Comme un parfum de soufre qui fait naitre la flamme

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ian mendeleïv

se battre pour la paix, c’est comme baiser pour la chasteté

à partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-Neige.

NOM(S) : mendeleïv. PRÉNOM(S) : ian. AGE : vingt-trois ans. LIEU DE NAISSANCE : washington dc, usa, amérique. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. SITUATION AMOUREUSE : célibataire. SITUATION FINANCIÈRE : pas en reste. MÉTIER/ÉTUDES : militaire. SI MILITAIRE, GRADE : soldat. GROUPE : learning war. AVATAR : vladimir ivanov. CRÉDITS : tumblr.

⊱ this time i'll be a bulletproof

Je suis un enfant et un adulte. Tout à la fois téméraire, joueur et aventurier aussi bien taquin que sérieux. Je ne recule devant presque rien. Je suis d’un naturel méfiant, on m’a appris à ne pas faire confiance. Tout comme l’on m’a appris à aimer les miens et à haïr ceux et ce qui les menace. Je suis d’une dévotion –cachée- sans égale. Je ne suis pas sensible et naïf mais, dans le même temps, je suis d’une fidélité et loyauté à toute épreuve. Je suis combatif et d’une rare confiance en moi. Je sais ce que je vaux, je sais où je vais et comment j’y vais. Pour autant, je ne suis pas un maniaque du contrôle, loin de là. Il y’a des valeurs que l’on m’a inculqué, qui me semblent sensées et auxquelles je tiens. Je n’aime pas grand monde, je ne m’attache pas facilement mais je sais le prétendre. Tout comme je sais prétendre pas mal de chose, je sais mentir au besoin. Et je n’hésite absolument pas. Je dois être, quelque part, borné. Mes décisions sont les bonnes, je le sais. Je sais user de mes charmes pour parvenir à mes fins, un brin calculateur et charmeur. Dans le fond, je suis possessif. Je suis un capitaliste né, je n’aime pas partager. Je suis également hautain et orgueilleux pour le plaisir, pour de vrai. J’ai mon honneur, mes convictions. Mes craintes et peurs sont inexistantes. Je frôle la robotique, l’embrigadement. Je suis ton ami, ton pire ennemi. Au final, je suis un paradoxe, un panel d’adjectifs qui s’assemblent, se complètent et se contredisent. Une contradiction mystérieuse et intrigante. Ouais, j’adore le penser. Je suis tout le monde et personne. Je suis Unique mais certainement pas ordinaire.

⊱ i was meant to be a warrior

Je suis d’une impatience rare et lassitude rapide. Aussi, ai-je mieux intérêt à trouver plusieurs passions et occupations pour ne pas virer complètement taré sous l’effet d’une mécanique routinière et aliénante. Néanmoins, il n’en demeure pas moins que je ne me fatiguerai jamais que de, constamment, trouver milles et une manière d’emmerder la blonde peroxydée que je ne me traine depuis des plusieurs années. C’est presque devenu mon sport national et fétiche. C’est assez distrayant. Sinon, je suis le genre à adorer avoir une arme entre les mains. Cette sorte de responsabilité, de pouvoir marginal et déviant que de vie ou de mort. Plus précisément, j’aime le tir, j’aime la chasse. Un attrait particulier pour la traque, la filature. J’aime sentir l’adrénaline coaguler dans mes veines, sentir les frissons parcourir mon échine, rassembler ma concentration dans un but unique, laisser mes instincts les plus primaires faire surface, rejaillir. J’aime la sensation d’appuyer sur la gâchette, le bruit de la détonation, l’odeur de la poudre… Je pourrais continuer longtemps comme ça, à décrire en allant vers les détails les plus sordides qui me donneraient automatiquement, dans vos esprits, l’image d’un être inhumain et insensible voire effrayant et cruel. C’est notamment, le bruit de la lourdeur d’un corps sans vie qui s’écroule, l’éclat vermillon de la première goutte de sang qui explose dans le silence complet, dans un environnement paisible… Néanmoins, je ne chasse que des animaux, évidemment. Je demeure un tant soit peu équilibré malgré ce gout étrange dont, par ailleurs, je n’ai absolument pas honte et que j’assume. Certains aiment se jeter du haut d’un point, moi j’aime la chasse. Chacun son truc. J’ai été élevé comme ça, pas comme si on pouvait lutter contre la nature. Ce qui, pour le coup, serait totalement contre-nature. Autrement, plus commun, je m’adonne également à quelques activités plus ordinaires et basiques.

dévoile-nous ta véritable identité soldat.

PSEUDO/PRÉNOM : REAL EYES. FILLE OU MEC ? : fille. AGE : vingt yo. FRÉQUENCE DE CONNEXION: souvent. SCENARIO OU INVENTÉ ? : inventé. COMMENT AS-TU CONNU BULLETPROOF ? : bazzart. LE FORUM, TU L'AIMES D'AMOUR ? : évidemment mia cara la la la

LE MOT DE LA FIN : plop.

Code:: [b]vladimir ivanov[/b] ian mendeleïv

BULLETPROOF InvitéInvité

⊱ this is my riffle, this is my gun. this is for fight, this is for fun…

16 août 1997, Varsovie, Pologne.

Le soleil cogne mais je ne le sens pas. Le soleil cogne et il devrait brûler ma peau, l’irradier. Je devrais sentir chacun de ses rayons s’écraser sur ma peau diaphane. Je devrais le sentir réchauffer mon cœur, me réchauffer de l’intérieur. Mais la seule sensation sur laquelle toute mon attention est focalisée est celle qui étreint mes poumons, m’étourdi l’esprit. Oui, la suffocation dans sa forme la plus pure et épurée. Je suffoque et mes poumons s’emplissent d’eau. J’ai 6 ans et je manque de mourir noyé, de voir ma vie me filer d’entre les doigts… Mais rien n’y fait, je suis encore là, je me débats. Je combats la faiblesse et les méandres de la condition humaine. Je n’ai pas le choix. Il me faut prouver que je suis apte, que je suis capable. J’ai 6 ans et j’ai une conscience bien trop accrue des choses, de la vie, de ce que j’ai à faire, de ce que je dois faire, de ma présence sur Terre. J’ai 6 ans mais, pour autant, je n’ai pas grandi trop vite. Pas du tout. J’ai 6 ans et je sais quand il me faut m’amuser et quand il me faut m’épuiser à redoubler d’efforts. Présentement, c’est le cas. Il faut que je prouve qu’Ils peuvent avoir confiance en moi. De ma mère à mon père en passant par les voisins d’à côté jusqu’à la blonde peroxydée. J’ai cette hargne qui pulse dans mes veines et qui me donne une volonté exacerbée doublée de force que soupçonnais à peine. Les mains liées, le dos plaqué contre un rondin de bois, je coule aspiré par le néant. L’océan me submerge, me recouvre par intermittence, me malmène. Je trouve par moment ma respiration. Maigre et inexistante. Je suis calme, presque serein. Peut-être trop. Face à la –presque- mort, je ne crains rien. Coincé au fond de l’étendue bleutée, je dois me détacher, me défaire, par moi-même des liens qui me retiennent, m’entrainent et m’aliènent. Je rassemble ma concentration, la panique se dissémine. Travail de l’esprit et du corps. On me regarde je le sais. On m’analyse, m’observe et guette chacun de mes mouvements, de mes traits susceptibles de me faire échouer. Je sais également qu’on interviendra si je n’y parviens pas. Mais, je ne veux pas. Je veux réussir. Ils le savent…

25 décembre 2000, Varsovie, Pologne.

Je m’arrête soudainement. Silencieusement. Un sillon glacial effleure mon visage poupin. La brise hivernale dissipe les parfums dans l’air. Je lève doucement le visage vers le ciel qui pleure encore de sa faible lumière. J’inspire doucement. C’est mon cadeau, ma chance. Je traque. Décidé, j’aligne les pas dans la poudreuse. On me fait confiance. Je suis les empreintes dans la neige. Proie facile, probablement apeurée voire terrifiée, évidemment blessée ou au moins affaiblie. Mes chances de l’abattre sont au moins supérieures à 99%. Je n’ai pas besoin d’être rassuré, je sais déjà comment ça va se passer. Alors, je ne me presse pas, je marche. Car même en marchant j’irais toujours plus vite que ma proie. Les perles de sang qui souillent l’immaculé de la neige me servent de boussole. J’ai tiré une fois, je l’ai raté de peu. Quelques centimètres et c’était le point vital. Qu’importe. J’ai encore dans l’oreille le bruit de la balle qui fuse, qui s’enfonce dans la chair, le cri de douleur… La prochaine fois sera la bonne. Je serre l’arme dans le creux de ma main et m’aventure dans les bois. Animé par cet esprit purificateur et protecteur, je ne ferais pas demi-tour. « Pas de pitié, fils » Règle numéro 1. C’est un peu la loi du « marche ou crève » ou « tue avant d’être tué ». Pas très chrétien tout ça. Peu importe, les traits fermés, l’esprit résigné, je représente la détermination personnifiée. Puis… un angle parfait, une inspiration butée, une ouverture. Je vise. Aucune hésitation, une détonation…

28 février 2013, Varsovie, Pologne.

Je jauge le poids de la valise qu’elle dépose lourdement à mes pieds. Sérieusement, c’est du foutage de gueule. « Sérieusement, on ne t’a jamais appris à voyager léger ? » je râle, levant les yeux au ciel, le ton tout à la fois moqueur et las. Elle le prend mal, évidemment, j’esquisse un sourire de connard lorsqu’elle me lance son regard de tueuse à gage. La seconde d’après, son sourire de peste étire ses fines lèvres, m’indiquant qu’il me faudra la lui porter. J’échappe un rire mesquin. Etre galant avec elle, la blague du siècle. Elle aime trop quotidiennement revendiquer sa pseudo force et supériorité pour que je cède à un de ses caprices. Et dieu seul sait qu’ils sont nombreux. Je descelle les lèvres histoire de lui témoigner le fond de ma pensée dans le cas où mon regard n’aurait pas été suffisamment expressif. Un haussement d’épaule désintéressé plus tard, je me cale contre la paroi lisse et froide d’un mur. Je croise les bras et la regarde s’affairer ici et là. Distraitement, je suis, comme obnubilé, cette chevelure blonde platine onduler devant mes prunelles azurs. Je suis cette silhouette frêle et gracile s’agiter dans tous les sens tandis qu’en fond je perçois les voix de nos parents respectifs discuter des derniers détails et formalités. Ce qui se prépare ? Un déménagement ponctuel, une mission d’importance capitale, un engagement dans l’armée du pays où nous sommes nés. L’Amérique. Mais, dans le même temps, j’ai quasiment l’impression de partir en vacances. Peut-être trop sûr de moi. Ambiance les bronzés font du ski dans ma tête. Je suis détendu et serein. Mon acolyte probablement aussi sauf pour ce qui est de la peur d’oublier une lime à ongle ou autre connerie du genre. Je soupire longuement. L’heure arrive et je me racle bruyamment la gorge histoire d’attirer l’attention. Je les presse, impatient. Marre d’attendre. Des au revoir polis, pudiques, respectueux et surtout rapides suivent. L’exaltation des sentiments est bien loin d’être notre fort, du moins, chez moi. Un regard entendu avec mon père, les douces et aimantes lèvres de ma mère contre ma joue. Le précis souvenir que je regarde. Je me recule légèrement. « Je prendrai soin de la gosse, pas d’inquiétude à avoir » j’assure, l’air faussement solennel, le clin d’œil en prime avant de l’attraper en passant un bras autour de ses épaules et la rapprochant de moi sans lui demander son avis, tout comme elle déteste. Vous voyez, ça marche déjà. Aller, détente d’atmosphère faite, je la lâche et on se casse.

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Bienvenue sur BP Comme un parfum de soufre qui fait naitre la flamme 1128288640

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Merci !

Bienvenue sur BP, j'adore la phrase de ton titre I love you

bienvenuuuuue rhaaaa omfg

Han, Mendeleïv, presque comme la classification périodique rhaaaa omfg

Welcome welcome, et bonne fiche !

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merci !

Comme un parfum de soufre qui fait naitre la flamme 781824920

j'avoue tout... ça vient de là Comme un parfum de soufre qui fait naitre la flamme 1826528627

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bienvenue sur bp I love you

Ian Mendeleïv a écrit:: j'avoue tout... ça vient de là

Bien joué xp Tu as été entendu amen god/godess

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Bienvenue ! I love you

Bienvenue ici & bon courage pour ta fiche I love you

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loool, reste plus qu'à bâtir un temple en mon honneur niark niark niark

merci pour l'accueil ! I love you

BULLETPROOF InvitéInvité

bienvenue par ici !

BULLETPROOF InvitéInvité

Bienvenue ! omagad

excellent choix d'avatar bril bril les zieux

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Thanks !

Haha, étrangement, je trouve aussi Comme un parfum de soufre qui fait naitre la flamme 337664734

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bienvenue à toi bril bril les zieux

réserve moi un lien Comme un parfum de soufre qui fait naitre la flamme 1839924927

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merci !

pas de soucis !

tu écris très bien, j'aime I love you

juste une chose, par contre. tu as mis que Ian est militaire, mais tu as mis comme grade "aucun"; j'avoue être confuse Comme un parfum de soufre qui fait naitre la flamme 1826528627

et puis, je suis un peu fatiguée, du coup j'ai du mal à comprendre son histoire, en particulier la premier paragraphe, mais aussi sur pourquoi Ian vient aux USA dans le dernier omagad

peut-être que tu devrais rajouter un paragraphe pour expliquer plus loin, enfin, ce n'est qu'une suggestion bril bril les zieux

BULLETPROOF InvitéInvité

merci, c'est gentil Comme un parfum de soufre qui fait naitre la flamme 781824920

lol, ah mais je ne savais pas que simple "soldat" était un grade -à moins que ça n'en soit pas un ?- parce que je ne le vois pas autre chose pour l'instant que ça. et j'avoue que c'est pas d'une limpidité probante mais, oui oui y'a un mais, c'était relativement délibéré. je dois être adepte du mystère et "suspens" Comme un parfum de soufre qui fait naitre la flamme 337664734

du coup, je vais essayer de rajouter quelques lignes pour éclaircir certains points sans pour autant tout dévoiler sinon c'est pas drôle, n'est-ce pas mia cara la la la

#out

voilà mon coco, bienvenue officiellement sur BP I love you

Bienvenue et félicitations soldat, tu viens tout juste d'être accepté sur BULLETPROOF. Pour t'aider à t'intégrer au mieux parmi nous, voici quelques points et conseils qui te guideront et t'aideront à faire ton petit bout de chemin :

Pour un profil plus attractif, veille à remplir tous les champs de celui-ci. Comme ça, les autres membres en sauront davantage sur ton personnage. N'hésite surtout pas à te faire également une jolie signature. Si tu as besoin d'aide, n'oublie pas que le staff est à ton entière disposition. Enfin, sache que tu peux faire une demande de rang afin d'embellir encore plus ton profil.

Il est désormais temps de t'occuper un peu de ton personnage et, pour se faire, il est important que tu ailles faire une demande de logement pour ne pas qu'il dorme à la rue et, une demande de métier pour qu'il puisse payer son chez-lui et ses factures.

Maintenant que ton personnage est à l'abri du froid et, qu'il peut payer ses crédits, il lui faut pleins de liens pour pas qu'il finisse seul et dépressif. Alors, file vite poster ta fiche de lien ICI et ta demande de rps LA. N'hésite pas non plus à créer tes propres personnages grâces aux scénarios. Enfin, il est important de s’intéresser aux scénarios actifs qui sont un bon moyen de se trouver pleins de liens tout en facilitant l'intégration de nouveaux membres.

Et voilà, ton personnage est maintenant plutôt bien intégré. Mais, il reste une étape importante: Le hors-jeu. Ne t'en fais pas, on ne mord ici. Fais toi plaisir en envahissant LE FLOOD ou n'hésite pas à aller te présenter aux autres. Pour terminer, les jeux sont également un bon moyen de s'intégrer.

Voilà soldat, tu connais maintenant les secrets de l'armée pour bien s'intégrer. Si tu as le moindre soucis, les soldates du staff sont là pour toi. Et n'oublie pas, le plus important est de s'amuser !

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