Tasha Hedlina, professeure de tir.

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Tasha Hedlina

La guerre n'est pas une aventure. La guerre est une maladie. Comme le typhus.

let me introduce myself.

NOM(S) : Hedlina PRÉNOM(S) : Tasha AGE : 38 ans LIEU DE NAISSANCE : Brighton, Angleterre ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle SITUATION AMOUREUSE : Célibataire SITUATION FINANCIÈRE : Stable et très bonne MÉTIER/ÉTUDES : Ancienne mannequin, professeure de tir depuis 5 ans SI MILITAIRE, GRADE : Major GROUPE : Teaching War AVATAR : Zoe Saldana CRÉDITS : Terrsflight

⊱ this time i'll be bulletproof

✈ Assise dans le fauteuil de son appartement, les yeux perdus dans le vide et les mains closes sur une tasse de café tiède, Tasha était enfermée dans sa bulle. Cela lui arrivait de plus en plus souvent. S’isoler. Se refermer. Se perdre dans ses pensées et regarder danser les visages du passé. Les visages aimants, souriants, accusateurs, agressifs, compréhensifs, vengeurs ravagés de tristesse. Tous valsaient devant ses pupilles, projection de son esprit sur une portion de mur blanc. Elle n’avait jamais été dépressive. Malgré les difficultés, la terreur et les épreuves, elle s’était toujours battue et était ressortie de toutes les batailles la tête haute. Bien sûr qu’elle avait été choquée plus d’une fois, bien sûr qu’elle avait cru arriver au bout de sa vie. Mais jamais elle n’avait perdu espoir. Pourtant, ce soir, une mélancolie nouvelle l’avait envahie et elle ne pouvait la repousser grâce au bruit de fond de la télévision, l’odeur d’un bon café et de la graisse à fusil qui traînait, tenace, sur ses doigts.

Elle avait repensé plus d’une fois à cette période durant laquelle elle avait été retenue prisonnière, avait accepté tout ce qu’elle avait subi et ne s’était pas apitoyé sur son sort. Elle avait continué à avancer, ne s’était pas retourné et s’était construit une vie. Emplie d’épreuves et de barrages à surmonter mais elle aimait tester ses limites. S’engager dans l’armée lui avait semblé une évidence lorsqu’enfin, ils étaient venus la délivrer. Elle était sortie de cette cave aménagée, y avait abandonné tout ce qu’elle pouvait et n’avait emporté que des souvenirs refoulés que son psychologue lui avait par la suite forcé à dévoiler.

Son regard se déplaça sur une des photos accrochées au mur. Woody, tout sourire, s’affichait au côté de la jeune femme. Elle l’avait haït pour les réminiscences qu’il lui avait extirpé. Puis elle lui en avait été reconnaissante. Elle l’avait détesté, apprécié, aimé. Son amitié lui était d’une aide précieuse. Elle lui rappelait que, partout dans le monde, se trouvaient des gens pour lesquels elle devait avoir la force de se battre, pour lesquels elle sacrifierait sa vie sans hésiter à la moindre menace. Des gens qui lui donnaient foi en l’humanité. Elle effleura du regard un reflet de son ancienne vie où elle n’était entourée que de grandes figures de la mode et le tiroir de ses souvenirs s’entrebâilla avant qu’elle ne le claque mentalement. Cette vie-là était derrière elle, définitivement. L’armée était sa famille, maintenant. Et elle lui serait fidèle, à jamais.

Ses longues jambes se délièrent et les pans de sa robe de chambre tombèrent le long de son corps mince lorsqu’elle se leva d’un bond en entendant un bruit dans le couloir. Une main fatiguée passa sur son visage. Encore une réminiscence. Un réflexe inutile. Elle était à l’abri dans cet appartement. Non seulement elle y avait installé des dizaines de caméra mais elle était en plus entourée de centaines de militaires qui ne laisseraient pas l’une des leur se faire blesser. Personne ne lui voulait du mal, ici. Sa paranoïa se calma, petite boule inquiète dans son ventre qui faisait vibrer son cerveau d’une peur irrationnelle. Tasha dénoua ses cheveux d’un noir profond et se força à prendre une grande inspiration. Les paupières mates dissimulèrent un instant les pupilles marrons et ses dents blanches furent découvertes dans un rictus amer. Elle ne craignait plus rien. Ils ne pouvaient plus lui faire de mal. Plus jamais.

⊱ i was meant to be a warrior Amatrice de café et de chocolat ✈ Ne peut s'empêcher de vérifier et nettoyer ses armes avant d'aller au lit ✈ Paranoïaque anonyme ✈ Bisexuelle refoulée ✈ Peur panique de s'attacher aux gens, par risque de les perdre ✈ Refoule le passé ✈ Tireuse hors paire ✈ Grande amoureuse de chiens ✈ A l'habitude de tout garder pour elle ✈

dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : Nami FILLE OU MEC ? : Fille AGE : 19 ans FRÉQUENCE DE CONNEXION: En général, tous les jours SCENARIO OU INVENTÉ ? : Scénario COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : Grâce à ma meilleure amie LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : L'amour, c'est si mignon. LE CODE DU RÈGLEMENT : Shoot me down but I won't fall LE MOT DE LA FIN : Ce forum est beau. Tout simplement

Code:: [b]Zoe Saldana[/b] ✈ tasha hedlina (tout en minuscules)

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⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…

Les histoires ont toutes un début et une fin. Mais certaines connaissent plusieurs débuts, et plusieurs fins. Qu’on le veuille ou non, la vie, le destin, le hasard, Dieu, appelez cela comme vous voulez, décide qu’il vous faut passer par une série de tests pour vous trouver, trouver votre voie, trouver votre identité.

Au début, il n’y avait pas beaucoup d’épreuves. Juste une enfance et un début d’adolescence normale, dans la petite ville côtière de Brighton. Le racisme ne l’avait jamais affecté plus que cela, vu qu’elle s’en foutait totalement. Mais sa couleur de peau avait fini par attirer un autre genre d’attention. Ou peut-être était-ce la longueur de ses jambes. Elle n’en avait jamais été sûre. Mais, alors qu’elle atteignait péniblement ses quinze ans, embourbée dans tous ces problèmes d’adolescente qui lui paraissaient ridicules aujourd’hui, ils l’avaient approché et s’étaient montrés très intéressés par son mètre soixante-dix, sa peau épargnée et ses grands yeux chocolat. Ils lui avaient proposé du travail, avaient discuté avec ses parents, s’étaient montrés tenaces et étaient revenus à la charge, plusieurs fois. Elle avait fini par céder. Sans lâcher les cours, elle s’était retrouvée propulsée sur le devant de la scène, parée de robes sublimes créées par de grandes couturiers, maquillée avec des produits qui valaient probablement plus que la maison de ses parents et coiffée avec une quantité de laque qui allait finir par s’infiltrer dans ses poumons et se fossiliser là. Tout était magique. Les voyages, les amitiés, les défilés, la reconnaissance. L’argent. La drogue. La descente aux enfers.

Elle s’était juré de ne jamais tomber dans le piège le jour même où ils étaient venus la chercher. Elle savait ce qu’il se passait dans ce milieu si l’on ne faisait pas attention. Elle avait goûté de la bière à l’anniversaire de ses quatorze ans mais c’était tout. Entre ses seize et ses dix-neuf ans, elle avait testé tous les alcools qui étaient à sa disposition, avait fumé des paquets de cigarettes offerts par des vieux riches, avait fumé l’herbe de ces mêmes vieux riches, avait fumé leur crack, une fois, avait sniffé leur coke, une fois. Deux fois. Quinze fois. Par jour. Puis elle avait vu le regard déçu de ses parents. Elle avait terminé ses études avec succès, aidée par l’effervescence de la drogue, et se félicitait d’avoir réussi cela en étant tout le temps sur les routes. Mais maintenant qu’elle voyait la déception et le dégoût qui pointait dans les pupilles sombres de sa famille, elle décida de mettre un terme à tout cela. Termina son dernier contrat. Ne s’engagea plus dans d’autres défilés tout en se faisant engueuler par son agent. Mais elle n’en avait plus rien à foutre. Prélevant une jolie somme sur son compte en banque, elle fit ses valises, versa le reste de l’argent sur le compte de ses parents et monta dans un avion. Direction : plus au Sud.

Elle n’avait rien prévu lorsqu’elle atterrit à Johannesburg. Vêtue d’un sarouel en lin, d’un débardeur blanc et d’une paire de lunette de soleil, elle s’engagea sous le soleil étouffant du pays inconnu. Dans son sac à dos, trois bouteilles d’eau, un carnet, un crayon et deux t-shirts de rechange. Dans sa poche, son passeport et une liasse de billet. Elle ne voulait rien de plus. Surtout, pas de contact extérieur. Elle était ici pour se rattraper. Se racheter. Un nouveau départ. Durant tout le trajet jusqu’à l’extérieur de la ville, elle sentait son estomac se tordre et se soulever, ses mains trembler, sa vision se troubler et son cerveau crier pour une nouvelle dose. Mais elle fermait les yeux, secouait la tête et continuait son chemin. Tout droit. Vers l’inconnu. Avant son départ, elle s’était renseignée sur les communautés d’aide qui se trouvaient en Afrique et avait marqué leurs noms et leurs positions sur la première page de son calepin. Maintenant, bien qu’elle ne sache pas vers quelle direction elle marchait, elle savait se diriger vers au moins l’une de ces communautés.

Le soleil était agressif. Le sable lui brûlait les yeux autant que le manque lui dévorait les veines. Elle n’avait plus vu de maisons depuis quelques heures et les rayons de lumière commençaient à raser dangereusement le sol crépitant. La fatigue alourdissait ses membres et la résistance du sable ne faisait que compliquer les choses. C’est là qu’elle l’entendit. Le ronronnement d’un moteur. Puis, les rayons couchants se firent balayés par ceux, plus puissants, plus jaunes, des ampoules d’une voiture. Cette dernière s’arrêta à côté de Tasha et une femme d’une trentaine d’années lui demanda où elle se rendait. Lui montrant la première page de son carnet, l’anglaise reçu un sourire chaleureux et une invitation à monter à bord. L’africaine ne parlait pas très bien l’anglais mais Tasha réussi à comprendre que c’était justement là qu’elle se rendait et qu’elle était infirmière. Sans se poser plus de question, elle monta dans la voiture et attendit patiemment la fin du voyage.

La frontière du campement se dessina dans l’éclairage puissant de la voiture. Des maisons de terre agrandies grâce à des tentes épaisses et brunies de sable, des chameaux, des voitures, des enfants qui riaient et jouaient tandis que leurs mères, leurs sœurs, leur criaient de rentrer dans les cahutes. Des feux se dressaient çà et là, enrobant le village dans une auréole orangée et chaleureuse. Leur voiture s’arrêta devant une grande maison et les enfants vinrent directement se loger dans les bras ouverts de la femme, s’accrochant aux jambes lorsque la place se fit restreinte et tendant leurs mains et leurs sourires pour ceux qui ne pouvaient même plus s’approcher. Encore assise sur le siège, Tasha regarda le débordement d’amour et d’admiration avec une vive émotion.

Elle n’eut aucun mal à se faire accepter dans cette petite communauté. Elle apprit l’anglais aux enfants, puis aux parents qui le désiraient. Elle leur apprit les rudiments des mathématiques. Leur parla de son pays, des pays qu’elle avait pu visiter. Ils l’aidèrent à se construire une petite maison, lui montrèrent commencer chasser, comment se déplacer sans faire de bruit, se protéger des tempêtes de sable et des animaux sauvages. Ils lui montrèrent la simplicité de la vie et la passion pour la nouveauté. Elle leur raconta son addiction. Ils l’aidèrent. Ils grandirent les uns avec les autres. Puis le feu s’abattit sur eux.

La température commençait à se refroidir un peu, il devait être le mois de juillet. Tout le monde s’était emmitouflé pour la nuit. Le silence avait posé sa cape sur le village comme une mère enroule son enfant dans une couverture. La lune brillait de mille feux et des millions de petits points piquetaient le ciel d’autant de diamants. Tasha était allongée près d’un tas de braise encore brûlant à fixer les étoiles lorsqu’elle entendit le même ronronnement caractéristique. Regardant sa montre, elle fronça les sourcils et se retourna. Une dizaine de voiture entra dans le camp, des hommes en descendirent, armés, et entrèrent dans les maisons en tirant au hasard. Les hurlements s’élevèrent, rapidement. Suivis par les pleurs. Les familles sortirent de leurs cahutes, escortées par ces hommes aux visages dissimulés. Les enfants pleuraient silencieusement. Les femmes serraient les bébés contre leurs seins pour qu’ils ne crient pas. Les pères étaient absents. Probablement tués. Eliminer la plus grande menace en premier, s’occuper du reste ensuite. Cela, même les plus jeunes le lui avaient dit lorsqu’elle avait appris à les connaître. Elle se leva, lentement, et rejoignit le petit groupement qui s’était formé devant ce qu’ils appelaient tous la maison principale. Elle servait d’infirmerie, d’école et d’hôpital lorsque cela était nécessaire. Les hommes criaient dans une langue que Tasha n’avait jamais entendue, un dialecte quelconque, elle n’en savait rien. Le stress la gagnait peu à peu et la peur lui noua le ventre. Partout, elle voyait la terreur sur les visages. Elle sentit que, sur le sien, se dessinait le même sentiment. Un enfant hurla. Un coup de feu déchira le silence. La couverture aimante et rassurante s’était transformée en chape de béton emprisonnant tous les souffles.

Elle ne comprit pas pourquoi elles ne furent que cinq à être emmenées hors du village. Sur le moment, tout du moins. Alors qu’elles se faisaient attachées, aveuglées et bâillonnées à l’arrière d’une des voitures, elles entendirent les crépitements des balles durant de longues minutes, tandis que la voiture se mettait en marche et dérapait de plus en plus vite dans le sable. Ce n’est que quelques heures plus tard qu’elle comprit. Lorsqu’on leur retira leurs bandeaux. Lorsqu’on les balança dans une cave sordide, tachetée de brun et illuminée grâce à une unique ampoule, nu. Aucune d’entre elles n’était d’origine Sud-Africaine.

Citation :: 28 août 2001

Les otages sont libres ! C’est avec un plaisir immense que le Premier Ministre anglais, Tony Blair, a accueilli les deux survivantes d’une prise d’otage survenue cinq ans plus tôt. Alors que tout le monde ne gardait qu’un mince espoir, l’armée américaine a ravivé les cœurs en annonçant, il y a près d’une semaine maintenant, que, lors d’une mission dans les déserts arides d’Afrique du Sud, ils avaient découvert deux personnes retenues captives dans une grotte gardée. Aucune information n’avait filtré jusqu’à aujourd’hui mais, lorsque l’avion a atterri à l’aéroport d’Heathrow et qu’un visage connu a fait son apparition, l’émotion a été vive.

Tasha Hedlina, mannequin mondialement connue qui avait disparu au mois de novembre 1996, amaigrie et visiblement mal en point, a été reçue par le Premier Ministre et une dizaine de journalistes triés sur le volet. Cependant, sa famille n’a pas accepté qu’elle soit questionnée dès son arrivée et, après une salutation rapide, la jeune femme a disparu dans une ambulance qui l’a emmené à l’hôpital le plus proche.

Quant à la deuxième otage, une résidente suédoise, nous avons pu apprendre par sa famille qu’elle se remettait rapidement et qu’elle serait bientôt disponible pour un interview exclusif.

Wayne Roberts

Elle était soignée. Elle pouvait enfin sortir. Ce n’était pas la première fois qu’elle mettait les pieds dans un hôpital mais, après son retour d’Afrique, ses blessures d’entrainements, ses blessures de guerre et ses petits bobos occasionnels, elle en avait par-dessus la tête. Ce n’était pas qu’elle n’aimait pas les médecins, loin de là. Ils lui avaient sauvé la vie plus d’une fois déjà. La réhydrater, la soigner, la traiter et la remettre sur pieds après sa capture n’avait pas été une mince affaire et elle leur en serait à toujours reconnaissante. Ceux qui s’étaient foutus d’elle lorsqu’elle était venue les voir pour un bras cassé lors d’un champ d’obstacle ne méritaient aucunement son respect. Elle avait envie de retourner les voir et de leur balancer Vous voyez bande de cons, une fille peut parfaitement entrer dans l’armée !. Mais ils n’en valaient même pas la peine. Elle s’était battue avec toute la force nécessaire pour passer les épreuves, se faire engager et se faire respecter. Eux n’étaient que des insectes insignifiants et restés à l’époque des dinosaures. Elle avait avancé, s’était fait rafistolé tellement de fois qu’elle ne comptait plus les blessures par balle, par armes blanches, par débris tombants du ciel comme les mouches s’abattant sur un tas de pommes pourries. Elle ne comptait plus les hommes et les femmes tombés à ses côtés sur le terrain. Elle ne comptait plus les crises de panique nocturnes, les crises d’angoisse au milieu d’une fête foraine lorsqu’un ballon éclatait, les sensations d’étouffements, les yeux rougis de pleurs. Elle ne comptait plus les personnes auxquelles elle avait dû annoncer que leurs maris, leurs fiancées, leurs femmes, leurs enfants, ne rentreraient plus à la maison. Ce n’était pas son travail. Mais elle avait l’impression que c’était son devoir. Surtout si elle avait un lien avec la famille du soldat tombé. Elle s’était battue, pour son pays d’adoption, pour sa vie, pour la vie de ceux auxquels elle tient. Elle s’était battue pour des idéaux auxquels elle n’adhérait pas toujours mais elle faisait son travail avec autant de passion et d’acharnement que le premier jour de son engagement. Elle ne laissait rien au hasard, jamais. Laisser le hasard décider revenait à mettre en jeu une ou plusieurs vies. Et les visages souriants des photos qui s’étalaient dans son album ne voulaient pas plus de compagnie. Elle s’était battue pour être reconnue, appréciée et surtout, pour gagner sa place dans ce monde d’homme qui s’était lentement écarté pour lui faire une place.

Maintenant, elle méritait son repos. La vie tranquille qu’elle menait à la base, l’enseignement qu’elle prodiguait aux têtes de mules qui pensaient qu’une femme ne pouvait pas être le professeur de tir estimée dont ils avaient tant entendu parler. Pas tous. Ils n’étaient pas tous des têtes de mules. Les femmes étaient agréablement surprises lorsqu’elles la voyaient en entrant dans le stand. Les hommes aussi, parfois, lorsque leur cerveau n’avait pas subi un lavage en ordre par les parents, les grands-parents, les oncles et les professeurs, leur enfonçant dans le crâne que l’armée était pour les hommes, uniquement, les vrais, les forts, les défenseurs de tous et uniques détenteurs de ce titre. Ils existaient, malheureusement. Et, ceux-là, Tasha se faisait un plaisir de leur montrer l’étendue de ses talents durant les trois premières séances de tir. Après, ils fermaient leur grande bouche misogyne, faisaient naître une étincelle de respect dans leur regard et s’appliquaient à se surpasser pour atteindre l’excellence demandée. C’était un métier contraignant, stimulant et enrichissant. Elle s’était battue pour atteindre ce niveau, cette reconnaissance, cette vie. Et elle ne laisserait personne lui balancer le passé à la gueule. Elle ne se laisserait pas rabaisser. Elle ne laisserait pas cette partie de sa vie refaire surface et ajouter des images d’horreur dans ses cauchemars récurrents. Elle était bien. Enfin...

BULLETPROOF InvitéInvité

Babe t'es là amen god/godess

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Ton avatar est juste magnifique omagad

Tasha Hedlina, professeure de tir. 781824920

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Bref, bienvenue ici Tasha Hedlina, professeure de tir. 781824920

BULLETPROOF InvitéInvité

Olala Zoe la parfaite ... Bienvenue à toi !! arsouuuuu

BULLETPROOF InvitéInvité

Oh toi

Tasha Hedlina, professeure de tir. 1128288640

$let\'s make babies$ Tasha Hedlina, professeure de tir. 198031153

Tasha Hedlina, professeure de tir. 1299235772

Merci merci Tasha Hedlina, professeure de tir. 1553171811

Je vais écrire l'histoire dans la soirée

BULLETPROOF InvitéInvité

Aidan chéri t'a ramené donc je t'aime déjà bril bril les zieux

Je te souhaite la bienvenue parmi nous green face

On va s'amuser comme des petits fou tous ensemble.

BULLETPROOF InvitéInvité

Hihi, bienvenue sur le forum !
Je suis sûre que tu vas roxer avec ce personnage, puis j'aime bien Aidan donc je t'aime bien lick lick

Bienvenue parmi nous Tasha Hedlina, professeure de tir. 77809381

BULLETPROOF InvitéInvité

Bienvenue

Zoe + le pseudo bril bril les zieux

Bienvenu et bon courage pour ta fiche !

Zoe est un très bon choix, bienvenue parmi nous I love you

ZOÉ ET LE SCÉNARIO ACTIF, ajfkdnxkd. elle est tellement belle cette tasha, depuis le temps que j'attendais une zoé sur le forum rhaaaa omfg

Tasha Hedlina, professeure de tir. 2329303516

bienvenue parmi nous, j'espère que tu vas te plaire sur BP! mia cara la la la

Officiellement bienvenue Tasha !! rhaaaa omfg

Et oué, comme l'a dit Rafiki, vu qu'c'est le geek qui t'as ramené, on t'aime déjà !!! Tasha Hedlina, professeure de tir. 1553171811

Si tu as la moindre question, on est là Tasha Hedlina, professeure de tir. 781824920

BULLETPROOF InvitéInvité

oh non mais ce prénom omagad

et super choix d'avatar aussi ! I love you

bienvenue sur bp et courage pour le reste de ta fiche rhaaaa omfg

BULLETPROOF InvitéInvité

Haaaanw ce scénario parfait. Et alors ton avatar, j'approuve juste trop quoi rhaaaa omfg

Bienvenu sur la planète BPienne jeune demoiselle Tasha Hedlina, professeure de tir. 1553171811

BULLETPROOF InvitéInvité

Tasha c'est trop joli comme prénom I love you

. Vraiment trop joli I love you

En plus ce scénario actif, il rooxxaaaaaait tellement tellement I love you

. Je suis contente de voir qu'il est enfin pris Tasha Hedlina, professeure de tir. 337664734

Et si tu viens parce que tu connais Aidan, tu as forcément la classe pervert look

Bienvenue parmi nous, courage pour ta fiche I love you

BULLETPROOF InvitéInvité

Zoe

Bonne chance pour ta fiche et excellent choix de personnalité :)

BULLETPROOF InvitéInvité

ce sa avec Zoe, juste parfait omagad

bienvenue sur bp I love you

Jolie plume, bienvenue parmi nous ! bril bril les zieux

Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles ajouter ton quartier de résidence dans ton profil, et que tu fasses une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.

Maintenant que ton personnage n'est plus à la rue, à toi de créer ton petit réseau d'amis et d'ennemis; alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA.

Si ton personnage a besoin d'un camarade, d'un amoureux ou d'un tout autre lien essentiel à son évolution, n'hésite pas non plus à créer ton propre scénario; BP offre aussi un système de boîte à liens vers lequel on t'invite à te tourner. Il est tout aussi important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

Enfin, histoire de compléter ton intégration totale au sein de la vie de BULLETPROOF, tu peux toujours t'inscrire dans la partie parrainages afin de devenir le petit protégé d'un des ~~dinosaures~~ anciens du forum.

Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré! Mais, il reste une étape importante: le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais-toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !

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