avait cru que son père aurait pu faire quelque chose. Mais il savait depuis le début. Il n’avait rien dit. Il n’avait rien fait. « Il est malade, Peter. Tu ne peux pas lui en vouloir. » Un rire amer échappa des lèvres du jeune homme alors qu’il levait les yeux au ciel. « Malade. Comme ton frère? Comme ce cinglé qui a ouvert le feu sur ces enfants à l’école du quartier? Comme celui qui a fait l’attentat du onze septembre? Ils sont seulement malades, hein, papa? Ils ne méritent pas d’être punis, non. Ce sont des victimes. » Il croisa ses bras sur sa poitrine, essayant de garder sa colère, sa rancœur, pour lui-même. « Ne dis pas de sottise, fils. Tu sais très bien que c’est différent. » Différent. Le mot roula encore et encore dans l’esprit du jeune homme. Différent. C’était ainsi que son père le voyait. C’était différent parce qu’il voulait que ce le soit. Aux yeux de Peter, cependant, un crime était un crime. Et son père, par son silence, était aussi coupable que celui d’Hermione dans cette histoire.

Elle était là. Petite chose effrayée par le monde qui l’entourait. Par lui. Lui, l’homme, le prédateur. Lui, dont l’éclat de colère venait d’ébranler les murs de la pièce. Qui venait de fragiliser leur relation. La peur qu’il pouvait lire dans les yeux de la blonde lui tordait le cœur, lui faisait réaliser combien ce qu’il avait avec elle était fragile. Derrière le rideau de cheveux blonds, ses yeux brillaient d’une peur qu’il avait vue dans les yeux de quelques d’autres des années plus tôt. Dans ceux de cette amie d’enfance dont le nom était prohibé, dans celui d’Hope, aussi. Il inspira profondément, essayant de chasser les dernières traces de colère. C’était toujours la même dispute, celle au sujet d’un mariage qui ne venait pas. Quelque part, Peter savait qu’elle ne le voulait pas plus que lui, ce mariage. C’était pour elle une façon de tourner définitivement la page sur l’horreur qu’elle avait vécue. « Je suis désolé, Kseniya. » La jeune femme secoua doucement la tête, les bras croisés sur sa poitrine dans une attitude défensive. « Ce n’est rien. » Rétorqua-t-elle sur le même ton. Elle était belle, dans sa vulnérabilité, dans cette force fragile. À ce moment précis, elle lui rappelait cette première rencontre qui avait eu lieu entre eux dans les bureaux fédéraux. Elle, la femme maltraitée par un mari ayant kidnappé sa fillette de seize mois. Elle, terrifiée, par ce qui pourrait arriver à son bébé entre les mains d’un sadique pareil. Heureusement, on avait retrouvé la fillette, saine et sauve. L’homme avait été mis derrière les barreaux pour kidnapping et violence conjugale. Et lui, le flic, il avait soigné les bleus et les bosses de la jeune femme, il lui avait appris que ce n’était pas tous les hommes qui sont violents et cruels. Il allait rétorquer quelque chose quand un petit corps se jeta contre lui. Il baissa les yeux vers une petite fille aux couettes platine, aux joues rondes et aux yeux d’un vert pétillant. «Pete, tu viens me lire une histoire? Celle du garçon et du drôle de chien roux? » Souriant, il souleva la fillette pour l’appeler contre sa hanche, jetant un coup d’œil à la femme qui partageait sa vie. Il savait que la discussion n’était pas close, que ce n’était qu’une pause parmi tant d’autres. « Allez, viens, chaton. » Embrassant Kseniya sur la joue, il quitta la pièce, se faufilant entre les boîtes encore pleines qui trônaient un peu partout dans leur nouvelle maison, jusqu’à la chambre de l’enfant. Tout ça était nouveau. Cette nouvelle ville, ce nouveau poste, son rôle de parent à temps plein, le mariage qui allait éventuellement venir. Parce qu’il ne pourrait pas toujours le repousser comme il le faisait. Parce que Kseniya ne l’attendrait pas pendant dix ans.

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FERGTHYUJNBGFVDCSZDEFRGTYHUJNBGVFDCSZEFRTHYUJNBGVFDSERFTHNBGVFD omagad

Tu sais que je t'aime toi? green face

. Genre beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup? Peter • Our scars make us know that our past was for real 2335398002

. Bon en fait tu le sais déjà depuis le début mais maintenant que Peter est réel je t'aime encore plus omagad

Je te fais des bébés, des calins, des cookies, et tout ce que tu veux I love you

.
Et puis on va tellement s'amuser toutes les deux I love you

. Ils sont tellement parfaits les choupis que voilà j'ai plus que hâte Peter • Our scars make us know that our past was for real 781824920

Tu sais déjà tout ce que je pense de tes idées et tout donc voilà j'approuve à fond rhaaaa omfg

Et puis maintenant Peter • Our scars make us know that our past was for real 3049928492

Rebienvenue à la maison I love you

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Tiens mais c'est qui celui-là ? Rolling Eyes

On n'en a PAS DU TOUT entendu parler de ce Peter Peter • Our scars make us know that our past was for real 337664734

Peter • Our scars make us know that our past was for real 2169362446

En tout cas tu as fais un super méga choix de scénario omagad

J'ai plus que hâte de vous voir à l'oeuvre toutes les deux mia cara la la la

mais pas de tristesse, interdiction i set fireeee to the

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Welcome home ma belle lick lick

J'ai hâte de lire le reste de ta fiche rhaaaa omfg

Et puis il est évident que je veux un lien héhéhéhéhé

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Nya Peter enfin, sous cette forme t'as trop la classe attitude ! j'ai trop trop trop trop trop trop hâte de faire nos rp !!! ♥

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AAAAAAAAAH ENFIN Peter • Our scars make us know that our past was for real 3266668385

j'ai l'impression d'avoir attendu ce personnage toute ma vie tellement on m'en a parlé Peter • Our scars make us know that our past was for real 337664734

J'ai hâte de vous voir à l'œuvre avec Mione, parce que ce ship va rockser Peter • Our scars make us know that our past was for real 547459218

donc rebienvenue avec le bô Joshua et il me tarde de lire toute ta fiche Peter • Our scars make us know that our past was for real 781824920

BULLETPROOF InvitéInvité

Mione!

Tu vas avoir tout le droit du monde d'être vilaine maintenant! Oui, oui! Mais pas trop quand même!

Caleb... Maintenant, mon but premier va être de te faire pleurer jusqu'à ce que tu te déshydrate Peter • Our scars make us know that our past was for real 337664734

Avec plaisir pour le lien, mon coco!

Iris!!!! J'ai trop hâte aussi! Ils vont souffrir, nos p'tits cocos rhaaaa omfg

Merci ma Daisy! Promis, on va essayer d'être à la hauteur du Benjaisy! bril bril les zieux

BOUH FBIII BOUUUUUH. *sort*

Bienvenue mia cara la la la

BULLETPROOF InvitéInvité

Tu vises haut héhéhéhéhé

Mais je suis sûre que vous en êtes capables Peter • Our scars make us know that our past was for real 1128288640

(Et je veux un lien aussi Peter • Our scars make us know that our past was for real 2145037518

)

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OH LE SCENARIO D'HERMIONE bril bril les zieux

je valiiiiiiiiiide x281628163528235 Peter • Our scars make us know that our past was for real 781824920

Du coup, si j'ai bien compris c'est rebienvenue ? I love you

J'ai hâte de lire vos rp en tout cas amen god/godess

BULLETPROOF InvitéInvité

Han le Peter, le fameux Peter! héhéhéhéhé

Bienvenue ici, et hâte de voir votre duo à l'oeuvre! green face

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Chut tu n'as pas le droit de dévoiler mes plans pour être vilaine, c'est interdit c'est un secret Peter • Our scars make us know that our past was for real 2169362446

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Mais je vais être gentille quand même tu verras héhéhéhéhé

Et je nie le fait d'avoir attendu Peter comme le messie et d'en avoir parlé Peter • Our scars make us know that our past was for real 337664734

Ce n'est pas moi ! green face

Pour le Benjaisy ça va être compliqué d'être au niveau scratch

-mais on va essayer Peter • Our scars make us know that our past was for real 2145037518

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BULLETPROOF InvitéInvité

Rebienvenue parmi nous bril bril les zieux

BULLETPROOF InvitéInvité

Haaaaaaan le Peter ! Le fameux ! bril bril les zieux

Rebienvenue mon petit chat Very Happy

J'espère que tu t'éclatera à fond avec lui ! Y'a tellement de possibilité. Puis bon il te va tellement bien ce perso rhaaaa omfg

En tout cas, va falloir qu'on réfléchisse à notre lien avec Liam un de ces jours haha.
Bon courage pour continuer ta fiche, tellement hâte de lire !

BULLETPROOF InvitéInvité

Hermione Bishop a écrit:: Chut tu n'as pas le droit de dévoiler mes plans pour être vilaine, c'est interdit c'est un secret .
Mais je vais être gentille quand même tu verras

Pour le Benjaisy ça va être compliqué d'être au niveau -mais on va essayer -

Oh aller, tout le monde sait que tu es vilaine! Peter • Our scars make us know that our past was for real 337664734

En fait, ton prénom aurait dû être Voldemort

Shhht. On peut quand on veut! Mais oui, on a du pain sur la planche quand même!

Merci Raph bril bril les zieux

Il est trop parfait ce scéna'!

Meghan free hugs everyone!

Logan, merci mon canard en sucre! bril bril les zieux

On va trop se taper sur la gueule avec Liam, ça va être joli à voir rhaaaa omfg

Rebienvenue !

BULLETPROOF InvitéInvité

T'ES PAAAAAAAAAAAAAAAARFAITE I love you

. TOTALEMENT Peter • Our scars make us know that our past was for real 2104563482

( vu qu'il faut mon avis Peter • Our scars make us know that our past was for real 337664734

)

BULLETPROOF InvitéInvité

Tant mieux si tu aime, mon canard en sucre bril bril les zieux

BULLETPROOF InvitéInvité

Avec du retard, re-bienvenue Very Happy

BULLETPROOF InvitéInvité

Bon ben c'est tout bon alors bril bril les zieux

REBIENVENUE PARMI NOUUUUUUS officiellement Peter • Our scars make us know that our past was for real 2335398002

enjoy !

Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles ajouter ton quartier de résidence dans ton profil ainsi que ton métier.

Maintenant que ton personnage n'est plus à la rue, à toi de créer ton petit réseau d'amis et d'ennemis; alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA.

Si ton personnage a besoin d'un camarade, d'un amoureux ou d'un tout autre lien essentiel à son évolution, n'hésite pas non plus à créer ton propre scénario; BP offre aussi un système de boîte à liens vers lequel on t'invite à te tourner. Il est tout aussi important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

Enfin, histoire de compléter ton intégration totale au sein de la vie de BULLETPROOF, tu peux toujours t'inscrire dans la partie parrainages afin de devenir le petit protégé d'un des ~~dinosaures~~ anciens du forum.

Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré! Mais, il reste une étape importante: le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais-toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !

BULLETPROOF InvitéInvité

Merci merci merci merci rhaaaa omfg

Elle est trop parfaite sa fiche héhéhéhéhé

Et tu es beau en rose Peter pervert look

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